Électrification rurale décentralisée : expérience en Guinée

Cette présentation, extraite de l’Atelier des praticiens sur l’Initiative Africaine pour l’Électrification qui s’est déroulé en juin 2009 à Maputo (Mozambique), explicite le cadre institutionnel d’un projet d’ERD mis en place en Guinée.

« Électrification rurale décentralisée : l’expérience en cours en Guinée »

Nava Touré

juin 2009

33 pages

Sommaire :

- Contexte général de l’Électrification Rurale Décentralisée (ERD) en Guinée

- Schéma du Partenariat Public-Privé en ERD

- Résultats atteints

- Faiblesses relevées

- Défis pour le changement d’échelle

Xavier Dufail

Cookstoves and Markets : Experiences, Successes and Opportunities

Ce rapport de GVEP-I étudie la question suivante : pourquoi le décollage des foyers améliorés de cuisson a-t-il été si lent dans les pays en voie de développement ?

« Cookstoves and Markets : Experiences, Successes and Opportunities »

Editeurs : Kavita Rai et Jevita MacDonald

Publication du GVEP International

Décembre 2009

41 pages en anglais

GVEP International a produit un rapport qui réunit une compilation d’articles écrits par des experts et des représentants d’institutions et de sociétés actives dans la promotion, diffusion et commercialisation de foyers améliorés de cuisson à travers le monde et plus particulièrement dans les pays du Sud où la grande majorité de la population dépend encore du bois et du charbon pour cuisiner.

Pourquoi les foyers de cuisson demandent-ils autant de temps et d’efforts pour être introduits sur le marché avec succès ? Le rapport prend en compte les défis liés à la commercialisation des foyers et analyse les autres raisons qui expliquent l’inertie de ce marché en dépit de l’énorme potentiel lié au remplacement des foyers inefficaces.

Un message est clair. Depuis la phase de conception du foyer jusqu’à celle de diffusion à grande échelle, la promotion de foyers améliorés est grandement dépendante des subventions publiques des gouvernements et des bailleurs (y compris des fonds carbone), du secteur particulier des institutions non lucratives et dans le climat actuel des entrepreneurs visionnaires impliqués dans le secteur social.


Source : article de Alessandra Moscadelli diffusé le 9 décembre 2009 sur le site du GVEP International, repris également sur le site de Hedon où le rapport également peut être téléchargé.

René Massé

Sénégal, Mali : la caravane marocaine de l’export engrange les contrats

Maroc Export a organisé la « caravane marocaine de l’export », réunissant 90 opérateurs économiques et officiels dans un voyage de prospection de trois marchés de l’Afrique de l’Ouest, Sénégal, Mali et Côte d’Ivoire, du 13 au 19 décembre 2009. Les deux premières étapes, Sénégal et Mali, ont conforté les promesses dans le secteur de l’électrification.

Imacab, filiale d’Ingelec, a signé un contrat ferme de 300.000 euros pour un projet d’électrification rurale dans le nord du Sénégal.

A Bamako, le ministre malien de l’Energie a exposé les grands chantiers du pays et soufflé la volonté d’adresser au Maroc une grosse demande de compteurs prépayés.

De son côté, Câbleries du Maroc, via sa filiale sénégalaise, Alliance Energie, a conclu une grosse affaire pour exportation de câbles au Mali. La transaction, dont le montant n’a pas été révélé, est assurée par Attijariwafa bank, via sa filiale Banque Internationale du Mali, dirigée par Youssouf Berrada.

Au-delà de ces belles affaires, le potentiel des marchés de l’Afrique de l’Ouest demande une meilleure structuration. Ce qui, pour Roland Youssef Mohan, chargé de stratégie marketing chez Tri Atlas Motors, passe par « un partenariat construit sur la qualification marketing et un business de l’intelligence ». Car le tout est de trouver « comment faire bénéficier l’Afrique de l’émergence industrielle et technologique marocaine ». Autrement dit, comment transformer en essai la mission de Maroc Export.


Source : un article de Bachir Thiam publié sur le site L’Économiste.

René Massé

Cameroun : mis en service la centrale électrique de Dibamba d’une puissance de 86 MW

AES Corporation (NYSE : AES) a annoncé le 15 décembre 2009 que sa filiale à participation majoritaire Kribi Power Development Company avait mis en service la centrale électrique de Dibamba d’une puissance de 86 MW. L’installation utilisera du fuel lourd et vendra l’électricité dans le cadre d’un contrat d’achat ferme d’une durée de 20 ans avec AES SONEL, la société camerounaise d’électricité.

AES a initié ses activités au Cameroun en 2001 à travers la privatisation de SONEL, le plus important producteur d’électricité au Cameroun. Avec l’ajout de l’installation de Dibamba de 86 MW de puissance installée, les filiales d’AES au Cameroun gèrent à présent une capacité installée de 1 017 MW, la majeure partie étant d’origine hydro-électrique.

La centrale thermique de Dibamba aidera à diversifier le portefeuille d’énergies du pays en fournissant une source importante d’électricité en période de consommation de pointe.

En 2009, AES a mis en service 890 MW de capacité de production au Chili, en Chine, en France, en Jordanie et en Irlande du Nord en utilisant des sources d’énergie thermiques et renouvelables. AES a également des projets en cours de construction en Bulgarie, au Chili, en Chine, en France, en Grèce, au Panama, en Écosse, en Turquie et aux États-Unis.


Source : un communiqué de presse reçu le 15 décembre 2009 de AES – SONEL.

Raoul Bertrand K. Mbenjo, René Massé

Cameroun : bulletins de l’Agence de Régulation du Secteur de l’Energie

Publication bimensuelle de l’Agence de Régulation du Secteur de l’Électricité (ARSEL), dont l’objectif annoncé est d’informer périodiquement sur les évènements importants du secteur de l’électricité au Cameroun et sur les activités de l’ARSEL.
Les bulletins n°1, 2 et 3 sont proposés en téléchargement.

Bulletin n°1 du 29 octobre au 22 novembre 2009

Au sommaire :

- « Le Directeur Général sur le terrain à Song Loulou »

- « Réunion AES-SONEL – ARSEL »

- « Le Comité consultatif des consommateurs de réorganise »

- « Campagne de sensibilisation »

- « L’ARSEL inflige une pénalité à AES-SONEL pour énergie non fournie en 2008 ».

Bulletin n°2 du 23 novembre au 6 décembre 2009

Parmi les articles présentés :

- « Projet Lom Pangar : les bailleurs de fonds dévoilent leurs intentions. Cet article présente les résultats de la table ronde des bailleurs de fonds du projet de construction du barrage hydroélectrique de Lom Pangar. L’AFD, la BAD, la Banque mondiale, la BEC, les Fonds saoudiens et la BDEAC ont annoncé leur intention de financer globalement 163 milliards de FCFA.

- « Projet ERD – RUMPI : les acteurs se concertent ». L’article décrit les avancées de la réunion de travail tripartite IED/AES-SONEL/ARSEL, qui s’est tenu 18 novembre 2009 à Douala.

- « Liste des associations de consommateurs agréées par l’ARSEL ». 21 associations de consommateurs ont été agréées.

Bulletin n°3 du 7 décembre au 2009

Parmi les articles présentés :

- « ARSEL prépare l’étiage 2010″

- « Agenda du secteur de l’électricité »

- « Projet ERD-RUMPI ; les régimes de l’électrification rurale en débat ». Le projet RUMPI a été conçu comme un projet pilote devant permettre de tester l’ensemble du dispositif mis en place par la réforme du secteur de l’électricité en ce qui concerne la zone rurale. Cet article présente les trois projets de textes qui devront compléter la loi du secteur.

- « Le projet d’interconnexion Cameroun – Tchad ». Ce projet a connu une accélération avec la signature le 23 octobre 2008 du Protocole d’Accord d’Interconnexion Électrique Cameroun – Tchad et d’Électrification des Localités Transfrontalières. Cet article fait le point de l’avancement du projet.

- « AFUR : Revue du modèle d’organisation et de la structure du marché de l’électricité ».

Bulletin n°4 du 22 décembre au 29 décembre 2009

Parmi les articles présentés :

- Inauguration de la centrale de Yassa—Dibamba

- Le régulateur chez les opérateurs

- Le Fonds d’Energie Rurale est créé

- Point sur l’offre de l’énergie durant l’étiage 2010

- Témoignage de satisfaction

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Vous pouvez demander à recevoir gratuitement le bulletin numérique de l’ARSEL en adressant un courriel à Arsel Newsletter.

Honoré DEMENOU TAPAMO, René Massé, Xavier Dufail

Tunisie : un centre international de formation en énergies renouvelables

D’un coût de l’ordre de 8MD, ce projet consiste en la création d’un centre international de formation destiné aux diplômés des écoles d’ingénieurs et des universités dans le domaine des énergies renouvelables et de l’efficacité énergétique et la création d’un centre international d’expertise dans le domaine des technologies de l’énergie solaire. Ce centre sera équipé d’un laboratoire spécialisé dans le solaire thermique et le solaire photovoltaïque.

L’objectif est de former des spécialistes de l’énergie renouvelable et de l’efficacité énergétique et de mettre les laboratoires nécessaires à la disposition des fabricants, utilisateurs et institutions de contrôle des produits.

Ce projet sera réalisé en 2010-211 par la société de gestion de la technopole de Borj Cedria en partenariat avec l’Agence Nationale pour la Maitrise de l’Energie.

Ce projet figure parmi les 40 projets du plan solaire qui intègre l’ensemble des domaines de l’efficacité énergétique et des énergies renouvelables selon la démarche adoptée par le plan solaire méditerranéen.

Avec ce Plan, l’objectif de la Tunisie est d’atteindre une capacité de production de 550 MW à partir des énergies renouvelables contre 115 MW actuellement et de mettre en place 350 000 mètres carrés de capteurs solaires supplémentaires au terme de 2014, portant ainsi la surface cumulée des capteurs solaires à 750 000 mètres carrés.


Source : un article publié le 8 décembre 2009 sur le site African Manager.

René Massé

Burkina Faso : prêt de 12,5 milliards FCFA de la banque indienne Exim Bank pour l’électrification rurale

La banque export-import de l’Inde (EXIM Bank) s’est engagée à soutenir les efforts du Burkina Faso dans l’électrification rurale à travers un accord de crédit d’un montant d’environ 12,5 milliards de francs CFA.

Acquis pour un taux d’intérêt de 1,75 %, pour une durée de remboursement de 20 ans et un délai de grâce de 5 ans, ce financement s’inscrit en droite ligne de la réforme du secteur de l’énergie électrique en vigueur au Burkina.

La réforme ambitionne de rationaliser le fonctionnement, d’accroître la concurrence et de réduire les coûts de l’électricité tout en étendant l’accès des services d’énergie aux populations rurales et péri urbaines.

Dans le cadre de ce projet, c’est plus d’une centaine de localités qui ont été retenues pour bénéficier de cette électrification rurale.

Selon le ministère burkinabé de l’énergie, 55 218 ménages devraient disposer de l’électricité soit autour de 643 357 habitants. L’ensemble des 13 régions du pays seront aussi desservies par ce projet.

Le coût total du projet est d’environ 12,5 milliards de francs CFA et 85 % de ce montant sera utilisé pour l’importation des biens et services en provenance de l’Inde.

Pour relever le défi de l’électrification rurale, le Burkina Faso a mis en place en 2008, un Fonds de développement de l’électrification rurale (FDE).

L’ambition du FDE (qui bénéficie également du soutien des partenaires au développement et les subventions et dotations budgétaires de l’Etat) est de récolter des fonds afin d’électrifier une soixantaine de localités chaque année.

Pour la période 2009-2012, 261 projets sont en cours et 299 localités sont concernées par ce programme d’électrification.

Les responsables du FDE ont expliqué que le programme d’électrification du Burkina des zones rurales est un ambitieux programme de près de 158 milliards de FCFA.

A ce jour, le taux d’électrification des zones rurales est de 3 à 4%, mais le gouvernement burkinabé entend relever, à travers ce Fonds, le défi d’électrifier 60% du territoire national, soit près de 300 localités d’ici 2015.


Source : Agence de Presse Africaine.

Xavier Dufail

Algérie : lancement de l’étude de faisabilité d’une tour solaire thermique

Une étude de faisabilité d’un projet de réalisation d’une tour solaire thermique, deuxième du genre dans le monde, a été lancée mardi 1er décembre 2009 à l’université « Saad Dahlab » de Blida par des techniciens allemands de l’Institut solaire de Julich. La visite de la délégation allemande fait suite à la signature d’un contrat de coopération entre la direction générale de la recherche scientifique et du développement technologique et l’institut solaire allemand « Julich », spécialisé dans la conception et le suivi scientifique de tours solaires thermiques.

Ce projet est destiné exclusivement à la recherche. L’étude de faisabilité, dont le coût est estimé à 100 millions de DA, est financée à hauteur de 80 % par la partie allemande alors que le coût global du projet est estimé à 30 millions d’Euros.

Le choix de l’université de Blida pour l’implantation de cette tour obéit, selon le recteur de l’université de Blida, Abdellatif Baba Ahmed, à plusieurs paramètres dont la proximité d’Alger, l’existence d’un terrain d’assiette qui s’adapte à ce genre de projets (15 à 20 ha) ainsi que la disponibilité d’un potentiel de chercheurs dans le domaine des énergies renouvelables, que ce soit au niveau de la direction générale de la recherche scientifique ou de l’université de Blida.

La tour solaire thermique projetée en Algérie, unique à l’échelle du continent et la deuxième dans le monde, fonctionnera selon le même principe technique que celle de « Julich » sauf que sa taille sera jusqu’à cinq fois plus grande que l’installation pilote de l’institut solaire de « Julich ».

Une autre particularité de la future tour solaire d’Algérie est son fonctionnement hybride, une sorte d’accouplement de l’énergie solaire avec le gaz naturel qui lui permettra également de développer des procédés additionnels, comme le réfrigération solaire, le traitement de l’eau, le dessalement de l’eau de mer, la production de chaleur industrielle en plus de l’électricité solaire.

L’Algérie, qui jouit d’un important potentiel solaire, constitue un terrain d’expérimentation idéal pour le développement de ce type d’énergie dont les avantages résident dans le rendement élevé en électricité solaire, un faible coût de revient de l’énergie électrique produite, des réserves de puissance plus élevées à même de couvrir les besoins du pays en électricité sans compter ses avantages sur le plan écologique grâce à l’utilisation de fluides propres.

Selon les initiateurs de ce projet, destiné exclusivement à la recherche, l’Algérie gagnera avec la réalisation de telles structures en matière de création de postes d’emploi, de formation de compétences et de transfert de technologie.

L’étude de faisabilité de ce projet dont le coût est estimé à 100 millions de DA, est financée à hauteur de 80 % par la partie allemande alors que le coût global du projet est estimé à 30 millions d’Euros.


Source : un article publié sur le site City-dz.

René Massé

Maroc : un prêt de 110 millions d’euros de la Bad pour développer le réseau électrique

La Banque africaine de développement (BAD) a approuvé le 3 décembre 2009 un prêt 109,82 millions d’euros pour un projet de développement du réseau de transport et de répartition de l’électricité de l’Office National de l’Électricité (ONE) du Maroc.

Le projet permettra l’amélioration de la qualité de service à l’ensemble des abonnés domestiques et industriels de l’ONE et aux régies de distribution.

De manière spécifique le projet bénéficiera à l’ONE et aux abonnés des zones subissant des chutes de tensions élevées ; aux villes nouvelles qui seront raccordées au réseau ; aux unités industrielles ; aux producteurs indépendants d’électricité, qui disposeront d’un réseau fiable pour évacuer la production de leurs centrales ; aux structures d’accueil touristique.

Le projet favorisera le parachèvement du Programme d’électrification rurale globale, qui vise à court terme la généralisation de l’électrification rurale.

De plus, le projet est conçu pour minimiser les pertes de transport d’énergie des sites de production vers le réseau de distribution.

La réduction des pertes d’électricité permettra d’économiser 376 GWh et d’éviter le rejet dans l’atmosphère de 183 000 t/an de CO2 par an après l’achèvement du projet. La réduction des pertes d’énergie est considérée comme l’une des mesures les plus efficaces de gestion et d’adaptation aux changements climatiques.


Source : Agence de Presse Africaine.

Xavier Dufail

Afrique du Sud : Atelier des sociétés africaines d’électricité à Johannesburg

Au début du mois de novembre 2009, la Standard Bank, une des institutions les plus impliquées en Afrique du Sud dans le financement de projets électriques, membre de la Coalition « Private Investors for Africa », et la Banque mondiale ont organisé un atelier de réflexion avec les responsables de haut niveau des sociétés électriques africaines. Il s’agissait d’offrir un forum pour des discussions franches sur les opportunités et les challenges qu’affrontent ces responsables dans leurs efforts de développement du secteur électrique en Afrique. L’objectif était aussi de mieux cerner comment les financeurs publics et privés comme la Banque mondiale et la Standard Bank pouvaient y contribuer.

Les travaux ont abordé tous les problèmes de gestion de la production et de la distribution d’électricité en Afrique : taux de crédit, gouvernance, producteurs indépendants (IPPs), privatisation, régulation, performances des sociétés, etc. occasion unique pour les managers de sociétés, les représentants de la Banque mondiale et de la Standard Bank d’exposer et d’entendre leurs différents points de vues sur ces questions.

L’Atelier a été conduit par Paul Eardley-Taylor, de la Standard Bank, qui a présenté l’évolution des tendances des sociétés de service électriques de façon globale et plus précisément en Afrique.

M. Bernard Tenenbaum, consultant de la Banque mondiale, a souligné « ce que les sociétés d’électricité ont besoin de savoir sur la régulation » (voir la présentation en anglais sur cette page du site de la Banque mondiale). Il a observé que la régulation était par nature sujet de controverse, et a insisté sur les deux principales exigences pour maintenir les sociétés en bonne santé financière : que le tarif recouvre les coûts et que le prix d’achat de l’énergie aux IPPs puisse être supporté par les clients. Il a soutenu que les Régulateurs n’accepteraient pas d’augmenter les tarifs avant que les sociétés n’aient fait démonstration que l’augmentation procurerait une valeur ajoutée en proportion avec l’effort financier demandé.

Des échanges plus techniques ont suivi, basés parfois sur des études de cas au Nigéria et en Zambie.

Pour l’Africa Region Energy Group (AFTEG) de la Banque mondiale, cet Atelier était le premier organisé conjointement avec le secteur privé. L’évaluation après l’atelier a montré une très vive satisfaction des participants. C’est pourquoi, l’AFTEG envisage d’organiser de nouveaux ateliers qui pourront apporter des conseils concrets sur certains des sujets abordés, comme par exemple comment utiliser les instruments de protection existants pour réduire les risques, ou encore analyser des études de cas de projets de développement d’électrification par extension de réseau et d’électrification hors réseau.


Source : un article publié le 25 novembre 2009 sur le site de la Banque mondiale.

René Massé