Guinée : inauguration de la microcentrale électrique de Kountya

La Banque mondiale, le gouvernement de la Guinée et un opérateur privé ont financé la réalisation d’une microcentrale électrique.

Cette réalisation s’inscrit dans le cadre du programme d’électrification rurale soutenu par la Banque mondiale et le GEF et mis en œuvre par le Bureau d’Electrification Rurale Décentralisée (BERD).

La communauté rurale de développement (CRD) de Kountya dans la sous-préfecture de Koubia, préfecture de Gaoual, vient d’être dotée d’une microcentrale d’électricité. Cet investissement d’une valeur de 261 millions GNF a été conjointement financé par le gouvernement guinéen, le Fonds mondial de l’Environnement et un opérateur privé.

M. Mamadou Saliou Kansamba, l’opérateur privé, fils de la localité, a contribué à hauteur de 20%. Il a reçu un appui financier du Fonds d’électrification rurale décentralisée (FERD), qui est alimenté par le gouvernement guinéen à 30% et par la Banque mondiale (à travers le Fonds pour l’Environnement Mondial) pour les 50% restant .

La microcentrale de Kountya va contribuer à la lutte contre la pauvreté dans cette localité rurale de la région de Boké.

La cérémonie d’inauguration de ladite centrale a eu lieu en présence des responsables du Bureau d’électrification rurale décentralisée (BERD), du gouverneur de Boké et les autorités de Gaoual.


Source : un article publié le 19 août 2007 sur le site GuinéeConakry.info.

Elhadji SYLLA, ASER, René Massé

Malawi : la biomasse-énergie au niveau local

Ce document décrit les expériences du Programme de conservation de la biomasse dans le district de Mulanje au Malawi, et particulièrement l’évaluation des impacts sur le plan local, dans quatre villages. Le Programme PROBEC a été initié dans les pays de la SADEC depuis 1998 par la GTZ (coopération technique allemande) et vise à promouvoir les techniques de cuisson utilisant la biomasse de manière durable et efficace. Ses annexes fournissent des outils méthodologiques exploitables dans d’autres contextes (questionnaire, guide…).

« Programme for Biomass Energy Conservation. Impact assessment at local level. Experience from Malawi »

Auteur : Mme. Venra Brinkmann

Edition de la GTZ

62 pages en anglais

Année de publication : 2006

L’analyse des impacts a été réalisée dans quatre villages du district de Mulanje de juillet à septembre 2004. Elle couvre le leadership local, les producteurs et promoteurs des nouveaux foyers, les utilisateurs et les non-utilisateurs.

Depuis 1998, le Programme de Conservation de la biomasse (PROBEC) diffuse dans les pays de la SADEC différentes technologies de cuisson et d’utilisation rationnelle de la biomasse. Au Malawi, les fours à céramique et à briques ont été introduits via le Programme Intégré pour la sécurité alimentaire. Il avait pour cible les petites industries et les ménages privés, en particulier les femmes.

Ce document présente la méthodologie utilisée pour l’évaluation de ce programme et les résultats de l’analyse, ainsi que les conclusions et recommandations.

Cette méthodologie est applicable à toute région de l’Afrique sub-saharienne. Des annexes fournissent les modèles de questionnaires, les guides pratiques utilisés etc.

Les principaux résultats observés sont :

  • L’accroissement des revenus à travers la production des foyers améliorés,
  • L’amélioration de la santé via la réduction des fumées dans les habitations,
  • La diminution de la pressions sur les ressources forestières,
  • L’amélioration de la position sociale des femmes et de leur rôle dans les familles et villages,
  • L’accroissement de l’intérêt des hommes pour les affaires ménagères.
  • Un meilleur contrôle des terres ainsi que le recul de l’érosion et de la dégradation des sols.

Toutefois, des enseignements peuvent être tirés sur la façon d’améliorer la diffusion des foyers améliorés, la nécessité d’impliquer les chefs de villages et les comités de développement, la nécessité d’éduquer les potentiels utilisateurs finaux sur la notion de rareté des ressources en bois, la formation et la motivation des promoteurs et le transfert des technologies.

Source : article publié sur cette page du site de la GTZ, également proposé en téléchargement ci-dessous.

Pépin Tchouate

L’énergie de cuisson

Comment l’amélioration de l’approvisionnement en énergie de cuisson contribue à la réduction de la pauvreté de moitié d’ici 2015 ? Cette plaquette illustrée d’intérêt général présente l’expérience de la Coopération Technique Allemande (GTZ).

« L’énergie de cuisson : ce qui compte réellement pour réduire de moitié la pauvreté d’ici 2015 ».

Publication de la GTZ, HERA, programme énergie domestique

13 pages illustrées de photos.

Cette plaquette de la coopération technique allemande (GTZ) expose de façon générale la problématique de l’énergie de cuisson dans les pays en développement et donne quelques pistes d’amélioration en vue d’une contribution à la réduction de la pauvreté. Il est structuré comme suit :

  • Données sur l’énergie de cuisson
  • Avantages et inconvénients de l’utilisation de la biomasse comme combustible pour la cuisson
  • Technologies modernes de cuisson
  • Production à grande échelle des foyers améliorés
  • Technologies modernes de cuisson et réduction de la pauvreté
  • Impacts sur les femmes, la santé et l’environnement
  • La nécessité du partenariat public-privé pour la production à grande échelle des foyers améliorés.

En conclusion il rappelle que, parmi les objectifs du millénaire pour le développement, les Nations unies se proposent de réduire de moitié le nombre de personnes n’ayant pas accès à des combustibles de cuisson modernes d’ici à 2015. Pour atteindre cet objectif, il faut que chaque jour 500.000 personnes supplémentaires aient accès à une meilleure énergie de cuisson. Cet objectif est méritoire, mais il exige de la part de la communauté internationale un important effort de concertation pour s’attaquer au problème et pour sensibiliser la population aux enjeux et aux avantages du bois-énergie. Aussi, un engagement accru de la part des gouvernements des pays concernés par cette question est-il nécessaire pour améliorer le cadre stratégique et favoriser l’accès à une énergie de cuisson plus durable, moins polluante et plus abordable.

Pour plus de détails, voir ce document sur le site de la GTz, ou téléchargez le ci-dessous.

Pépin Tchouate

Guide pratique pour développer des projets bioénergie et d’approvisionnement en biomasse

Description des différentes étapes de développement des projets de valorisation de la biomasse en énergie.

« Bioenergy Project Development and Biomass Supply »

Publication de l’Agence internationale de l’Energie
Collection « Good Practices »

66 pages en anglais

Diffusé en 2007.

La biomasse et ses dérivés contribueront de plus en plus à la couverture des besoins énergétiques, aussi bien dans les pays développés que dans ceux en voie de développement. Ce guide de l’Agence Internationale de l’énergie (AIE), publié en 2007, apporte une assistance aux développeurs potentiels pour préparer un projets en bioénergie.

Le développement d’un projet bioénergie, aussi petit soit-il, requiert une analyse complexe des différentes étapes de la filière à mettre en œuvre. Cette publication attire l’attention du porteur de projet sur :

  • La disponibilité et le caractère renouvelable de la biomasse tout au long de la vie du projet ;
  • Les moyens d’approvisionnement de la centrale en biomasse (route, rail, fleuve, etc.) et leurs couts ;
  • Les possibilités de stockage ;
  • La caractérisation de la biomasse (qualité, humidité, etc) ;
  • Le choix de la technologie de conversion et de la taille de l’installation, en tenant compte des volumes disponibles, des risques technologiques et commerciaux ;
  • Le marché de l’énergie finale (chaleur, électricité, combustibles liquides et gazeux voire solides tels les pellets, etc.) ;
  • La conception et la construction de l’unité de conversion ainsi que le choix optimal de sa localisation.

Pour plus de détails, voir le rapport sur le site de l’IEA ou le télécharger ci-dessous.

Pépin Tchouate

Afrique du Sud : l’AFD finance une ferme éolienne

L’AFD a approuvé l’octroi d’un prêt de 100 millions d’euros maximum (ou son équivalent en rand sud africains) à la société Eskom Holding Limited pour le financement d’une ferme éolienne de 100 MW dans la province nord du Cap.

Dans le cadre de la lutte contre les gaz à effets de serre…

L’Afrique du Sud compte parmi les principaux émetteurs de gaz à effet de serre, du fait de la prépondérance du charbon dans son bilan énergétique, de la faible efficacité énergétique dans l’industrie, l’habitat et les transports et du faible coût de l’électricité, qui n’incite pas à l’économie.

La construction de cette ferme éolienne de 100 MW, qui produira environ 280 GWh d’énergie électrique par an, permettra d’économiser chaque année 250.000 tonnes de CO2 et viendra renforcer la sécurité de l’alimentation électrique de la région du Cap. Par sa taille et sa forte valeur d’exemplarité, ce projet permettra au gouvernement sud africain et à Eskom, l’opérateur national du secteur, de démontrer leur engagement dans la lutte contre les gaz à effet de serre et la promotion des énergies renouvelables.


Source : article diffusé dans la Lettre d’information de l’AFD de décembre 2007.

René Massé

Partenariat pour l’accès à l’énergie durable en Afrique

Voici différents documents issus du groupe de travail du Riaed dont l’objectif vise à favoriser le partenariat entre des entreprises du Nord et du Sud pour promouvoir un meilleur accès des populations d’Afrique aux énergies modernes.

Production du Groupe de travail « Partenariat  » du Riaed, réuni par l’APERe en Wallonie le 16 novembre 2007, en marge d’une conférence intitulée « Energies durables : créez vos opportunités commerciales vers l’Afrique ».

La conférence intitulée Energies durables : créez vos opportunités commerciales vers l’Afrique » a débuté à 14 heures le 16 novembre 2007 dans la salle de conférences du WEX (Wallonie EXPO). Y ont participé en plus des orateurs, 35 personnes dont 22 se sont inscrits sur la liste de présence (voir le fichier téléchargeable ci-dessous), représentant 16 Petites et Moyennes Entreprises, deux institutions publiques et une ONG.

Les productions du Groupe de travail « Partenariat » du Riaed

Après une brève présentation du RIAED par M. Tchouate, animateur de ce groupe de travail du Riaed, les présentations suivantes se sont succédées :

  • M. Amadou SOW : Cas du Sénégal
  • M. Adama SISSOKO : Cas du Mali
  • M. Jean bosco RWIYAMIRIRA : Cas du Rwanda
  • M. Hary ANDRIANTAVY : Cas de Madagascar
  • M. André NGUESSEU : Cas du Cameroun

Ces présentations ont essentiellement porté sur :

- > le marché de l’énergie durable/électrification rurale
- > le cadre règlementaire (organisation, engagements de l’État, conditions d’existence comme « opérateur », etc.)
- > l’attractivité du pays
- > la liste des projets pour lesquels les partenariats sont recherchés

- > les conditions de partenariats
- > les facilités et garanties accordées par l’État aux entreprises étrangères pour favoriser leur insertion dans ce secteur d’activités.

Après une séance de questions-réponses de 45 minutes, M. Stephane Romans de l’Agence Wallonne pour l’Exportation et des Investissements étrangers (AWEX) a présenté les incitants financiers en vigueur en Wallonie pour aider les PME de la région à prospecter et réaliser des nouveaux marchés à l’exportation.

Les discussions se sont poursuivies pendant le cocktail offert pour la circonstance par EDORA.

Tout au long de leur séjour en Belgique, les invités ont multiplié des rencontres individuelles avec les entreprises wallonnes. Il ne reste plus qu’à espérer qu’une intensification des échanges conduise à des partenariats pour un meilleur accès aux énergies modernes par les populations africaines.

Possibilités de partenariat

Le Mali, a proposé le projet de mise en œuvre des investissements des 5 premières années recommandés par l’étude du Programme décennal d’Electrification rurale (voir le document ci-dessous) dans les zones suivantes :

    • la zone à haut rendement commercial et d’émigration de la région de Koulikoro (cercle de Banamba) [EBAN] ;
    • la zone cotonnière de la région de Sikasso (cercle de Koutiala) [AKOU] ;
    • la zone arachidière et cotonnière du cercle de Kita dans la région de Koulikoro [AKIT] ;
    • la zone d’émigration de la région de Kayes [EKAY] ;
    • la zone minière de la région de Kayes [MKAY] ;
    • la zone minière et des localités frontalières de la région de Sikasso [SIKA] ;
    • la zone du Nord qui comprend les région de Tombouctou, Gao et Kidal [NORD] ;
    • la zone périphérique de Bamako [BAMA].

Le Rwanda a proposé une liste des projets hydroélectriques (voir document ci-après). Le potentiel est de 40 MW pour les projets de puissance installée supérieure à 5 MW, et de 52 MW pour l’ensemble des sites pouvant développer une puissance comprise entre 1 et 5 MW. En outre, 32 sites de puissance comprise entre 20 kW et 1 MW ont été identifiés, ainsi qu’une quinzaine de sites avec une puissance installée inférieure à 20 kW. Dans l’ensemble, le potentiel hydroélectrique du Rwanda est de l’ordre de 100 MW avec un productible d’environ 3,6 GWh par an.

Madagascar a proposé un partenariat pour le projet d’aménagement du site hydroélectrique d’Antsiafampiana (voir le document ci-dessous).

Pépin Tchouate, René Massé

Niger : La BID accorde 236 millions de dollars pour la construction d’un barrage sur le fleuve Niger

« Ce prêt a été négocié les 28 et 29 novembre 2007 à Djeddah (Arabie Saoudite) lors d’une table ronde qui a réuni une délégation nigérienne conduite par le Premier ministre Seyni Oumarou, et les responsables de la BID » indique un communiqué du gouvernement diffusé vendredi par la radio nationale.

Les travaux de construction de ce barrage débuteront en 2008.

L’ouvrage qui sera érigé à Kandadji, localité située à plus de 100 km de Niamey, sur le fleuve Niger, permettra d’assurer une retenue d’eau de près 1,6 milliard de m3.

Evalué à 300 milliards FCFA, le barrage de Kandadji permettra dans l’immédiat de maintenir la productivité, d’accroitre les productions agricoles et d’améliorer la qualité de l’eau et de l’environnement.

Il pourra aussi alimenter en eau une future centrale hydroélectrique, mais le financement de cette centrale reste à chercher auprès de partenaires privés du Niger. Actuellement, dépourvu de centrale hydroélectrique, le Niger approvisionne ses principales villes en électricité depuis le barrage de Kendji au Nigeria.


Source : article diffusé le 30 novembre 2007 sur le site du Journal Chrétien.

René Massé

Burkina Faso : expérimentation du réseau aérien monophasé avec retour par la terre (SWER)

Le Burkina Faso a mis en service le 8 février 2007 son premier réseau SWER . Aucun problème ni anomalie n’ont été constatés à ce jour.

Pour garantir la qualité des installations SWER, le Burkina ont édité en août 2006 des « Standards de distribution d’énergie électrique au Burkina Faso » exclusivement consacrés à la mise en oeuvre de réseau SWER.

Ce type de réseau a été très largement utilisé en Australie, pour l’électrification rurale. Il permet d’économiser le prix d’un conducteur et de l’allègement des poteaux consécutif : il est donc particulièrement adapté aux besoins des réseaux MT (19,1 kV au Burkina Faso).

René Massé

Sénégal : support de formation en énergies renouvelables, option systèmes hybrides (solaire / diesel)

Le document proposé en téléchargement a été préparé pour les besoins d’un Atelier organisé par l’ASER dans les Îles du Saloum à Ndangane, du 24 au 28 septembre 2007.

« Séminaire de renforcement des capacités de formation en énergies renouvelables : option systèmes hybrides (solaire / diesel) ».

Présentations sous PowerPoint de 199 pages

Atelier organisé par l’ASER en partenariat avec l’UNESCO

du 24 au 28 septembre 2007

dans les Iles de Saloum au Sénégal

L’Agence Sénégalaise d’Electrification Rurale (ASER), en partenariat avec l’UNESCO, et avec l’appui technique du Laboratoire d’Energies Renouvelables (LER) de l’ESP et du PERACOD, a organisé un Atelier de formation et de remise à niveau des acteurs et techniciens en énergie photovoltaïque. Durant ces quatre jours, des experts ont présenté les différentes sources d’énergies renouvelables en mettant plus particulièrement l’accent le photovoltaïque.

La partie pratique a été assurée par M. Mamadou Faye, à l’occasion de deux visites de centrales hybrides :

  • A Diamiadio, une centrale de 40kWc PV et un groupe diesel de 100kVA ;
  • A Baout, une centrale de 10kWc PV et un groupe diesel de 28kVA.

Des tests ont été effectués pour apprendre aux stagiaires le fonctionnement des centrales hybrides, les techniques de vérifications d’éventuelles défaillances, la maintenance des batteries solaires, des onduleurs…

Le document proposé ci-après en téléchargement regroupe toutes les présentations préparées et exposées par les intervenants, et traite successivement de chacune des énergies renouvelables, avant d’approfondir les questions sur le solaire photovoltaïque, les systèmes de stockage d’énergie, les centrales hybrides, les convertisseurs statiques pour l’optimisation et le transfert d’énergie, la maintenance, la planification, la gestion et le suivi des installations électriques (Système PV/Diesel).

Elhadji SYLLA, ASER, René Massé

Mali : Atelier de validation du rapport provisoire du plan directeur d’électrification rurale (PDER)

Les représentants des différentes structures gouvernementales et non gouvernementales chargées de la promotion de l’électrification rurale et les partenaires financiers se sont réunis trois jours pour valider le rapport provisoire de l’étude du plan directeur d’électrification rurale.

Le Directeur national de l’énergie a présidé l’atelier de validation du plan d’électrification rurale (PDER) du 1 au 3 août 2007 dans la salle de conférence de l’ex-CRES sur la colline de Badalabougou.

L’« Etude de l’Electrification Rurale » est réalisée par le Bureau d’ingénieurs Conseil Lahmeyer International- DECON-System Europe en trois phases successives, à savoir :

  • Etude du plan Directeur d’Electrification Rurale (PDER) ;
  • Etude de faisabilité du programme prioritaire d’électrification rurale ;
  • Etude d’avant projet détaillé du programme prioritaire.

L’étude du Plan directeur d’électrification rurale a été initiée en octobre 2005, financée par un don de la Banque africaine de développement (BAD) signé en novembre 2003, d’un montant estimé à environ 882 millions de F CFA, et par une contrepartie malienne de 87 millions de F CFA.

Cet atelier a mis en débat le projet de PDER et a permis de recueillir les commentaires, suggestions et recommandations des participants qui serviront à améliorer les travaux effectués par le bureau d’étude consultant et poursuivre l’exécution des phases restantes.

Thèmes de l’atelier

Cet atelier a été l’occasion d’un véritable tour d’horizon de la situation de l’électrification rurale dans le pays, avec des présentations sur :

  • Le Contexte actuel de l’électrification rurale
  • Le cadre institutionnel et organisationnel actuel du secteur de l’électricité
  • La situation économique et financière du secteur de l’électricité
  • L’électricité en milieu rural
  • L’état actuel de l’électrification au Mali et les projets de développement
  • Le SIG du PDER- Populations et localité non électrifiées du Mali
  • La demande potentielle en milieu rural- représentation dans le SIG
  • Les sources d’alimentation de la demande rurale et le réseau inter connecté et les centrales diesel
  • Les centrales hydrauliques
  • Les systèmes photovoltaïques et les systèmes hybrides éolien- diesel
  • Les sources Optimales de la demande rurale.

Plan directeur de l’électrification rurale (PDER)

Le PDER est structuré en six parties, qui sont :

  • Le plan de développement et classement des projets ;
  • L’impact du PDER sur le système de production et de transport ;
  • L’impact du PDER sur le cadre institutionnel ;
  • L’évaluation économique et financière ;
  • Le mécanismes de financement ;
  • Les risques liés à l’électrification rurale.

Sources : des articles publiés le 8 août 2007 sur le site Initiatives.net et sur le site de Maliweb.

Direction Nationale de l’Energie

BP 1872 plateau de Badalabougou bâtiment A1 Bamako

Tel : 222-45-28 / fax : 223-73-95

Courriel : dnergy@afribone.net.ml

Elhadji SYLLA, ASER, René Massé