Algérie : l’état soutient le prix de l’électricité produite à partir de l’énergie solaire

Le prix de l’électricité produite à partir de l’énergie solaire dans les wilayas du Sud sera soutenu par l’État.

C’est ce qu’a affirmé le 6 mai 2010 le ministre de l’Énergie et des Mines, M. Chakib Khelil. Le ministre a expliqué que ce soutien se fera en dépit du coût élevé de cette énergie renouvelable.

M. Khelil a indiqué que « le prix de l’électricité produite à partir de l’énergie solaire ne changera pas grâce au soutien de l’État et à la promotion de l’utilisation des énergies renouvelables ». Évoquant le bilan du plan national de soutien aux énergies renouvelables, le premier responsable du département de l’énergie a rappelé, à cet effet, la réalisation d’une station de production d’électricité à partir de l’énergie solaire et du gaz à Hassi Rmel, devant produire cette année 150 mégawatts d’électricité ainsi que le lancement d’un projet de production d’électricité éolienne avec une capacité de 10 mégawatts dans la wilaya d’Adrar.

Selon M. Khelil, la production d’électricité à partir de l’énergie solaire concerne actuellement une vingtaine de localités à l’extrême Sud et 16 wilayas en attendant sa généralisation dans d’autres régions. Il a ajouté que les énergies renouvelables pourraient contribuer à la production d’énergie en Algérie à hauteur de 5 % en 2017 et de 35 % en 2040.

Saluant le fonds national des énergies renouvelables qui procède à des retenues de 0,5% des recettes fiscales pétrolières pour le financement de ces projets, le ministre a noté que le projet de réalisation d’un institut de développement des énergies renouvelables aura un rôle important dans ce domaine.


Source : La Tribune (Algérie).

Xavier Dufail

Gabon : 124 milliards de CFA pour deux barrages hydroélectriques

Le gouvernement gabonais vient de signer une convention de 124 milliards de francs CFA avec la Compagnie de développement des énergies renouvelables (CODER), pour la construction de deux barrages hydroélectriques dont l’un sur le fleuve Ngounié, et l’autre sur le fleuve Okano dans le Woleu-Ntem.

Le barrage de la Ngounié, « Impératrice », dont le coût est estimé à 70 milliards de francs devrait dégager une puissance de 84 mégawatts. « C’est un projet destiné à fournir de l’énergie propre à moindre coût au pôle (niobium de Mabounié, manganèse de Ndjolé…) et aux industries de transformation de bois situées dans la province du Moyen-Ogooué. Il devra également alimenter les villes de Mouila et Mandji dans la Ngounié, et renforcer la desserte de Libreville, notamment la zone économique spéciale de Nkok », a expliqué le ministre de l’Énergie.

Le barrage de l’Okano, « FE 2 », s’intègre quant à lui dans le cadre du programme national d’électrification rurale qui comprend la création du réseau interconnecté de la province du Woleu-Ntem (Nord) pour plus de 23 milliards de francs CFA.

« La durée de la convention est de 30 ans et le délai de la réalisation de l’ouvrage est de 30 mois. Le Projet devrait permettre d’apporter une capacité de développement supplémentaire dans cette province et de contribuer à la lutte contre la pauvreté à travers le développement des activités de la petite industrie (transformation du bois, hévéaculture, services), de l’artisanat, de l’agriculture et du commerce ».

Selon le ministre de l’Énergie, la réalisation d’Impératrice et FE 2 devraient créés près de 3000 emplois dont 200 emplois directs pour les travaux et 100 indirects pour le second ouvrage, alors que le premier devrait générer 400 emplois directs et 200 indirects.

Ces projets dont les charges seront entièrement supportées par la CODER, s’inscrivent par ailleurs dans le cadre des défis du nouvel exécutif qui espère booster la production énergétique locale dans les 5000 mégawatts à l’horizon 2020, alors qu’elle peine actuellement à dépasser les 374 mégawatts. Ils doivent aussi permettre au gouvernement de supprimer progressivement la production d’électricité produite à partir d’énergie fossile, notamment le fuel lourd.


Source : GabonEco.

Xavier Dufail

Cambodge : étude sur la diffusion d’équipements de cuisson domestiques économes en bois

Cette étude fournit un retour sur les dix ans d’un programme visant à développer la fabrication, la promotion et l’utilisation de cuiseurs autonomes (foyers améliorés) en zone urbaine au Cambodge, ainsi que sur les modalités d’accès à la finance carbone de ce programme.

« Diffusion d’équipements de cuisson domestiques économes en bois au Cambodge »

GERES

décembre 2009

69 pages

Cet ouvrage consiste en un retour d’expérience dont les objectifs sont de :

- Partager des outils méthodologiques innovants et validés dans le domaine de la biomasse énergie ;

- Évaluer quantitativement et qualitativement les impacts socio-économiques et sanitaires de la diffusion des cuiseurs économes au Cambodge ;

- Revenir sur l’articulation de ce programme avec les mécanismes internationaux de la lutte contre le changement climatique.

Sommaire

  1. Retour sur la cuisson à la biomasse dans les pays du Sud et les leçons apprises du projet GERES au Cambodge
  2. Impacts socio-économiques et sanitaires
  3. La finance carbone : un nouveau levier financier pour les projets de cuiseurs économes

Source : GERES.

Xavier Dufail

Afrique du Sud : projet d’aide à l’investissement d’Eskom

Le Conseil des Administrateurs de la Banque mondiale a approuvé le 8 avril 2010 un prêt d’un montant de 3,75 milliards de dollars pour aider l’Afrique du Sud à assurer une offre viable d’électricité.

Ce projet se donne d’aider l’Afrique du Sud à assurer une offre viable d’électricité tout en finançant également la mise en place d’installations de production d’électricité solaire et éolienne parmi les plus importantes dans le monde en développement. Représentant la première opération d’envergure jamais entreprise par la Banque avec l’Afrique du Sud depuis l’effondrement de l’apartheid il y a 16 ans, le prêt vise à aider directement les pauvres par la création d’emplois dans le même temps où l’économie se remet des effets de la crise financière mondiale, ainsi que par l’établissement de capacités supplémentaires de production d’énergie dans le but d’élargir l’accès à l’électricité.

Le prêt est destiné à la société sud-africaine d’électricité Eskom et est la résultante des circonstances exceptionnelles créées notamment par la crise énergétique que le pays a connue en 2007 et au début de 2008, ainsi que par la crise financière mondiale qui a contribué à exposer au grand jour la vulnérabilité du pays aux chocs énergétiques et à l’éventualité de conséquences économiques graves.


Source : Banque mondiale.

Xavier Dufail

Schneider Electric souhaite développer une microcentrale solaire thermodynamique

L’entreprise précise que ce type de solution est destiné aux pays en voie de développement.

Schneider Electric a dévoilé le 27 avril 2010 le projet « MiCST », dont il est à l’origine, et qui fédère 12 partenaires. « MiCST » est l’acronyme de MicroCentrale Solaire Thermodynamique : le groupe et ses associés ont pour objectif de concevoir et de proposer une centrale solaire utilisant le rayonnement solaire pour chauffer une réserve d’énergie thermique alimentant une machine thermodynamique couplée à un alternateur de 10kW.

La solution, simple et d’une maintenance limitée, devra s’adapter à tout site non raccordé au réseau électrique. La solution sera « plus particulièrement destinée aux pays en voie de développement bénéficiant d’un fort taux d’ensoleillement », explique Schneider, qui met à contribution ses partenaires sur une période de 42 mois, avec le soutien de l’ADEME.

MiCST est un projet s’inscrivant dans le programme de Schneider Electric d’accès à l’énergie, BipBop (Business, Innovation & People at the base of the pyramid), qui vise à favoriser un développement pérenne des populations de la base de la pyramide à travers des offres adaptées, de la formation et le développement d’un entrepreneuriat local.


Source : Boursier.com.

Xavier Dufail

Maroc : 3 accords sur l’énergie conclus avec la France

Le Maroc et la France ont signé, le 22 avril 2010, trois accords bilatéraux dans le domaine énergétique renforçant ainsi leur coopération dans des domaines d’intérêt commun.

Signé par la ministre marocaine de l’Énergie, des Mines, de l’Eau et de l’Environnement, le premier accord porte sur la construction d’une ville nouvelle pilote (Ch’rafat-région de Tanger) à faible consommation d’énergie.

La partie française financera ce projet sous forme de don à hauteur de 521 158 euros, au titre du fonds d’étude et d’aide au secteur privé (Fasep) et le Maroc financera et réalisera la construction du bâtiment pilote.

Cet accord prévoit également l’accompagnement par les autorités françaises et marocaines de la mise en œuvre par le Maroc, d’un code d’efficacité énergétique dans le secteur du bâtiment.

Dans ce contexte, le Fonds français pour l’environnement mondial (FFEM) participera au financement, sous forme de don, à hauteur de 900.000 euros, d’un programme d’appui au programme national d’efficacité énergétique dans le bâtiment.

La seconde convention, signée entre l’Agence de développement des énergies renouvelables et de l’efficacité énergétique (Aderee) et l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (Ademe) de France, vise à développer la coopération bilatérale dans le domaine des énergies renouvelables, de l’efficacité énergétique et des technologies propres.

Cette convention prévoit également l’animation et l’accompagnement des politiques dans ces domaines au niveau régional ainsi que la sensibilisation aux problématiques du développement durable et des changements climatiques.

Le troisième accord, signé entre l’Office national de l’électricité (ONE) et l’Agence française de développement (AFD), porte sur le financement de la 5ème phase du programme d’électrification rurale global (Perg), dont l’objectif est d’étendre la desserte électrique dans huit provinces (El Hajeb, Ifrane, Meknès, Errachidia, Khénifra, Khémisset, Kalâa Sraghna et El Jadida).

Cette desserte électrique bénéficiera à 449 villages et 17 872 foyers pour un coût total de 534 MDH (environ 49 M d’euros).


Source : Le Matin (Maroc).

Xavier Dufail

Madagascar : une centrale solaire pour le village d’Ankaranana

Une centrale photovoltaïque produira de quoi éclairer un hôpital ainsi que différents locaux et lieux publics. Cette énergie permettra également d’alimenter des batteries rechargeables.

L’entreprise suisse Agena développe une centrale électrique solaire pour répondre à la demande de la communauté rurale d’Ankaranana – 2100 habitants, située dans la province d’Antananarivo.

L’installation d’une puissance de 3240 Wc comprend plusieurs modules photovoltaïques choisis pour leur fiabilité, ainsi que l’ensemble des éléments techniques logés dans un container de transport.

Le village bénéficiera d’un réseau électrique pour alimenter les bâtiments publics – hôpital, mairie, école, salle de réunion – mais aussi les épiceries, ateliers et le marché couvert. L’ingénieur à l’origine du projet, Philippe Meister, précise qu’un second volet de l’initiative « doit permettre d’éviter la dissémination dans la nature de centaines de milliers de piles usagées qui servent à alimenter les lampes de poche, seules sources d’éclairage des ménages plongés dans le noir à la nuit tombée ».

En substituant les piles jetables par des accus rechargeables à l’électricité solaire, ce projet pilote va permettre la mise en œuvre d’un mode de gestion des déchets et de l’énergie plus respectueux de l’environnement. L’initiative bénéficie de l’appui de l’ADER, l’Agence du Développement de l’Électrification Rurale, dépendant du Ministère de l’énergie de la République de Madagascar.


Source : Presse Portal (Suisse).

Xavier Dufail

Algérie : construction de la première ferme éolienne, et future production de panneaux solaires PV

D’une puissance de 10 MW, la future ferme éolienne sera réalisée sur 30 hectares et devrait être opérationnelle en 2012.

Le groupe Sonelgaz, à travers sa filiale d’engineering CEEG, investit dans l’éolien. Celle-ci a lancé récemment un appel d’offres international relatif à la réalisation de la première ferme éolienne en Algérie, d’une puissance de 10 MW à Adrar (sud-ouest). Ce projet a été confié le 21 janvier 2010 au groupe français Vergnet, qui a proposé un investissement de 3,05 milliards de dinars et un coût de 9620 DA par kWh.

Le choix du site de la ferme dans la wilaya d’Adrar a été fait suite à une étude cartographique sur les grandes régions de vent en Algérie et à l’issue de laquelle les régions de Tindouf et d’Adrar ont été définies. L’énergie produite par cette future ferme sera intégrée dans le réseau d’électricité de la wilaya d’Adrar, ce qui permettra une importante économie d’énergie quand il y a du vent dans la région.

La CEEG a également été chargée de réaliser un projet de construction d’une usine de fabrication de modules photovoltaïques dans le périmètre de la zone industrielle de Rouiba. La date de production de l’usine est prévue pour le mois de septembre 2012.

Ces projets participent aux objectifs du gouvernement en matière de promotion des énergies renouvelables. C’est dans ce sens qu’un fonds destiné à l’encouragement des énergies renouvelables a été créé et alimenté par 0,5 % de la redevance pétrolière. Pour rappel, dans le cadre de la politique nationale de promotion des énergies renouvelables et d’économie d’énergie, pas moins de 5 millions de lampes à basse consommation seront distribuées aux ménages ainsi que 9 000 chauffe-eau solaires dans le cadre du plan quinquennal de développement 2010-2014.

Le ministère de l’Énergie et des Mines a tracé un programme qui vient compléter la stratégie mise en place par le secteur entre 2007-2011 visant à rationaliser la consommation de l’énergie, augmenter les revenus de l’Etat et réduire l’émission de CO2 d’un million de tonnes, outre le drainage des investissements et la création d’emplois. Ainsi, plusieurs secteurs d’activité seront touchés par ce plan. En ce qui concerne l’habitat, un programme de 600 logements écologiques haut standing est en cours de réalisation pour réduire la consommation d’énergie (chauffage et climatisation).

L’Algérie dispose d’un potentiel énergétique solaire dépassant les 5 milliards de GWh par an, avec une moyenne annuelle de la durée d’ensoleillement variant de 2550 heures dans le nord à 3600 heures dans le Sahara.


Source : Le Maghreb.

Xavier Dufail

Tunisie : signature d’un contrat d’achat de réductions d’émissions pour la centrale éolienne de Sidi Daoud

La signature d’un contrat d’achat de réductions d’émissions entre la Société Tunisienne de l’Électricité et du Gaz (STEG) et la Banque mondiale, pour la centrale éolienne de Sidi Daoud, permettra aux abonnés du réseau d’être alimentés par de l’électricité d’origine éolienne plutôt que par des sources d’énergies fossiles.

La Tunisie entend valoriser son potentiel de réduction d’émissions de gaz à effet de serre dans le secteur de l’énergie avec la signature d’un accord entre la Société Tunisienne de l’Électricité et du Gaz (STEG) et la Banque mondiale, agissant pour le compte du Fonds carbone espagnol (the Spanish Carbon Fund), un fonds carbone géré par la Banque mondiale. Le contrat signé le 5 avril 2010 porte sur la vente d’une partie des crédits carbone générés par la centrale éolienne de 34 MW située à Sidi Daoud. Il s’agit du premier projet de Mécanisme de développement propre (MDP) développé en Tunisie dans le secteur éolien.

Grâce à ce projet, qui comprend également la construction d’une ligne de transport jusqu’à Menzel Temime, les abonnés du réseau interconnecté de la STEG peuvent désormais être alimentés par de l’électricité d’origine éolienne. En substitution à une production d’électricité à partir de sources d’énergies fossiles, la production de cette centrale permettra d’éviter un volume d’émissions estimé à 50 000 tonnes d’équivalent CO2 par an.

« Ce projet MDP témoigne de l’engagement de la STEG dans la mise en œuvre de la stratégie nationale de développement durable, de promotion des énergies renouvelables et de lutte contre le changement climatique. Cette première expérience a valeur d’exemple. Elle ouvre la voie au développement de nouveaux projets permettant d’utiliser notre potentiel d’énergie éolienne et solaire et pourra bénéficier aux projets d’investissements prévus dans le cadre du Plan Solaire Tunisien » a déclaré M. Mokhtar Mehiri, Directeur principal de l’équipement à la STEG.

La Banque mondiale accompagne la Tunisie dans ses efforts pour réduire sa dépendance aux combustibles fossiles à travers la promotion des énergies renouvelables et de mesures de maîtrise de l’énergie.

« Le développement durable et le changement climatique constituent un des piliers de notre stratégie de coopération avec la Tunisie. Cette opération de finance carbone illustre la diversité des instruments financiers disponibles afin de poursuivre ces objectifs, aux côtés d’autres financements innovants, tels que les ressources du Fonds pour les technologies propres, ou de concours plus classiques sous forme de prêts » a noté Mats Karlsson, Directeur du Département Maghreb à la Banque mondiale.


Source : Le site de la Banque mondiale.

Xavier Dufail

Afrique du Sud : la Banque mondiale appuie les plans de sécurité énergétique

La Banque mondiale approuve 3,75 milliards de dollars à Eskom Holdings, Ltd. pour consolider la capacité de production d’énergie électrique, l’exécution de programmes d’énergies renouvelables et l’amélioration du rendement énergétique.

Le Conseil des Administrateurs de la Banque mondiale a approuvé le 8 avril 2010 un prêt d’un montant de 3,75 milliards de dollars à l’Afrique du Sud pour aider le pays à assurer une offre viable d’électricité, accordant parallèlement des financements destinés à des centrales solaires et éoliennes parmi les plus importantes dans le monde en développement. Ce prêt qui représente la première opération d’envergure jamais entreprise par la Banque avec l’Afrique du Sud depuis l’effondrement de l’apartheid il y a 16 ans, vise à aider directement les pauvres par la création d’emplois à mesure que l’économie se remet des effets de la crise financière mondiale et par l’établissement de capacités supplémentaires de production d’énergie destinée à élargir l’accès à l’électricité.

Le prêt est consenti à la société sud-africaine d’électricité (Eskom) et procède de conditions exceptionnelles dont notamment la crise énergétique traversée par le pays en 2007 et au début de 2008 ; il vient aussi répondre aux conséquences de la crise financière mondiale qui a contribué à exposer au grand jour la vulnérabilité de l’Afrique du Sud aux chocs énergétiques et à l’éventualité de conséquences économiques graves.

Le projet d’appui à l’investissement d’Eskom (EISP) contribuera à cofinancer les différentes technologies énergétiques ci-après :

- la centrale thermique de Medupi d’une capacité de production de 4 800 MW, au coût de 3,05 milliards de dollars ; grande première sur le continent africain, cette usine alimentée au charbon utilisera la même technologie que les pays de l’OCDE, laquelle présente les caractéristiques suivantes : supercritique, efficace et ayant fait ses preuves

- le projet pilote de centrale éolienne de Sere d’une capacité de 100 MW et la centrale solaire concentrée à énergie reportable d’Upington (100 MW), le tout pour un montant total de 260 millions de dollars ; et

- des volets relatifs à la production d’énergie à faible intensité de carbone, notamment le transport du charbon par voie ferrée assorti d’un niveau plus faible d’émission de gaz à effet de serre, le tout pour un montant total de 485 millions de dollars.


Source : Le site de la Banque mondiale.

Xavier Dufail