Maroc : don japonais de 7,4 millions de dollars pour une centrale solaire

Le Japon a octroyé un don de 7,4 millions de dollars au Maroc, destiné à la réalisation du Projet de promotion de l’énergie propre en utilisant le système solaire photovoltaïque.

L’échange de notes concernant ce don a été signé le 25 janvier 2010 à Rabat, par la ministre de l’Energie, des Mines, de l’Eau et de l’Environnement, Amina Benkhadra, et l’ambassadeur du Japon à Rabat, Haruko Hirose.

Ce don permettra de financer l’installation d’une unité de production électrique à partir de cellules photovoltaïques d’une puissance de 1 MW à Assa-Zag. Il pourra être utilisé notamment pour l’acquisition de produits pour la construction de la centrale PV, le transport des produits jusqu’au Maroc, la formation à l’utilisation des équipements ainsi que la formation éducative relative au projet.

Par la réalisation de ce projet, le Maroc disposera de la première centrale à énergie solaire photovoltaïque et la plus grande en Afrique à ce jour. Cette centrale va permettre, par le biais de l’énergie produite, d’améliorer la qualité de la tension dans la zone et d’alimenter les 5 300 foyers, administrations, coopératives artisanales et petites entreprises de la Province d’Assa-Zag raccordées au réseau électrique.


Source : Le Matin (Maroc).

Xavier Dufail

Botswana : prochaine construction d’une centrale solaire pilote, avec l’aide japonaise

La première centrale électrique au Botswana doit être construite en septembre 2010, avec l’intention de reproduire ce modèle dans tout le pays et de s’éloigner de l’énergie produite au charbon.

La centrale solaire Phakalane va produire un mégawatt ; sa construction sera financée par le gouvernement japonais.

La construction débutera en septembre, grâce à un partenariat « Engineering, Procurement, Construction & Gestion (IAGC) » avec une entreprise japonaise.

D’un coût de 83,8 millions de pulas (environ 9 millions d’euros), la station deviendra la première centrale photovoltaïque du Botswana, ce qui pourrait ouvrir des pistes de développement dans le secteur des centrales solaires.

Les appel d’offres pour les différentes composantes de la station devraient être lancés prochainement, et après achèvement la station sera reliée au réseau national.

L’ambassade du Japon a récemment indiqué qu’elle surveillera de près les performances de cette centrale pilote, en vue d’éventuellement prendre des initiatives similaires ailleurs au Botswana : « La centrale électrique de Phakalane sera une petite exploitation, d’un mégawatt, mais si le projet réussit, nous allons examiner des projets plus importants au Botswana ».

C’est regarder la situation actuelle de l’électricité au Botswana et dans la région.

Il est entendu qu’une aide supplémentaire en provenance du Japon pour les centrales photovoltaïques consisterait en de l’appui technique plus que par du financement, étant donné les coûts de confinement du développement de grandes centrales solaires.


Source : Solar4Africa (en anglais).

Xavier Dufail

Guinée : prochaine réalisation d’un barrage hydro-électrique sur le fleuve Cogon

La société aurifère de Kouroussa s’est engagée dans la lutte contre la pauvreté par la réalisation prochaine d’un barrage hydro-électrique sur le fleuve Cogon pour palier à la crise de courant électrique dans le corridor de Boké notamment la ville de Boké et les CRD de Kamsar et Sangarédi.

Pour mettre en œuvre ce projet, une cérémonie de lancement des travaux de révision des études de faisabilité et environnementales a eu lieu le jeudi 25 mars 2010. Les études seront exécutées par deux firmes canadiennes à savoir SNC-Lavalin et AECOM (TESCULT) pour un montant de 150 millions USD, pour une production énergétique estimée entre 50 et 80 MW pour une durée de réalisation de 5 ans.

Selon la société aurifère de Kouroussa, Semafo-Guinée, ce projet hydro-électrique sur le fleuve Cogon est fait pour venir en aide aux populations riveraines du corridor de Boké et pour le rentabiliser ; une partie de l’énergie produite sera utilisée par les sociétés minières de la région et l’autre, par les populations. Car le déséquilibre existant entre ceux qui bénéficient le courant électrique de la CBG et ceux qui n’en bénéficient pas a engendré des pressions sociales constantes sur la CBG et sur les Autorités locales et nationales.


Source : Un article publié sur Aminata.com.

Xavier Dufail

Sénégal : promotion des foyers métalliques dans les boulangeries traditionnelles

Ce projet d’ENDA Sénégal favorise, le remplacement des fours traditionnels par des fours métalliques de plus grande efficacité dans les boulangeries traditionnelles, activité essentiellement tenue par des femmes.

Les boulangeries traditionnelles utilisant le bois comme combustible sont très développées au Sénégal au point d’entrer en compétition avec les boulangeries modernes.

Jusqu’à ces dernières années, la boulangerie traditionnelle était une activité économique présente surtout dans les régions éloignées de Dakar. Cependant, et de plus en plus, le pain dit Tapalapa est disponible dans certains quartiers de la capitale comme pour marquer l’intérêt des consommateurs et les opportunités commerciales pour les opérateurs de boulangerie dite traditionnelle.

En plus des opérateurs en boulangerie traditionnelle, les fours métalliques constituent également une opportunité technologique pour les torréfacteurs actifs dans le domaine de la pâte d’arachide, des noix de cajou, de soump, du sésame et du café Touba. Ainsi, par rapport à la torréfaction spécifiquement, le potentiel est estimé à plus de 50 opérateurs, dans les grandes villes, et autour de 20 dans les autres zones. D’où un marché potentiel de 200 FP commercialisables dans les deux phases du projet.

Jusqu’ici, la plupart des fours utilisés pour la boulangerie traditionnelle sont construits en banco (argile) et sous forme de dôme reposant sur une surface plate qui constitue la table. Chez certains opérateurs, cette surface plate a été améliorée par un système de carrelage permettant de conserver plus durablement la chaleur.

En dehors de ces aspects, il faut souligner qu’avec ces types de fours traditionnels, les boulangers étaient toujours exposés à la fumée qui s’y dégage et les conditions hygiéniques ne sont pas toujours réunies pour optimiser la qualité du pain, comme principal produit fini.

En termes de diversification des produits, quelques boulangers proposent, au-delà du pain, de la pâtisserie vendue de façon irrégulière. La vente des produits finis repose sur une chaîne de revendeurs (Boutiques) installés dans quelques villages alentours et au niveau des marchés quotidiens ou hebdomadaires (Lumas). Les retours de pain sont parfois importants du fait, le plus souvent, de la mauvaise qualité du pain (composition et pétrissage) et des conditions de distribution auprès des revendeurs (ensachage du pain, transport par charrette, par vélo ou sur l’épaule) et des paramètres climatiques (température parfois très élevées dans certaines zones rurales).

Dès lors, notre démarche consiste à promouvoir l’accès à un type de four fortement amélioré fait en caisson métallique, avec plusieurs compartiments et pouvant prendre alternativement diverses sources d’énergie (bois, charbon de bois, bioénergie, GPL). Compte tenu des coûts de fours proposés la barrière financière serait en partie levée par l’implication des institutions de micro-financement.

L’approche du projet consiste, dans un premier temps, à appuyer l’accès aux fours métalliques en vue de leur commercialisation au sein des réseaux d’organisations de femmes transformatrices de produits céréalières de Thiès et alentour. Sur la base d’une stratégie de communication appuyée, Enda travaillera à rendre le four accessible à d’autres opérateurs des zones les plus défavorisées.

Pour accéder et commercialiser les fours, le projet compte s’appuyer sur les mécanismes internes de micro-crédits propres aux groupements de femmes, avant de prospecter au niveau des institutions de micro finances pour les compléments adaptés à la situation de chaque organisation intéressée. Il en est de même pour les opérateurs individuels. Des mécanismes financiers adaptés seront étudiés et mis en place à partir des mécanismes financiers du marché.

La distribution des fours se fera sur plusieurs échelles, notamment, au travers des différentes manifestations de démonstration/information prévues par le projet et par contact direct avec les opérateurs prospectés dans les autres régions, éventuellement, en partenariat avec d’autres projets/programmes de développement local.


Source : le site du programme EASE.

Xavier Dufail

Madagascar : inauguration d’une centrale électrique à biomasse

Le 15 mars 2010 a été inaugurée la centrale électrique à biomasse de la commune rurale d’Anjiajia, dans la région Boeny. Désormais l’électricité y est disponible de 09h à 23 h.

Le ministère de l’énergie, l’Agence de Développement de l’Électrification Rurale (ADER), et la société Casielec sont les principaux acteurs de ce projet.

« Depuis près de 7 mois, la commune d’Anjiajia bénéficie de l’électricité via une centrale à biomasse » se félicite le maire de la commune. « Nous disposons actuellement de 200 abonnés sur une population totale de 29 700. L’objectif du nombre des abonnés pour la première année a été atteint dès le 7ème mois. La commune possède également 30 poteaux d’éclairage public » ajoute encore ce premier responsable de la Commune.

La centrale à biomasse tourne par le biais des déchets, notamment par les déchets de riz décortiqué ou sons de riz que l’on transforme en gaz à l’aide des turbines, qui, à leur tour, fournissent de l’électricité d’une puissance de 40 kW. Le besoin quotidien nécessite en moyenne 64 sacs de ces déchets et sons de riz afin d’assurer les 14 heures d’électricité.

La Casielec est l’un des 24 partenaires de la JIRAMA en matière d’électrification rurale à Madagascar. Elle travaille dans 6 Communes de la Région du Boeny. La mise en place de ces infrastructures a coûté Ar 461 627 012 dont 10% proviennent des ressources propres de la commune d’Anjiajia (Ar 43 640 000).


Source : La Tribune de Madagascar.

Xavier Dufail

Kenya : Lighting Africa 2010

La 2ème Conférence internationale sur l’accès à l’énergie et l’éclairage hors-réseau se déroulera du 18 au 20 mai 2010 à Nairobi (Kenya).

La deuxième édition du « Global Business Conference & Trade Fair for Off-Grid Lighting in Africa » se déroulera à l’Hôtel Safari Park à Nairobi, au Kenya.

Plus de 400 participants ont assisté à la première édition qui s’est tenue en mai 2008, à Accra, au Ghana. La participation devait être plus importante cette année, attirant des participants provenant de tout le continent africain et partout dans le monde. Les participants attendus seront des représentants de l’industrie mondiale de l’éclairage, des promoteurs privés, des sociétés de services énergétiques, des fournisseurs de services et d’équipements, des institutions financières, des organisations bilatérales et multilatérales, des décideurs politiques, des utilisateurs finaux, des universités, etc.


Source : le site de Lighting Africa (en anglais).

Xavier Dufail

Sénégal : ENERBATIM, salon International des Énergies Renouvelables et du Bâtiment

La première édition du Salon International des Énergies Renouvelables et du Bâtiment sera organisé du 7 au 9 mai 2010 à Dakar (Sénégal).

Nombre d’exposants : 110 exposants attendus

Ce salon se veut être la vitrine africaine de découvertes des nouveautés, innovations, tendances du bâtiment et efficacité énergétique mais aussi de générateurs d’affaires et de promotions pour permettre aux exposants de capter le potentiel que représente les Énergies Renouvelables et le Bâtiment en Afrique.

Ce sera le lieu d’expositions, de démonstrations des réalisations des professionnels pour concevoir le bâtiment de demain : réduction des déperditions énergétiques, développement des énergies renouvelables, etc. Les énergies renouvelables apportent des solutions énergétiques nouvelles pour la construction et la rénovation de bâtiments performants et durables.


Source : site Web du salon ENERBATIM.

Xavier Dufail

RDC : la briquette biomasse pour sauvegarder les forêts et parcs du Kivu

Dans le Kivu, dans l’est de la République démocratique du Congo (RDC), quelques familles des quartiers déshérités expérimentent depuis quelques mois les briquettes biomasse comme une source d’énergie propre réduisant la pollution, l’insalubrité et la déforestation qui étouffent la région.

Le projet est le fruit d’une collaboration entre le Parc national de Virunga (PNVi), l’Institut congolais pour la conservation de la nature (ICCN) et le réseau Environnement ressources naturelles et développement (ERND) qui vulgarisent ces briquettes appelée ‘makala ya sasa’ (signifie nouvelle braise, en kiswahili) comme une alternative à l’utilisation du bois de chauffe et de braise.

Les briquettes de biomasse sont fabriquées à partir de feuilles, d’écorces et de pelures de fruits ou d’autres déchets agricoles tels que le riz, le haricot, le maïs, la canne à sucre… Bisimwa Nshombo, ingénieur du réseau ERND, ajoute à cette liste la sciure du bois, et du papier de toute sorte.

A Goma, la principale ville du Nord-Kivu, un sac des briquettes de 60 kilogrammes coûte 12 dollars alors que le prix de la même quantité de charbon oscille entre 25 et 30 dollars. A Bukavu, le sac est vendu à 12.000 francs congolais (environ 13 dollars).

Dans le territoire de Rutshuru, l’ICCN a lancé un projet de fabrication de briquettes combustibles, avec une formation donnée à quelque 3.000 personnes bénévoles qui apprennent cette nouvelle technique.

Selon les membres et experts de ERND, la briquette présente beaucoup d’avantages par rapport aux bois de chauffe et le charbon. « Elle ne produit pas de fumée si le dosage du mélange sciure-papier a été respecté lors de sa fabrication ». En outre, son coût d’achat reste préférentiel. « La briquette permet à nos familles d’économiser de l’argent, de l’énergie. », affirme Bahati à IPS.

Le prix de la briquette n’est pas aussi élevé que celui du charbon. Selon Murhula Zagabe de ERND, il varie d’un endroit à un autre où la briquette a été produite. A Bukavu, 12 briquettes font un kilogramme qui coûte 200 francs congolais (FC, environ 0,22 dollar) alors qu’un kilo de charbon équivaut à 1.000 FC (1,11 dollar), indique-t-il à IPS.

Zagabe précise qu’un kilo de haricot est préparé à l’aide de 25 briquettes, soit deux kilos qui reviennent à 400 FC (0,44 dollars) alors qu’il faut un kilo et demi de charbon qui revient à 1.500 FC (environ 1,66 dollar) pour préparer la même quantité de haricot qui est un aliment principal à Bukavu et Goma.

C’est « un gain non négligeable alors que le revenu mensuel d’un ménage congolais tourne souvent autour de 30 dollars », souligne Nshombo du réseau ERND.

De Mérode promet que dans une année, d’ici le 30 juin 2011, quelque 300.000 personnes auront abandonné l’utilisation du bois de chauffe et du charbon au profit des briquettes biomasse. « Près de 92 % de makala (braise) produit au Nord-Kivu provient d’arbres abattus dans le parc. Et 20 pour cent de cette aire protégée, c’est-à-dire environ 160.000 hectares, sont déjà détruits par la déforestation illégale et la production du charbon de bois ».

Le coordonnateur du groupe de travail de la société civile du Sud-Kivu, Climat REDD (Réduction des émissions liées à la déforestation et la dégradation des forêts), Roger Muchuba, souligne à IPS que la déforestation est une réalité dans cette province. Il affirme que cette situation provoque déjà des conséquences néfastes, ajoutant : « Les pluies, qui se sont abattues les fois dernières à Mwenga et à Tubimbi dans le territoire de Walungu, ont emporté des villages et des ponts ».

Des agents de l’ICCN sensibilisent les populations aux questions de la déforestation et des énergies durables. Le programme recherche également des organisations locales capables de produire des briquettes biomasse. Il leur donne une formation de quatre jours sur la production, le marketing et la vente de briquettes.

« Ce nouveau carburant présente l’avantage d’être une source d’énergie durable, écologique et bon marché. Le coût de production est bas. Les matières premières sont abondantes, et les briquettes fournissent 70 pour cent d’énergie en plus par rapport au makala », affirme Balemba à IPS.

Mais, certains vendeurs qui vivent de la coupe des arbres réagissent : « Nous n’avons que ce seul travail depuis nos ancêtres ; c’est notre vie. Qu’allons-nous devenir ? ».

Il faudra du temps pour faire comprendre à ceux qui doutent encore des désastres de la déforestation sur leur vie et celle des autres, reconnaissent les agents de l’ICCN.


Source : International Press Service.

Xavier Dufail

Maroc : présentation du Plan Solaire Marocain

Jean-Louis Borloo (ministre français de l’Écologie, de l’Énergie, du Développement durable et de la Mer) et Amina Ben Khadra (ministre marocain de l’Énergie, des Mines, de l’Eau et de l’Environnement) ont présenté du Plan Solaire Marocain mercredi 11 mars 2010. Il prévoit la construction d’une capacité de production électrique utilisant l’énergie solaire de 2GW entre 2015 et 2019.

Le Plan Solaire Marocain est une initiative majeure pour favoriser le développement des énergies renouvelables. Un premier appel d’offre sera lancé dès l’automne 2010 pour construire et exploiter plusieurs centrales d’une capacité de 500 MW à Ouarzazate.

Dans le détail, le projet marocain comportera 5 centrales solaires à :

- OUARZAZATE : Puissance : 500 MW / Superficie : 2500 ha / Production : 1150 GWh/an

- AIN BENI MATHAR : Puissance : 400 MW / Superficie : 2000 ha / Production : 835 GWh/an

- FOUM AL OUAD : Puissance : 500 MW / Superficie : 2500 ha / Production : 1150 GWh/an

- BOUJDOUR : Puissance : 100 MW / Superficie : 500 ha / Production : 230 GWh/an

- SEBKHAT TAH : Puissance : 500 MW / Superficie : 2500 ha / Production : 1040 GWh/an

Ainsi, en 2020, le Maroc prévoit que la part de la puissance électrique installée en énergie renouvelable (éolien, solaire, hydraulique) s’établira à 42% du parc.

Les objectifs du Plan Solaire Marocain sont cohérents avec ceux du Plan Solaire Méditerranéen (PSM), volet particulièrement important de l’Union pour la Méditerranée, qui vise à développer des projets de centrales électriques utilisant des sources d’énergies renouvelables sur les rives Sud et Est de la Méditerranée pour une production additionnelle totale de 20 GW d’ici 2020.

La France et le Maroc ont convenu de mettre en place un partenariat institutionnel, technique et financier afin d’assurer le succès du Plan Solaire Marocain.


Source : MEDDEEM.

Xavier Dufail

Chine : étude sur le changement de combustible domestique en milieu rural

Basé sur l’analyse des données d’une enquête effectuée auprès des ménages ruraux de la province de Hubei (Chine) en 2004, ce document (en anglais) explore les modes d’utilisation du combustible domestique et de leurs changements, en utilisant une approche statistique.

« Household Level Fuel Switching in Rural Hubei »
_Peng Wuyuan, Hisham Zerriffi, Pan Jihua / PESD Stanford

aout 2008

20 pages

(document en anglais)

Des données indiquent que le passage de la biomasse à des sources commerciales modernes en est encore à un stade précoce, les revenus devront augmenter significativement pour que l’utilisation de la biomasse décroisse, et que l’utilisation de fuel domestique varie considérablement entre les régions géographiques étant donné la disparité d’approvisionnement des différentes sources d’énergie.

Lien vers le document : Household Level Fuel Switching in Rural Hubei (PDF)


Source : PESD Stanford (en anglais).

Xavier Dufail