Mise en place de production durable de bioénergie

Ce document est une compilation d’exemples d’application, de cadres de travail et des outils déjà en usage dans le domaine de la conservation qui peuvent être appliqués à la production de bioénergie, afin d’identifier et de réduire les impacts environnementaux ainsi que les risques socio-économiques, et développer les opportunités. L’objectif est de fournir à l’ensemble des parties prenantes intervenant dans la bioénergie (gouvernements, entreprises, collectivités, propriétaires terriens, et individus) les outils pour parvenir aux résultats les plus durables en matière d’écosystèmes et de moyens de subsistance.

« Implementing Sustainable Bioenergy Production – A Compilation of Tools and Approaches »

International Union For Conservation Of Nature, 32 pages, janvier 2009

France : Africa Energy Forum

L’Africa Energy Forum organise son forum annuel à Bordeaux (France) du 30 juin au 2 juillet 2009.

L’Africa Energy Forum (AEF), lancé en 1999, est un forum annuel d’investissement des entreprises pour l »électricité et le gaz, où les gouvernements et les services d’utilité publique discutent des possibilités offertes en Afrique.

L’AEF réunit des hauts fonctionnaires et des cadres du secteur privé pour discuter des opportunités pour développer les pouvoirs publics et privés.

Tous les grands secteurs de l’industrie de l’électricité et de gaz se réunissent chaque année en juin pour trois jours de réseautage. Sur les 470 personnes qui ont participé à la session de 2008, plus de 40% provenaient d’Afrique, et parmi eux près de 40% étaient du secteur public. Les développeurs énergétiques privés et les fournisseurs d’équipement ont représenté 30% du total, tandis que le secteur financier représentaient encore 15%. Cette concentration d’entreprises sous un même toit élargit les possibilités de fructueux contacts, et l’exposition qui l’accompagne améliore la visibilité de ses participants.

Le programme du forum traitera de ces sujets :

- La restructuration et la privatisation des services publics

- Les partenariats public-privé

- Le financement de l’accroissement de puissance

- Les marchés régionaux de l’énergie

- La réglementation du secteur de l’énergie

- La croissance de l’utilisation du gaz naturel

- L’accès à l’énergie pour le développement économique

- le risque et la sécurité énergétique

Le Caucus Afrique Power est devenue une importante session de discussion, où des acteurs de premier plan dans le secteur de l’énergie électrique en Afrique discutent de la meilleure manière de restructurer et de développer les capacités de l’Afrique à répondre à ses besoins en puissance.

Toutes les informations sont disponibles dans le communiqué à télécharger (en anglais).


Source : le site de l’Africa Energy Forum (en anglais).

Xavier Dufail

Mali : inauguration de la première « Fontaine de lumière » de la Croix-Rouge

Dans le cadre de ses actions d’aide au développement, la Croix-Rouge monégasque vient d’inaugurer au Mali sa première centrale solaire villageoise baptisée « Fontaine de lumière ». Ce projet pilote d’éclairage de zones rurales subsahariennes utilise des lampes à LED alimentées par l’énergie solaire.

Ce projet consiste à remplacer les lampes à pétrole par des lampes électriques rechargées dans une centrale villageoise solaire.

L’originalité du dispositif repose sur sa mise en œuvre : en concertation avec l’ensemble des instances locales, la Croix-Rouge a opté pour une formule de service d’éclairage solaire villageois. Ainsi, une mini-centrale solaire composée de 12 panneaux photovoltaïques de 50Wc a été aménagée dans le village pour permettre le rechargement des 400 lampes solaires individuelles. Chaque utilisateur reçoit ainsi une lampe solaire, moyennant une caution : il pourra recharger à volonté sa lampe à la centrale, pour un abonnement mensuel de 700 FCFA. Les revenus de la centrale permettent d’employer un technicien et d’assurer la maintenance.

Cette approche présente l’avantage de rendre immédiatement accessible l’éclairage solaire aux familles qui n’ont pas les moyens d’acheter un kit photovoltaïque. On résout ainsi, par la location, le problème de l’investissement. De plus, les familles réalisent au quotidien une économie monétaire non négligeable : la location de la lampe solaire revient en effet près de deux fois moins cher que l’utilisation d’une lampe à pétrole.

Pour ce projet, la Croix-Rouge a retenu les lampes solaires de la société française SOLTYS, spécialiste de l’éclairage solaire. D’autres projets pourraient être mis en œuvre prochainement par la Croix-Rouge sur ce même modèle, alliant développement économique, progrès social et protection de l’environnement.

Vous pouvez voir une vidéo de ce projet en cliquant ici.

Pour toute autre information sur le projet ou sur les produits solaires, voir le site de SOLTYS.

Alexandre Chavanne, René Massé

Guide de la Banque mondiale sur la conception de projets d’électrification décentralisée en milieu rural

Ce document en anglais propose une discussion autours des facteurs critiques pour la conception de projets d’électrification décentralisée, notamment les choix technologiques, les considérations environnementales, les opportunités de co-financement internationale, etc.

Basé sur les connaissances pratiques et l’expérience internationale accumulées par la Banque mondiale, ce document s’adresse à toutes les personnes intéressées par la conception de projets d’électrification décentralisée.

Consciente des particularités de chaque projet et pays, la Banque mondiale, à travers ce document, ne livre pas de solutions « toute faite » qui conduisent au succès des projets d’électrification décentralisée mais plutôt des principes de base pour concevoir des projets de ce genre. Il met ainsi l’accent sur la participation des acteurs clés tout au long d’un processus d’électrification décentralisée : consommateurs, fournisseurs de services et de technologies, bailleurs et gouvernements.

A la suite d’une section contextuelle, ce document propose une discussion autours des facteurs critiques pour la conception de projets d’électrification décentralisée, notamment les choix technologiques, les considérations environnementales, les opportunités de co-financement internationale, etc. Enfin, une troisième section nous présente les principes de base pour destinés aux concepteurs de projets d’électrification décentralisée. L’ensemble de ces sections est étayé par des encadrés portant sur des expériences nationales d’électrification décentralisée.

Une sélection de sites internet sur l’électrification décentralisée est fournie à la fin de la publication.

« Designing Sustainable Off-Grid Rural Electrification Projects : Principles and Practices »

Banque mondiale, 32 pages, novembre 2008

24 projets de services énergétiques durables en Afrique sub-saharienne financés par le Commission européenne

Ce document en anglais présente 24 projets de services énergétiques financés par le programme européen Énergie intelligente/COOPENER.

« Energy services for poverty – alleviation in developing countries »

Le programme Énergie intelligente/COOPENER

43 pages

février 2007

(document en anglais)

Les 24 projets présentés dans ce document sont les suivants :

- Alleviation of Poverty through the Provision of Local Energy Services (APPLES)

- Biomass Energy Platforms Implementation for Training in Africa (BEPITA)

- Improved carbonisation and decentralised forestry control in Madagascar (CARAMCODEC)

- Development and Energy in Africa (DEA)

- Energy Efficiency Training of Trainers (EETT)

- Energising the Millennium Development Goals – Setting the Enabling Environment in Southern Africa (E-NDSET)

- Building Capacity in Energy in the Health, Education and Water Sectors for Poverty Reduction in sub-Saharan Africa (ENABLE)

- Removal of non-technological barriers to encourage SME energy efficiency by the rational use of biomass (ENEFIBIO)

- Energy for Poverty Alleviation in Sahel (IE4Sahel)

- Improving the economic and social impact of rural electrification (IMPROVES-RE)

- Integrated Southern Africa Business Advisory (INSABA)

- Mainstreaming Energy for Poverty Reduction and Economic Development (MEPRED)

- Promotion of Microgrids and RES (Renewable Energy Sources) For Electrification in Developing Countries (MICROGRIDS)

- Mitigating Risk and Strengthening Capacity for Rural Electricity Investment in Africa (MIRREIA)

- Poverty Alleviation through Cleaner Energy from Agro-industries in Africa (PACEAA)

- Poverty Eradication and Planning of Sustainable Energy (PEPSE)

- Promoting Renewable Energy in Africa (PREA)

- Proven in rural Africa (PROVEN)

- Renewable and Efficient Energy for Poverty Alleviation in Southern Africa (REEPASA)

- Réseau International d’Accès aux Energies Durables (RIAED)

- SIE-Afrique Phase II

- Sustainable urban renewal : energy efficient building for Africa (SURE-AFRICA)

- Turning Information into Empowerment : Strengthening Gender and Energy networking in Africa (TIE-ENERGIA)

- Tanzanian Renewable Energy and energy Efficiency project to Sustain Poverty Alleviation (TreeSpa)

Jacques Monvois, Gret, Xavier Dufail

Guinée : le district de Bakalan électrifié

A Kankan, dans le cadre du programme d’électrification rurale, le district de Bakalan dans le CRD de Karifamoriya est désormais électrifié.

Cette réalisation, inaugurée récemment, s’inscrit dans le cadre d’un projet d’électrification rurale décentralisé dont le coût total d’investissement est de près de 190 millions de francs guinéens (soit 30 000 euros).

Ce village, qui compte 2 743 habitants, est désormais alimenté en électricité par un groupe électrogène de 38 kVA. Cette réalisation va fournir 226 ménages repartis dans le district de Bakalan centre par un réseau de 3672m, alimentant 393 lampes et 86 prises pour l’audiovisuel, la ventilation et le froid.

Ce projet est le fruit de la coopération entre la Guinée, la Banque mondiale mondiale et le Fond pour l’environnement mondial.

Plus d’informations sont accessibles dans l’article source.


Source : un article de Janvier Diallo, publié le 20 novembre 2008 sur le site de Kababachir.

René Massé, Xavier Dufail

Mauritanie : les premiers pas du prépaiement à Nouakchott

la SOMELEC et le GRET, une ONG française, se sont engagés dans un projet novateur de prépaiement électrique. Ce projet, appelé NOUR, financé par l’Etat mauritanien (Ministère de l’Habitat, de l’Urbanisme et de l’Aménagement du Territoire), EDF (Electricité de France) et l’ADEME est destiné à introduire le prépaiement dans l’offre de services d’électrification dans les quartiers périphériques de Nouakchott. D’ici juin 2009, ce projet pilote installera 1 600 compteurs à prépaiement dans la commune d’El Mina.

La plupart des familles qui habitent les quartiers périphériques de Nouakchott n’ont pas de raccordement électrique. Certaines bénéficient de services électriques en se raccordant au compteur d’un client de la Somelec, qui lui revend illégalement de l’énergie au forfait. Ces raccordements ne respectent pas les normes minimales de sécurité, et l’ont peut voir des fils dénudés à même le sol, là où souvent des enfants courent pieds nus.

Ainsi les habitants ont accès à l’électricité mais avec une qualité déplorable. Les familles subissent des coupures intempestives, des appareils endommagés et même des électrocutions et n’osent pas se plaindre de peur de déplaire à leur ‘revendeur’ et de se faire ‘couper’.

Le principe du prépaiement est simple : le client achète l’électricité avant de la consommer, comme dans le cas des téléphones portables. Le prépaiement électrique est connu depuis longtemps, notamment en Angleterre où il dessert 50% de la population.

En Afrique du Sud, la plupart des villes a été équipée de prépaiement électrique dans le cadre du programme national d’équipement appelé ‘Power for All’ (Electricité pour Tous). Des pays africains, tels que le Maroc, le Sénégal, le Gabon, la Côte d’Ivoire ont déjà démarré des projets de prépaiement. Au Rwanda et au Soudan, en quelques années, le prépaiement a remplacé le paiement traditionnel et a permis d’assainir la situation financière des compagnies nationales.

A El Mina, le projet NOUR est installé dans le bureau de la SOMELEC. Des animateurs identifient les clients potentiels et une équipe technique installe un clavier dans la maison du futur client. Ce clavier est relié à un compteur électronique placé sur le poteau électrique le plus proche.

Le client achète, dans un poste de vente NOUR (situé dans son quartier), un ticket de recharge qui lui fournit un code qu’il entre avec son clavier. Cette manipulation recharge son compte du volume d’énergie acheté. Immédiatement après la saisie du code, le compteur libère l’électricité. Grâce à ce mode de fonctionnement, le client paye l’électricité en fonction de sa capacité financière et maitrise sa consommation en regardant sur le clavier le solde de kWh disponibles.

Le projet a débuté dans les quartiers de Nézaha, Netec et de Dar El Beida – Mekka ; déjà, 600 foyers sont déjà connectés. Cette innovation technologique s’accompagne d’une action de la SOMELEC pour installer de nouveaux poteaux et réduire les câblages pirates. Ainsi, la distribution électrique s’est nettement améliorée, et la satisfaction de la population est palpable ; les maisons équipées ont maintenant une alimentation électrique aérienne fiable et une électricité de qualité.

Zeinabou, mère de famille de Nézaha, explique qu’avant elle payait 2000 UM chaque mois à un revendeur privé pour trois lampes et une télévision. Le courant coupait presque tous les soirs et les lampes ne marchaient pas bien. Depuis qu’elle a pris NOUR, elle surveille son compteur tous les jours. Elle a payé 10 000 UM pour la connexion et chaque recharge de 2 000 UM lui permet maintenant de couvrir plus d’un mois et demi de consommation. Ses lampes éclairent beaucoup mieux. Elle souhaiterait désormais acheter un frigo pour faire un peu de commerce.

Pour la SOMELEC aussi, l’avantage est évident. Avec le prépaiement, l’argent rentre tout de suite, avant même l’utilisation du courant, alors qu’avec le paiement classique par factures, la compagnie doit attendre plus de deux mois avant d’être payée. La gestion est simplifiée ; il n’y a pas de factures ‘détournées’ ou ‘arrangées’ et moins de conflits car on n’a plus besoin d’effectuer des coupures pour impayés. D’autre part, comme les compteurs sont installés dans des boîtes en haut des poteaux, les possibilités de fraude par contournement du compteur sont très limitées.

Le prépaiement est-il une solution applicable en Mauritanie ? Même si l’investissement est plus coûteux (un compteur prépaiement coûte plus cher qu’un compteur classique), la généralisation du prépaiement aurait un impact social et économique immédiat : dans les quartiers périphériques, le prépaiement permettrait d’assurer la sécurité de la distribution. Dans les quartiers plus riches, son installation entraînerait une augmentation de la trésorerie de 20% à 70% selon les secteurs. Dans les villes de l’intérieur, le prépaiement permettrait d’augmenter la distribution et de lutter contre la pauvreté.

L’inauguration du projet va avoir lieu le 28 novembre 2008. Ce projet apporte à la Mauritanie une première expérience dans ce domaine. La décision d’étendre le prépaiement à toute la capitale et au reste du pays est maintenant stratégique.


Source : un article publié le 20 novembre 2008 sur le site de CRIDEM=15&tx_ttnews[tt_news]=24929&tx_ttnews[backPid]=81&cHash=458fcc581d].

Jean-Pierre Mahé, René Massé

Le site d’Électriciens sans frontières fait peau neuve

Électriciens sans frontières, ONG de plus de 20 ans, vient d’améliorer l’interface de son site Web. La nouvelle version du site permet un accès facilité à l’ensemble des projets de l’ONG, passés et en cours. http://www.electriciens-sans-frontieres.org

Électriciens sans frontières, ONG de plus de 20 ans, vient d’améliorer l’interface de son site Web.

La nouvelle version du site permet un accès facilité à l’ensemble des projets de l’ONG, passés et en cours.

http://www.electriciens-sans-frontieres.org

René Massé, Xavier Dufail

Madagascar : début des travaux d’extension de la centrale hydro-électrique d’Andekaleka

La centrale hydro-électrique d’Andekaleka sera équipée d’un troisième groupe électrogène de 34 MW. Les travaux assurés par une société chinoise ont commencé depuis le 15 octobre 2008.

Le coût total s’élève à 24 millions d’euros. Il est financé par la Banque arabe de développement (BADEA) ainsi que le Fonds koweitien. La société chinoise Syno-Hydro est le maître d’œuvre des travaux. Selon Bernhard Romahn, directeur général de la Jirama, c’est l’une des plus importantes sociétés d’ingenierie en Chine avec près de 100 000 employés.

La Jirama entame un important chantier. Elle vient de lancer les travaux d’extension et de dragage du bassin de stockage
d’eau d’Andekaleka : la plus grande centrale hydroéléctrique du pays sera équipée d’un troisième groupe d’une puissance de 34MW pour renforcer les deux autres qui fonctionnent actuellement, ayant chacune une capacité de 29MW. Ce qui portera à 92 MW la puissance totale installée dans cette infrastructure.

« Ce troisième groupe devra entrer en fonction en décembre 2010. Mais pour effectuer les travaux, la centrale devra être arrêtée temporairement durant deux à trois semaines en 2009 », explique Bernhard Romahn, directeur général de la Jirama.

Un autre projet d’installation d’un quatrième groupe de 34MW est également sur route. Il sera financé par la Banque européenne d’investissement (BEI) jusqu’à hauteur de 22 millions d’euros.
« L’accord de principe pour le financement est déjà obtenu. Les dossiers devront être bouclés et ce quatrième groupe devra entrer en fonction vers le mois de mars 2011 » précise le directeur général de la Jirama.

Andekaleka est située sur le versant est de Madagascar, à environ 160 kilomètres de la capitale. Elle fournit près de 30% de l’énergie qui alimente le réseau interconnecté d’Antananarivo. Implantée en pleine zone montagneuse, l’ensablement du bassin d’alimentation en eau des turbines causé par l’érosion constitue le principal problème d’Andekaleka, d’où la nécessité d’un dragage. L’étiage durant la saison sèche constitue également un important problème que les techniciens devront résoudre et l’installation de groupes supplémentaires n’est pas pour arranger les choses.


Source : un article de Mahefa Rakotomalala en date du 23 octobre 2008, diffusé sur le site de L’Express de Madagascar.

René Massé

Comment mesurer l’impact climatique de projets d’efficacité énergétique et d’énergies renouvelables ?

Évaluation et méthodologies de mesure des réductions de gaz à effet de serre (GES) dans les projets de développement, notamment dans le cadre des MDP.

« Comment mesurer l’impact climatique ?
Capitalisation sur le portefeuille de projets d’efficacité énergétique et d’énergies renouvelables du groupe AFD et du FFEM »

Note de synthèse Ex-Post de la Division Evaluation et capitalisation de l’AFD, n°05

Koulm Guillaumie

Agence Française de Développement

39 pages

Septembre 2007

Ce rapport, publié en septembre 2007, cherche à dégager les pratiques utilisées actuellement par l’AFD et le Fonds français pour l’environnement mondial (FFEM) pour mesurer les réductions d’émissions de GES ainsi que les initiatives engagées.

Il dresse également un bilan des méthodologies développées pour quantifier les réductions d’émissions de GES dans le cadre des projets MDP, en examinant dans quelle mesure ces méthodologies peuvent être appliquées aux projets de l’AFD.

Le rapport conclut que ni le calcul des émissions absolues ni le calcul des émissions évitées d’un projet ne permettent, à eux seuls, d’estimer l’efficience climatique d’un projet et que la méthode la plus efficace et la moins coûteuse consiste souvent à agir sur la réglementation.


Source : le site de l’AFD.

René Massé, Xavier Dufail