Le site internet « windpowermonthly.com » est probablement un des meilleurs sites éoliens sur le web.
En anglais.
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Guide introductif à l’application du MDP pour le financement des projets d’Electrification rurale décentralisée dans les Pays en développement.
Ce guide publié par la Fondem en 2003 est à télécharger ci-dessous.
L’objectif de ce guide est d’évaluer l’utilisation qui pourrait être faite du MDP pour le financement de projets d’électrification rurale décentralisée (ERD) mis en œuvre dans les pays en développement (PED).
La première partie du document présente :
1- L’ERD, ses principes, ses modalités (techniques, organisationnelles ou financières). Il étudie en particulier l’utilisation des sources d’énergie renouvelables pour répondre, dans le respect de l’environnement, aux demandes en services de l’électricité là où les réseaux de distribution électrique ne peuvent pas intervenir ;
2- le MDP et ses principes de fonctionnement, ainsi que les procédures mises en place pour la validation des projets et la vérification de leurs résultats ; il met l’accent sur la filière simplifiée prévue pour les projets dits « de faible ampleur », dont relèveront les projets d’ERD visés par le guide.
Une seconde partie permet d’évaluer l’utilisation qui pourrait être faite du MDP pour financer des projets d’ERD dans les PED ; à partir d’une étude de cas fictif – le remplacement de systèmes de pompage par groupes électrogènes par des pompes solaires dans dix villages à Madagascar – l’application des méthodologies pertinentes montre comment évaluer la quantité de crédits de carbone susceptibles d’être alloués au projet. Le document analyse ensuite les implications de cette simulation quantitative au regard de l’équilibre financier du projet.
Un glossaire est également proposé, afin de permettre au lecteur novice de se repérer dans le jargon spécifique au MDP. Enfin, une annexe propose divers compléments d’informations : bibliographie sélective et liens Internet.
La Fondem a également publié une suite à ce guide : « Le guide pratique du MDP et son application rurale par énergies renouvelables ».
Le document est à télécharger ci-dessous :
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IEPF, Ademe, Fondem, 2004
Dans le cadre d’une initiative soutenue par la Commission
européenne, l’Ademe), EDF et l’IEPF), un travail de sensibilisation et d’information a été mené auprès de 10 pays d’Afrique de l’Ouest pour faciliter la compréhension du Mécanisme pour un développement propre (MDP).
Ce guide, édité par la Fondem peut être téléchargé ci-dessous ; il est un des outils mis en œuvre dans le cadre de cette initiative.
Après la publication d’un premier ouvrage « Accès à l’électricité en milieu rural et réduction des émissions de carbone » qui visait à faire comprendre le mécanisme, voici un document pratique qui devrait faciliter la conception de projets d’électrification rurale décentralisée par énergies renouvelables éligibles au MDP.
Au service des promoteurs de projets publics ou privés, ce document se veut être un guide pratique aussi concret que possible : après une explication des étapes du montage de projets MDP, il précise les fonctions de chaque partie prenante et explique les raisons d’un processus encore complexe et long.
Le guide est à télécharger ci-dessous :
Introduction à l’éclairage électrique et bases d’éclairagisme. Olivier Normand, ESF (Electriciens sans frontières), novembre 2005
Voici une série de modules pédagogiques destinés à tous ceux qui ont à concevoir un éclairage électrique.
Présenté sous la forme d’un diaporama, ce document est un véritable outil de conception et de dimensionnement d’un dispositif d’éclairage. Il a été conçu par Electriciens sans frontières (ESF) avec un souci de la pédagogie, conduisant l’expert progressivement, en sept étapes complémentaires :
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La République Démocratique du Congo a fait le choix de promouvoir la petite hydroélectricité pour électrifier les zones rurales, de façon durable.
L’exploitation de l’énergie hydraulique remonte à bien longtemps. Mais, c’est aux environs du 18ème siècle qu’elle a pris de plus en plus d’importance avec l’exploitation de l’écoulement naturel de l’eau pour la production de l’électricité.
Bien que de grandes dimensions, lourdes et construites avec des matériaux locaux, les premières roues hydrauliques étaient néanmoins fiables et fournissaient l’énergie nécessaire pour le fonctionnement des moulins, des scieries, de petites centrales hydroélectriques, etc.., en transformant l’énergie de l’eau en énergie mécanique (travail mécanique).
Aujourd’hui, avec l’évolution technologique, la roue hydraulique constitue, à côté de la turbine, une composante essentielle d’une pico ou micro centrale hydroélectrique pour une électrification rurale décentralisée.
En République démocratique du Congo (RDC), nous dénombrons plusieurs pico ou micro installations hydrauliques utilisant la roue hydraulique pour produire un travail mécanique. Toutes ces installations appartiennent à des privés. Pour la plupart, ces roues actionnent des huileries, des scieries, des pompes aspirantes pour l’eau d’alimentation ou d’irrigation.
Une dizaine seulement produisent de l’électricité. Ces dernières ont connu à leurs débuts des dysfonctionnements d’exploitation (mauvaise régulation du débit, instabilité de la tension produite, mauvaise conception des ouvrages, etc..). : un travail de conformité technologique a été réalisé par la Commission nationale de l’énergie (CNE), qui est l’Organe de conseil et d’études du Gouvernement Congolais en matières énergétiques, a alors entrepris un travail de mise en conformité technologique de ces équipements. Ces efforts de réhabilitation et de développement des principaux composants des aménagements ont permis une amélioration de la disponibilité des équipements et ouvrages, une diminution des pertes de production, une amélioration de la sécurité de la fourniture et des installations ainsi qu’une réduction des coûts de maintenance.
Actuellement, l’électricité produite par ces centrales concourre au bien – être des populations concernées.
Constituant une préoccupation majeure du Gouvernement de la RDC, la sécurisation de l’approvisionnement en énergie électrique à long terme a conduit donc au choix du développement de la petite hydroélectricité (pico, micro ou mini) au regard du nombre important des sites propices.
C’est dans ce cadre que s’inscrit la publication par la CNE d’une étude sur les possibilités d’électrification des territoires de la RDC par mini ou micro centrales hydroélectriques. Cette étude a été publiée en octobre 2005. Un des objectifs visés est la mise en valeur de l’énorme potentiel hydroélectrique national ; l’étude cible 345 sites susceptibles d’être aménagés avec de petites centrales hydroélectriques.
La CNE a mis en application cette étude avec la conception et la conduite du projet d’électrification du centre de Kamonia par micro centrale hydroélectrique. La technologie utilisée est celle d’une roue hydraulique actionnant une génératrice. Le coût d’investissement de la MCH, y compris les réseaux de distribution, atteint près de 200.000 US $.
D’une puissance installée de 150 kW et d’un productible de 2 295 MWh, l’installation comprend :
De construction métallique et du type en dessous, cette roue a 3,5 m de diamètre et développe une puissance de 277 CV. Accouplée à un volant, la roue actionne une génératrice synchrone de 150 kVA par l’intermédiaire d’un multiplicateur de vitesse, constitué des poulies à gorges et courroies.
Cette MCH alimente près de 150 ménages, 3 centres médicaux, 4 écoles, quelques PME et ateliers ainsi que l’éclairage public selon une certaine répartition des charges.
Comme quoi, la technologie de la roue hydraulique peut encore servir de nos jours pour améliorer les conditions de vie de nos populations, surtout celles vivant en zones rurales. Toutefois, des considérations techniques doivent être prises en compte et bien respectées pour un fonctionnement optimal et durable.
Auteurs : Salome Misana and Gail V. Karlsson, 2001, UNDP, 95 pages
Région : Afrique, Asie, février 2005
Cette publication du PNUD analyse huit projets énergie-femmes mis en œuvre en Afrique du Sud, au Bangladesh, au Ghana, au Kenya, au Malawi, au Mali, au Népal et en Ouganda. Il propose des exemples concrets pour améliorer l’accès des femmes les plus pauvres à des services énergétiques accessibles et montre comment cela permet d’initier du développement local, en créant des revenus, en responsabilisant les femmes dans leur milieu social.
A partir de ces retours d’expériences, le document dénonce les aspects critiques dans la conception des projets et des politiques de l’énergie qui nuisent à l’amélioration de l’accès de femmes aux services énergétiques modernes en zones rurales.
Cette publication a été préparée dans le cadre d’un projet du PNUD intitulé « Energy and Women : Generating Opportunities for Development ». Ce projet a été initié en février 1999, avec le support de SIDA – Swedish International Development Cooperation Agency – et du programme Sustainable Energy Global de l’UNDP.
Cette publication (en anglais) du PNUD propose une lecture critique des options conceptuelles des projets et politiques visant à améliorer l’accès des femmes aux services énergétiques fondée sur l’étude des huit expériences suivantes :
Bulletin de liaison du réseau des experts de l’énergie décentralisée, Scarabée. Juillet 2005.
Ce document présente l’état de l’art en matière de « petit éolien » pour les pays en voie de développement.
Ce document, à télécharger ci-dessous, présente l’état de l’art en 2005 en matière de « petit éolien » pour les pays en voie de développement.
Les thèmes abordés sont les suivants :
Voir aussi :
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Dominique Finon, directeur de recherche au CNRS, chercheur au CIRED, Liaison Energie-Francophonie, décembre 2006.
Les pays africains n’ont a priori rien à apprendre des réformes des
pays européens. Les réformes de libéralisation imposées aux pays en
développement ont été conçues à tort en référence aux réformes
entreprises dans les années quatre vingt-dix
dans les pays industrialisés.
Cependant, à y regarder de plus près, des leçons peuvent être
tirées des réformes dans les pays européens, car elles rencontrent
d’importantes difficultés qui invalident un peu plus les médications
concurrentielles.
Elles introduisent difficilement une concurrence
effective ; les prix de marché concurrentiel sont plus élevés que les
tarifs antérieurs qui reflétaient les coûts, ce qui crée un problème
d’acceptabilité ; ils guident très mal l’investissement des compagnies
dont les risques sont tels qu’elles privilégient l’intégration verticale et
les contrats de long terme pour investir.
On doit en tirer des leçons
de modération pour les réformes africaines confrontées au désintérêt
des opérateurs étrangers alors que ces réformes étaient supposées
les attirer pour pallier le manque de financement. La priorité doit être
mise sur la bonne gouvernance de l’acheteur unique et des entreprises
historiques restaurées dans leur rôle d’investisseurs principaux.
Article extrait de la revue Liaison Energie-Francophonie (IEPF), n°73, quatrième trimestre 2006, Les réformes du secteur électrique : quel bilan, quelles perspectives pour l’Afrique ?
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Publication de Liaison Energie-Francophonie n°73, quatrième trimestre 2006.
CONTEXTE, MOTIVATION ET CONTOUR DES RÉFORMES
LES RÉFORMES EN AFRIQUE : DES PRATIQUES, DES LEÇONS POUR L’AVENIR
RETOUR D’EXPÉRIENCE DES AUTRES PAYS ET RÉGIONS DU MONDE
AMÉRIQUE LATINE
EUROPE
TENDANCES NOUVELLES ET PERSPECTIVES
> A télécharger sur le site de l’IEPF
Njeri Wamukonya (PNUE, Nairobi). Ogunlade Davidson (Fourah Bay College, Université de la Sierra leone, Freetown) et Abeeku Brewmammond (College ofengineering, Kwame Nkrumah, University of Science and technology, Kumasy), Liaison Energie-Francophonie, décembre 2006.
Les réformes du secteur de l’électricité se poursuivent depuis deux
décennies dans les pays d’Afrique subsaharienne, avec toutefois des
niveaux de mise en oeuvre différents à travers la région.
Généralement, la littérature traitant de ces réformes fait état d’une grande variété
d’objectifs, allant de l’amélioration des performances financières et
techniques à un accroissement de l’accès aux services, les moteurs
principaux étant le besoin d’améliorer les performances financières
et techniques des compagnies d’électricité nationales, d’accroître
l’accès à l’électricité et d’améliorer la durabilité environnementale.
C’est cependant, l’amélioration des performances financières et
techniques des compagnies nationales qui est le principal objectif
de la plupart des programmes de réforme du secteur électrique.
Cette orientation a été largement soutenue par les Institutions
Financières Internationales (IFIs).
Dans ce contexte, bien qu’il n’y
ait pas un modèle applicable à tous, la réforme a généralement
pour objectif de transformer par une déintégration
verticale et
horizontale, les monopoles d’État en entités concurrentielles, avec
une implication significative du secteur privé.
Article extrait de la revue Liaison Energie-Francophonie (IEPF), n°73, quatrième trimestre 2006, Les réformes du secteur électrique : quel bilan, quelles perspectives pour l’Afrique ?
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