Tunisie : Salon International des Énergies Renouvelables

Le premier Salon International des Énergies Renouvelables de Tunisie, ENERSOL expo, aura lieu du 7 au 10 avril 2010 au Parc des
Expositions du Kram à Tunis.

Organisé en partenariat avec la Chambre Syndicale Nationale des Énergies Renouvelables, ENERSOL expo a l’ambition de devenir le rendez-vous incontournable des décideurs, des fabricants et distributeurs dans les secteurs professionnels liés aux énergies propres et renouvelables.

Les mesures et avantages financiers décidés par l’État et mis en application par l’ANME (Agence Nationale de Maîtrise de l’Energie), sont autant d’incitations à investir dans l’usage des énergies renouvelables, (solaire, éolien, bio énergies, eau), en Tunisie.

Un symposium international et des ateliers, traitant de thèmes actuels, apporteront la caution scientifique et technologique nécessaire au développement de cet événement professionnel.

Ce salon accueillera des visiteurs professionnels à la recherche d’un produit ou d’accords commerciaux et technologiques, (sous-traitance, co-traitance, partenariat).


Source : Le site de ce salon.

Xavier Dufail

Botswana : prochaine construction d’une centrale solaire pilote, avec l’aide japonaise

La première centrale électrique au Botswana doit être construite en septembre 2010, avec l’intention de reproduire ce modèle dans tout le pays et de s’éloigner de l’énergie produite au charbon.

La centrale solaire Phakalane va produire un mégawatt ; sa construction sera financée par le gouvernement japonais.

La construction débutera en septembre, grâce à un partenariat « Engineering, Procurement, Construction & Gestion (IAGC) » avec une entreprise japonaise.

D’un coût de 83,8 millions de pulas (environ 9 millions d’euros), la station deviendra la première centrale photovoltaïque du Botswana, ce qui pourrait ouvrir des pistes de développement dans le secteur des centrales solaires.

Les appel d’offres pour les différentes composantes de la station devraient être lancés prochainement, et après achèvement la station sera reliée au réseau national.

L’ambassade du Japon a récemment indiqué qu’elle surveillera de près les performances de cette centrale pilote, en vue d’éventuellement prendre des initiatives similaires ailleurs au Botswana : « La centrale électrique de Phakalane sera une petite exploitation, d’un mégawatt, mais si le projet réussit, nous allons examiner des projets plus importants au Botswana ».

C’est regarder la situation actuelle de l’électricité au Botswana et dans la région.

Il est entendu qu’une aide supplémentaire en provenance du Japon pour les centrales photovoltaïques consisterait en de l’appui technique plus que par du financement, étant donné les coûts de confinement du développement de grandes centrales solaires.


Source : Solar4Africa (en anglais).

Xavier Dufail

Tunisie : démarche pour l’électrification rurale

Cette brochure, éditée par la STEG (Société tunisienne de l’électricité et du gaz) détaille la démarche tunisienne pour l’électrification rurale.

« L’électrification rurale en Tunisie »

STEG International Services / Hammou Khaled / Essebaa Hachémi

52 pages

mars 2010

Table des matières

INTRODUCTION

ELECTRIFICATION DANS LE MONDE

LES ASPECTS SOCIO-ECONOMIQUES DE L’ELECTRIFICATION

La problématique de l’électrification

La planification de l’électrification du territoire

La démarche tunisienne

LES ASPECTS TECHNIQUES DE L’ELECTRIFICATION

Les systemes électriques

Classement des différents systemes de distribution

Le choix du systeme tunisien

LES REALISATIONS ET LES IMPACTS DE L’ELECTRIFICATION RURALE

Les realisations

Impacts sociaux
Impacts économiques

CONCLUSION

Xavier Dufail

Guinée : prochaine réalisation d’un barrage hydro-électrique sur le fleuve Cogon

La société aurifère de Kouroussa s’est engagée dans la lutte contre la pauvreté par la réalisation prochaine d’un barrage hydro-électrique sur le fleuve Cogon pour palier à la crise de courant électrique dans le corridor de Boké notamment la ville de Boké et les CRD de Kamsar et Sangarédi.

Pour mettre en œuvre ce projet, une cérémonie de lancement des travaux de révision des études de faisabilité et environnementales a eu lieu le jeudi 25 mars 2010. Les études seront exécutées par deux firmes canadiennes à savoir SNC-Lavalin et AECOM (TESCULT) pour un montant de 150 millions USD, pour une production énergétique estimée entre 50 et 80 MW pour une durée de réalisation de 5 ans.

Selon la société aurifère de Kouroussa, Semafo-Guinée, ce projet hydro-électrique sur le fleuve Cogon est fait pour venir en aide aux populations riveraines du corridor de Boké et pour le rentabiliser ; une partie de l’énergie produite sera utilisée par les sociétés minières de la région et l’autre, par les populations. Car le déséquilibre existant entre ceux qui bénéficient le courant électrique de la CBG et ceux qui n’en bénéficient pas a engendré des pressions sociales constantes sur la CBG et sur les Autorités locales et nationales.


Source : Un article publié sur Aminata.com.

Xavier Dufail

Sénégal : promotion des foyers métalliques dans les boulangeries traditionnelles

Ce projet d’ENDA Sénégal favorise, le remplacement des fours traditionnels par des fours métalliques de plus grande efficacité dans les boulangeries traditionnelles, activité essentiellement tenue par des femmes.

Les boulangeries traditionnelles utilisant le bois comme combustible sont très développées au Sénégal au point d’entrer en compétition avec les boulangeries modernes.

Jusqu’à ces dernières années, la boulangerie traditionnelle était une activité économique présente surtout dans les régions éloignées de Dakar. Cependant, et de plus en plus, le pain dit Tapalapa est disponible dans certains quartiers de la capitale comme pour marquer l’intérêt des consommateurs et les opportunités commerciales pour les opérateurs de boulangerie dite traditionnelle.

En plus des opérateurs en boulangerie traditionnelle, les fours métalliques constituent également une opportunité technologique pour les torréfacteurs actifs dans le domaine de la pâte d’arachide, des noix de cajou, de soump, du sésame et du café Touba. Ainsi, par rapport à la torréfaction spécifiquement, le potentiel est estimé à plus de 50 opérateurs, dans les grandes villes, et autour de 20 dans les autres zones. D’où un marché potentiel de 200 FP commercialisables dans les deux phases du projet.

Jusqu’ici, la plupart des fours utilisés pour la boulangerie traditionnelle sont construits en banco (argile) et sous forme de dôme reposant sur une surface plate qui constitue la table. Chez certains opérateurs, cette surface plate a été améliorée par un système de carrelage permettant de conserver plus durablement la chaleur.

En dehors de ces aspects, il faut souligner qu’avec ces types de fours traditionnels, les boulangers étaient toujours exposés à la fumée qui s’y dégage et les conditions hygiéniques ne sont pas toujours réunies pour optimiser la qualité du pain, comme principal produit fini.

En termes de diversification des produits, quelques boulangers proposent, au-delà du pain, de la pâtisserie vendue de façon irrégulière. La vente des produits finis repose sur une chaîne de revendeurs (Boutiques) installés dans quelques villages alentours et au niveau des marchés quotidiens ou hebdomadaires (Lumas). Les retours de pain sont parfois importants du fait, le plus souvent, de la mauvaise qualité du pain (composition et pétrissage) et des conditions de distribution auprès des revendeurs (ensachage du pain, transport par charrette, par vélo ou sur l’épaule) et des paramètres climatiques (température parfois très élevées dans certaines zones rurales).

Dès lors, notre démarche consiste à promouvoir l’accès à un type de four fortement amélioré fait en caisson métallique, avec plusieurs compartiments et pouvant prendre alternativement diverses sources d’énergie (bois, charbon de bois, bioénergie, GPL). Compte tenu des coûts de fours proposés la barrière financière serait en partie levée par l’implication des institutions de micro-financement.

L’approche du projet consiste, dans un premier temps, à appuyer l’accès aux fours métalliques en vue de leur commercialisation au sein des réseaux d’organisations de femmes transformatrices de produits céréalières de Thiès et alentour. Sur la base d’une stratégie de communication appuyée, Enda travaillera à rendre le four accessible à d’autres opérateurs des zones les plus défavorisées.

Pour accéder et commercialiser les fours, le projet compte s’appuyer sur les mécanismes internes de micro-crédits propres aux groupements de femmes, avant de prospecter au niveau des institutions de micro finances pour les compléments adaptés à la situation de chaque organisation intéressée. Il en est de même pour les opérateurs individuels. Des mécanismes financiers adaptés seront étudiés et mis en place à partir des mécanismes financiers du marché.

La distribution des fours se fera sur plusieurs échelles, notamment, au travers des différentes manifestations de démonstration/information prévues par le projet et par contact direct avec les opérateurs prospectés dans les autres régions, éventuellement, en partenariat avec d’autres projets/programmes de développement local.


Source : le site du programme EASE.

Xavier Dufail

Madagascar : inauguration d’une centrale électrique à biomasse

Le 15 mars 2010 a été inaugurée la centrale électrique à biomasse de la commune rurale d’Anjiajia, dans la région Boeny. Désormais l’électricité y est disponible de 09h à 23 h.

Le ministère de l’énergie, l’Agence de Développement de l’Électrification Rurale (ADER), et la société Casielec sont les principaux acteurs de ce projet.

« Depuis près de 7 mois, la commune d’Anjiajia bénéficie de l’électricité via une centrale à biomasse » se félicite le maire de la commune. « Nous disposons actuellement de 200 abonnés sur une population totale de 29 700. L’objectif du nombre des abonnés pour la première année a été atteint dès le 7ème mois. La commune possède également 30 poteaux d’éclairage public » ajoute encore ce premier responsable de la Commune.

La centrale à biomasse tourne par le biais des déchets, notamment par les déchets de riz décortiqué ou sons de riz que l’on transforme en gaz à l’aide des turbines, qui, à leur tour, fournissent de l’électricité d’une puissance de 40 kW. Le besoin quotidien nécessite en moyenne 64 sacs de ces déchets et sons de riz afin d’assurer les 14 heures d’électricité.

La Casielec est l’un des 24 partenaires de la JIRAMA en matière d’électrification rurale à Madagascar. Elle travaille dans 6 Communes de la Région du Boeny. La mise en place de ces infrastructures a coûté Ar 461 627 012 dont 10% proviennent des ressources propres de la commune d’Anjiajia (Ar 43 640 000).


Source : La Tribune de Madagascar.

Xavier Dufail

Kenya : Lighting Africa 2010

La 2ème Conférence internationale sur l’accès à l’énergie et l’éclairage hors-réseau se déroulera du 18 au 20 mai 2010 à Nairobi (Kenya).

La deuxième édition du « Global Business Conference & Trade Fair for Off-Grid Lighting in Africa » se déroulera à l’Hôtel Safari Park à Nairobi, au Kenya.

Plus de 400 participants ont assisté à la première édition qui s’est tenue en mai 2008, à Accra, au Ghana. La participation devait être plus importante cette année, attirant des participants provenant de tout le continent africain et partout dans le monde. Les participants attendus seront des représentants de l’industrie mondiale de l’éclairage, des promoteurs privés, des sociétés de services énergétiques, des fournisseurs de services et d’équipements, des institutions financières, des organisations bilatérales et multilatérales, des décideurs politiques, des utilisateurs finaux, des universités, etc.


Source : le site de Lighting Africa (en anglais).

Xavier Dufail

Maroc : présentation du Plan Solaire Marocain

Jean-Louis Borloo (ministre français de l’Écologie, de l’Énergie, du Développement durable et de la Mer) et Amina Ben Khadra (ministre marocain de l’Énergie, des Mines, de l’Eau et de l’Environnement) ont présenté du Plan Solaire Marocain mercredi 11 mars 2010. Il prévoit la construction d’une capacité de production électrique utilisant l’énergie solaire de 2GW entre 2015 et 2019.

Le Plan Solaire Marocain est une initiative majeure pour favoriser le développement des énergies renouvelables. Un premier appel d’offre sera lancé dès l’automne 2010 pour construire et exploiter plusieurs centrales d’une capacité de 500 MW à Ouarzazate.

Dans le détail, le projet marocain comportera 5 centrales solaires à :

- OUARZAZATE : Puissance : 500 MW / Superficie : 2500 ha / Production : 1150 GWh/an

- AIN BENI MATHAR : Puissance : 400 MW / Superficie : 2000 ha / Production : 835 GWh/an

- FOUM AL OUAD : Puissance : 500 MW / Superficie : 2500 ha / Production : 1150 GWh/an

- BOUJDOUR : Puissance : 100 MW / Superficie : 500 ha / Production : 230 GWh/an

- SEBKHAT TAH : Puissance : 500 MW / Superficie : 2500 ha / Production : 1040 GWh/an

Ainsi, en 2020, le Maroc prévoit que la part de la puissance électrique installée en énergie renouvelable (éolien, solaire, hydraulique) s’établira à 42% du parc.

Les objectifs du Plan Solaire Marocain sont cohérents avec ceux du Plan Solaire Méditerranéen (PSM), volet particulièrement important de l’Union pour la Méditerranée, qui vise à développer des projets de centrales électriques utilisant des sources d’énergies renouvelables sur les rives Sud et Est de la Méditerranée pour une production additionnelle totale de 20 GW d’ici 2020.

La France et le Maroc ont convenu de mettre en place un partenariat institutionnel, technique et financier afin d’assurer le succès du Plan Solaire Marocain.


Source : MEDDEEM.

Xavier Dufail

Éthiopie : la GTZ prévoit d’installer 15000 projets d’énergie solaire par mois

La GTZ prévoit d’installer 15000 systèmes solaires par mois en Éthiopie, où seulement moins d’un pour cent de la population rurale utilise l’énergie solaire, en raison de la faiblesse des investissements dans le secteur.

La GTZ travaille en Éthiopie sur le développement de l’énergie solaire, l’énergie hydroélectrique et l’énergie éolienne. Les installations serviront de systèmes de secours dans les zones où l’électricité est disponible et comme sources d’énergie dans les zones où l’électricité ne l’est pas.

Le projet Access to Modern Energy Service Ethiopia (AMES-E) de la GTZ prévoit l’installation de systèmes photovoltaïques dans 100 zones hors réseau, en mettant l’accent sur les centres de santé publique des zones reculées.

Ces systèmes solaires PV fourniront assez d’énergie pour la réfrigération des vaccins, les examens ambulatoires ou hospitaliers, ainsi que pour l’utilisation de microscopes et autres technologies médicales.

Des endroits comme Gebato, Ererta, Hagera Sodita, Aleta Wondo, tous dans la Southern Nations, Nationalities and Peoples (SNNP) Regional State, ont bénéficié d’installations hydroélectriques de petite échelle pour alimenter des écoles, des hôpitaux et des maisons.

Le paiement des services fournis à ces utilisateurs seront effectués à l’institution pour le développement de l’eau situés dans chacune de ces lieux. L’institution a reçu un certificat temporaire de l’Ethiopian Electric Power Corporation (EEPCo) pour leur permettre de percevoir des frais de service jusqu’à ce que soit délivré un permis officiel.

En plus de cela l’AMES-E pilotera, en partenariat avec des organisations locales non gouvernementales telles que Selam Vocational Training et les Centre NATS pour le développement de la la technologie et des compétences, l’assemblage et éventuellement la fabrication de micro-turbines hydroélectriques, et mettra en place un atelier d’installation pour tester les matériels.

Il y a maintenant au moins trois entreprises privées qui ont rejoint le marché : l’entreprise Lydetco solaire et SolarNow qui sont locales, et Sola23, une société allemande. La GTZ facilite la formation des intervenants à l’aide des experts internationaux. Actuellement, un professeur du Bangladesh se trouve en Éthiopie à cet effet.

L’Agence Éthiopienne pour l’Énergie (AEE) et le ministère des Mines et de l’Énergie (MOME) travaillent également sur un budget pour les investissements dans les systèmes solaires de sauvegarde pour aider lors de pannes d’électricité. Ce budget, qui en est à sa troisième version
Le projet de loi, maintenant dans sa troisième version, devrait être adopté par le Parlement, selon Joachim Gaube, chef de projet au bureau de coordination d’accès à l’énergie moderne de la GTZ.

La GTZ a installé et équipé en énergie solaire les zones rurales et reculées du pays pendant les deux dernières années et demie, avec le soutien financier des gouvernements néerlandais et allemand. Le gouvernement éthiopien facilite le travail. Les facultés de technologie des universités Hawasa et Jimma travaillent également en étroite collaboration avec la GTZ pour introduire la technologie à la population locale.


Source : Ethiopian History (en anglais).

Xavier Dufail

Madagascar : des communes se mobilisent pour accéder à l’électricité

Plusieurs communes de la région Sava (Madagascar) se mobilisent pour financer des études sur la construction de centrales hydroélectriques.

Les habitants de plusieurs communes situées dans trois districts de la région Sava (Sambava-Antalaha-Vohémar-Andapa) se sont mobilisés pour financer entièrement des études techniques pour la construction de petites centrales hydroélectriques. Eloignés de plusieurs kilomètres des grandes villes, ils habitent dans de petits villages, voire des hameaux. C’est pourquoi ils ont décidé de ne plus compter sur le seul État et la seule Jirama pour avoir du courant électrique.

18 sites identifiés

Les études confiées aux chercheurs du Centre national des recherches industrielles et techniques (CNRIT) sont à l’heure actuelle terminées. Les centrales n’attendent plus que la concrétisation des intentions des bailleurs de fonds nationaux, internationaux et privés pour être réalisés.
« La démarche est vraiment unique car l’initiative vient entièrement de la base. La mobilisation des habitants a été exceptionnelle car ils veulent bénéficier de l’électricité au plus tôt », déclare Joseph Benitsiafantoka, directeur du développement rural de la Sava.

Les chercheurs du CNRIT ont identifié 18 sites qui ont des capacités variant entre 7 kW et 10 MW chacun, selon des calculs faits au plus bas niveau des cours d’eau. Pour pouvoir réaliser au plus vite ces projets, l’idée des chercheurs consiste à lancer d’abord les petites et moyennes centrales qui ne nécessitent pas de gros investissements. Pour amoindrir le coût, ils préconisent également l’utilisation optimale des matériaux locaux comme les poteaux qui serviront à conduire l’électricité jusqu’au village, la main-d’œuvre et même la construction des turbines.

« Nous allons appliquer des technologies qui ont déjà fait leurs preuves. Seuls les alternateurs et les fils électriques devront être importés », explique Mamitiana Ramamonjisoa, un des chercheurs du CNRIT.

Vu l’origine du projet, la population pourra s’approprier les futures centrales sans problème. Ce qui minimise fortement les risques de vol ou de vandalisme sur les installations.

Par ailleurs, avec plus d’une quinzaine d’années d’expérience dans ce domaine, le CNRIT peut assurer la fiabilité de ses études techniques. Il ne reste plus que le dernier coup de pouce des autorités de tutelle et des bailleurs de fonds potentiels pour que les maisons des 560 000 personnes concernées par le projet soient éclairées.


Source : L’Express de Madagascar.

Xavier Dufail