République Démocratique du Congo : les nations arabes pourraient financer l’acquisition d’équipements électriques marocains

Le Vice-ministre de l’Energie de RDC s’est rendu au Maroc pour étudier les facilités de financement dont le RDC pourrait bénéficier pour acquérir des matériels électriques fabriqués par des sociétés marocaines.

La Société Nationale d’Electricité (Snel) de la RCD souhaite acquérir des équipements électriques tels que les transformateurs de distribution MT/BT, les disjoncteurs MT et BT, les protections MT et BT, les câbles BT torsadés, les cellules MT et BT, les cabines complètes clés en main, les matériels électriques pour les lignes etc. Elle pourrait bénéficier de financements directs des Nations arabes pour financer ces achats au Maroc.

Du 4 au 12 septembre 2007, le Vice-ministre de l’Energie du RDC, M. Arthur Sedea-Ngamo, et l’Administrateur-délégué général adjoint de la Snel, Mme Bernadette Tokwaulu, ont effectué à cet effet une visite de travail à Casablanca sur invitation du groupement SOFA du Maroc et LITTORAL son partenaire agrée en Afrique centrale. Ils ont pu rencontrer les sociétés Sofa, Nexans, Grimar et Ines… occasion de se rendre compte que dans le cadre de la coopération Sud/sud, il était possible de trouver des matériels électriques compétitifs.

Mais pour que ces relations se concrétisent et soient pérennes, elles doivent s’inscrire dans un cadre commercial, a estimé Bernadette Tokwaulu. D’où l’invitation lancée à ces partenaires à visiter la RDC afin de proposer à la Snel des préfinancements de projets ou d’équipements sous forme notamment de crédits fournisseurs à garantir par la Snel.

La mission a également visité l’Office nationale d’électricité du Maroc, ONE pour un échange d’expérience en matière d’électrification rurale. Le taux d’électrification rurale au Maroc est de 91%. L’ONE a fait part à la Snel de son ouverture pour établir des relations commerciales sur base de son expertise en matière d’électrification, de gestion commerciale et de formation.

Pour Mme Tokwaulu Aena, la concrétisation de ces contrats et la bonne gestion de ces relations d’affaires pourraient permettre à la Snel et à la RDC d’avoir accès aux financements et dons des Nations Arabes qui soutiennent les efforts à l’exportation de leurs entreprises.


Source : un article de M. Théodore Ngangu publié en ligne sur le site de Digitalcongo.net

Elhadji SYLLA, ASER, René Massé

Afrique du Sud : l’AFD finance une ferme éolienne

L’AFD a approuvé l’octroi d’un prêt de 100 millions d’euros maximum (ou son équivalent en rand sud africains) à la société Eskom Holding Limited pour le financement d’une ferme éolienne de 100 MW dans la province nord du Cap.

Dans le cadre de la lutte contre les gaz à effets de serre…

L’Afrique du Sud compte parmi les principaux émetteurs de gaz à effet de serre, du fait de la prépondérance du charbon dans son bilan énergétique, de la faible efficacité énergétique dans l’industrie, l’habitat et les transports et du faible coût de l’électricité, qui n’incite pas à l’économie.

La construction de cette ferme éolienne de 100 MW, qui produira environ 280 GWh d’énergie électrique par an, permettra d’économiser chaque année 250.000 tonnes de CO2 et viendra renforcer la sécurité de l’alimentation électrique de la région du Cap. Par sa taille et sa forte valeur d’exemplarité, ce projet permettra au gouvernement sud africain et à Eskom, l’opérateur national du secteur, de démontrer leur engagement dans la lutte contre les gaz à effet de serre et la promotion des énergies renouvelables.


Source : article diffusé dans la Lettre d’information de l’AFD de décembre 2007.

René Massé

Niger : La BID accorde 236 millions de dollars pour la construction d’un barrage sur le fleuve Niger

« Ce prêt a été négocié les 28 et 29 novembre 2007 à Djeddah (Arabie Saoudite) lors d’une table ronde qui a réuni une délégation nigérienne conduite par le Premier ministre Seyni Oumarou, et les responsables de la BID » indique un communiqué du gouvernement diffusé vendredi par la radio nationale.

Les travaux de construction de ce barrage débuteront en 2008.

L’ouvrage qui sera érigé à Kandadji, localité située à plus de 100 km de Niamey, sur le fleuve Niger, permettra d’assurer une retenue d’eau de près 1,6 milliard de m3.

Evalué à 300 milliards FCFA, le barrage de Kandadji permettra dans l’immédiat de maintenir la productivité, d’accroitre les productions agricoles et d’améliorer la qualité de l’eau et de l’environnement.

Il pourra aussi alimenter en eau une future centrale hydroélectrique, mais le financement de cette centrale reste à chercher auprès de partenaires privés du Niger. Actuellement, dépourvu de centrale hydroélectrique, le Niger approvisionne ses principales villes en électricité depuis le barrage de Kendji au Nigeria.


Source : article diffusé le 30 novembre 2007 sur le site du Journal Chrétien.

René Massé

Burkina Faso : expérimentation du réseau aérien monophasé avec retour par la terre (SWER)

Le Burkina Faso a mis en service le 8 février 2007 son premier réseau SWER . Aucun problème ni anomalie n’ont été constatés à ce jour.

Pour garantir la qualité des installations SWER, le Burkina ont édité en août 2006 des « Standards de distribution d’énergie électrique au Burkina Faso » exclusivement consacrés à la mise en oeuvre de réseau SWER.

Ce type de réseau a été très largement utilisé en Australie, pour l’électrification rurale. Il permet d’économiser le prix d’un conducteur et de l’allègement des poteaux consécutif : il est donc particulièrement adapté aux besoins des réseaux MT (19,1 kV au Burkina Faso).

René Massé

Madagascar : réhabilitation de la centrale d’Andekaleka qui alimente la Capitale

La réalisation des travaux de réhabilitation de la centrale hydroélectrique d’Andekaleka permettra à la Jirama de sécuriser sa capacité de production hydroélectrique et contribuera à la satisfaction croissante de la demande d’énergie.

La Jirama (la compagnie d’électricité de Madagascar) vient de lancer un appel d’offres international pour la réhabilitation de la plus grande centrale hydroélectrique du pays. Les travaux devront débuter en 2008. Ce projet de réhabilitation est cofinancé par le gouvernement de Madagascar et par la Banque mondiale.

Andekaleka fournit près de 30% de l’électricité qui alimente le réseau interconnecté d’Antananarivo. La puissance totale que ses deux groupes peuvent développer à l’heure actuelle s’élève à 58 MW. Dans ces conditions, l’arrêt d’Andekaleka pourrait entrainer de fortes perturbations dans la fourniture d’électricité dans la capitale et ses environs.

Or, pour conduire ces travaux de réhabilitation, Andekaleka devra être arrêtée durant sept semaines, réparties sur un an. « Nous prévoyons d’arrêter trois fois la centrale d’Andekaleka durant les travaux. Les deux premiers arrêts dureront deux semaines chacun et le troisième, plus long, durera trois semaines », explique M. Bernhard Romahn, directeur général de la Jirama.

On ne sait pas comment la Jirama gérera cette situation, mais elle pourra compter sur la nouvelle centrale thermique de 40MW de Mandroseza, dont la mise en service opérationnelle est prévue au début de l’année 2008.

L’appel d’offres international pour la sélection de l’entreprise qui effectuera les travaux vient d’être lancé par la Jirama. Le coût total s’élève à 734 000 US dollars (1,3 milliard ariary) et sera financé par la réquisition budgétaire de 18 milliards ariary et par la Banque mondiale. La réhabilitation d’Andekaleka comprend deux volets :

  • Le premier volet consiste au dragage du canal d’amener qui alimente la centrale ;
  • Le deuxième volet comporte l’installation, en 2009, d’un troisième groupe pour augmenter la puissance installée de la centrale.


Source : un article publié sur le site deL’Express de Madagascar (Antananarivo), le 5 septembre 2007.

René Massé

Chine : l’AFD soutient le construction d’un parc éolien

L’AFD a approuvé l’octroi d’un prêt de 30 millions d’euros à la République populaire de Chine pour financer la construction d’un parc éolien à Zemoshan, dans le Yunnan.

La Chine dispose d’un potentiel considérable pour le développement de projets éoliens. La production éolienne y demeure toutefois très faible (de l’ordre de 0,2%).

Le développement des énergies renouvelables est pourtant un enjeu majeur pour le pays, qui doit concilier renchérissement du coût de l’énergie fossile et forte croissance de sa consommation d’électricité.

Ce projet vise à contribuer à la lutte contre le réchauffement climatique en promouvant un développement économique du Yunnan qui soit sobre en carbone. Il s’articule autour de deux composantes :

  • La construction puis l’opération d’un parc éolien d’une puissance de 30,6 MW : soit 36 aérogénérateurs de 850 kW ainsi que les équipements électriques nécessaires pour leur raccordement au réseau ;
  • Le développement d’une activité éco-touristique autour des énergies durables, en partenariat avec la ville de Dali.

En le comparant avec une centrale thermique au charbon, sa réalisation permettra de réduire, chaque année, la consommation de 24.000 tonnes de charbon et, partant, de diminuer les émissions de CO2 de 50.000 tonnes et d’autres polluants gazeux (390 tonnes de SO2 et 220 tonnes de NOx) dangereux pour la santé humaine.


Source : un article diffusé dans la Lettre d’information de l’AFD de décembre 2007.

René Massé

Avancement du programme Diagnostics des infrastructures nationales en Afrique

Ce programme est conduit par la Banque mondiale, de façon participative. Il s’agit d’évaluer la situation et les besoins de développement d’infrastructures dans les pays africains, en particulier en zone subsaharienne. Les travaux sont bien avancés, puisque que déjà 18 documents ont été produits. Le rapport provisoire sera prochainement proposé sur le site du projet aux commentaires des internautes, avant la réunion finale prévue au début de l’année 2008.

Justification du projet

La communauté des bailleurs de fonds est en train de relever le niveau de son aide financière au secteur des infrastructures, notamment en Afrique subsaharienne. Une telle augmentation va toutefois exiger plus de transparence et, donc, un meilleur système de mesure pour les contributions et les résultats.

Le programme Africa Infrastructure Country Diagnostics (Diagnostics des infrastructures nationales en Afrique), connu sous le sigle AICD, se propose d´effectuer des études sur les différents aspects stratégiques du secteur des infrastructures. Il finance, en parallèle, une collecte de données de très grande envergure visant à fournir des données de référence qui permettront d´évaluer les efforts renouvelés entrepris pour relever ce que d´aucuns appellent le « défi de l´infrastructure ».

Les pays concernés par l’étude

L´étude se focalisera, dans un premier temps, sur 24 pays d´Afrique subsaharienne. Ce sont : le Bénin, le Burkina Faso, le Cap Vert, le Cameroun, le Tchad, le Congo démocratique, la Côte d’Ivoire, l´Éthiopie, le Ghana, le Kenya, Madagascar, le Malawi, le Mali, la Mozambique, la Namibie, le Niger, le Nigeria, le Rwanda, le Sénégal, l´Afrique du Sud, le Soudan, la Tanzanie, l´Ouganda et la Zambie.

L’étude de l´AICD vient en complément de celle du NEPAD MTLSF. Les deux études sont menées en étroite collaboration.

Les objectifs de l’étude

Cette étude devrait :

- 1 Aider chaque pays à comparer les performances de son secteur des infrastructures et à formuler ses propres stratégies nationales en s´inspirant de l´expérience régionale.

- 2 Aider les bailleurs de fonds à apporter un appui approprié aux réformes financières, règlementaires, des infrastructures et des investissements.

- 3 Permettre de mieux évaluer les efforts collectifs vers la satisfaction des besoins de l´Afrique, en établissant une situation de départ qui servira de référence par la suite.

- 4 Servir de document de référence pour toutes les questions stratégiques relatives aux infrastructures, afin de favoriser un consensus sur les réponses idoines aux problèmes d´infrastructures en Afrique.

Les productions attendues

Pour chacun des 24 pays d´intervention, l’étude produira une série de bases de données thématiques, contenant des informations sur différents aspects des infrastructures. Il y aura, entre autres :

  • Une base de données nationales sur le secteur des infrastructures en Afrique subsaharienne, avec des informations sur :
    • Les conséquences budgétaires
    • Les besoins en investissements
    • Les indicateurs de performances du secteur
  • Une série de méta-données, avec toutes les informations recueillies au cours des enquêtes sur les prestations de services dans le secteur des infrastructures en Afrique subsaharienne :
    • Enquêtes sur les ménages
    • Enquêtes auprès des entreprises
  • Un système d´information géographique, avec toutes les sources de données géoréférencées disponibles sur l´Afrique subsaharienne, et plus particulièrement sur :
    • Les réseaux d´infrastructures
    • Les données économiques et démographiques
    • Les variables environnementales
  • Des documents de travail analysant les principaux thèmes en matière d´infrastructures, sur la base des sources de données ci-dessus mentionnées.
  • Un rapport de synthèse « vedette » présentant les principales conclusions de l´étude AICD afin d´informer le public et d´encourager le débat sur ces problèmes importants.

Les versions finales des différents documents produits par le programme seront mises à disposition du public sur cette page web. Les versions de travail intermédiaires seront aussi publiées sur le site web, mais leur distribution sera limitée au Groupe de pilotage et au panel technique consultatif.

État d’avancement de l’étude

L’étude est entrée dans sa phase finale, avec l’achèvement de 18 rapports de base qui rassemblent toutes les ressources requise par le rapport final. L’équipe du projet à la Banque mondiale va faire circuler le draft du rapport final au Comité de pilotage, et au Panel technique consultatif. Puis, très prochainement, ce document sera mis en ligne sur le site du projet. Une réunion du groupe de travail et du panel est prévue au début de l’année 2008.


Source : le site de l’AICD Afrique.

René Massé

EU – Afrique : un Partenariat pour les infrastructures est lançé

Les 24 et 25 octobre 2007, à Addis-Abeba (Ethiopie), l’Union européenne a annoncé le lancement d’un nouveau Partenariat pour promouvoir les infrastructures (dont l’énergie) en Afrique.

Des ressources du 10ème Fonds Européen de Développement seront affectées spécifiquement à ces actions. Un nouvel instrument financier, le EU Infrastructure Trust Fund sera également initié pour rassembler toutes les contributions de la Commission européenne, des États membres, de la Banque européenne d’investissement et des institutions européennes de financement du développement.

Partant du constat que l’Afrique a besoin de développer ses infrastructures et services de distribution dans les secteurs des transports, de l’énergie, de l’eau et des technologies nouvelles de communication, pour promouvoir le développement économique et social, ce partenariat vise à soutenir l’effort de construction des ces infrastructures.

Parmi les ressources financières, le 10ème Fonds européen de développement (FED) contribuera à hauteur de 5,6 billions d’Euros sur la période 2008 – 2013. En addition, un nouveau Fonds européen pour les infrastructures en Afrique permettra de rassembler les contributions de la Commission européenne, des États membres, de la Banque européenne d’investissement (BEI), et des institutions européennes de financement du développement. Ce fonds proposera des subventions pour attirer des financements complémentaires, en provenance d’autres bailleurs de fonds et du secteur privé.

Des information s plus détaillées sont proposées en anglais sur le site de l’Union africaine

René Massé

Ouganda : La Banque mondiale s’engage pour développer le secteur énergétique

Le Conseil d’administration de la Banque mondiale a approuvé le jeudi 26 Avril 2007 un crédit de l’Association internationale de développement (IDA) d’un montant de 300 millions de dollars EU pour soutenir une opération de développement du secteur énergétique en Ouganda.

Ce crédit permettra de développer le secteur énergétique par des investissements et des réalisations.

Ce financement comprend un prêt d’investissement de 220 millions de dollars EU et un prêt à l’appui des politiques de 80 millions de dollars EU. L’Ouganda va aussi bénéficier d’un cofinancement additionnel de 6,5 millions de dollars EU de l’Agence internationale de développement suédoise.

La crise énergétique actuelle mine considérablement la croissance sur le moyen terme. Cette crise consiste en un déficit substantiel d’électricité attribuable aux retards dans le renforcement de la capacité de production d’électricité, une sècheresse grave dans la région ces dernières années qui a diminué le rendement des centrales hydroélectriques existantes, et une croissance annuelle de la demande d’électricité de l’ordre de 8%.

L’opération de développement du secteur énergétique aura trois composantes majeures :

  • Un certain nombre d’investissements et de mesures politiques visant à réduire l’écart entre l’offre et la demande jusqu’à la mise en service de la centrale hydroélectrique de Bujagali autour de 2011 ;
  • Un appui financier au gouvernement pour absorber une partie des coûts élevés de la production thermique d’électricité à court terme ;
  • Des mesures politiques visant à rendre le secteur financièrement viable, à accélérer l’électrification rurale et progresser vers une approche sectorielle du développement.

M. Malcolm Cosgrave-Davies, le responsable à la banque mondiale pour cette opération, explique que « cette opération répond aux réalités du secteur énergétique ougandais. Elle soutient les investissements visant à corriger la pénurie d’énergie sur toute l’étendue du territoire, ainsi que les déséquilibres financiers, et à jeter les bases d’une expansion durable du secteur dans l’avenir ».

L’opération de développement du secteur énergétique est l’un des éléments de l’appui du Groupe de la Banque mondiale à la stratégie sectorielle de l’énergie de l’Ouganda. D’autres aspects de cet appui comprennent :

  • 360 millions sous forme de prêts et de garanties pour le Projet hydroélectrique de Bujagali également approuvés aujourd’hui par le Groupe de la Banque mondiale ; et Projets en cours :
  • Le projet d’investissement Power IV (62 millions de dollars EU), qui soutient l’amélioration de l’offre d’énergie et la capacité du gouvernement à conduire la réforme du secteur ;
  • Le projet énergétique pour la transformation des zones rurales (50 millions de dollars EU) pour accroitre l’accès des zones rurales à une électricité renouvelable ;
  • Des garanties d’investissement de l’ordre de 40 millions de dollars EU pour une société de distribution de l’énergie électrique.

Le crédit est fourni selon les termes standards de l’Association Internationale de Développement (IDA), avec des commissions d’engagement de 0,35 pourcent, des frais de service de 0,75 pourcent sur une période de maturité de 40 ans qui inclut une période de grâce de 10 ans.


[Source et informations complémentaires : le site de la Banque mondiale, sur cette page (en anglais).

Elhadji SYLLA, ASER, René Massé

Présentation du Gabon. M. Christian Olivier Lasseny (SGA Ministère de l’Energie)

La situation énergétique au Gabon. L’électrification rurale au Gabon. Deux documents ont été présentés : La situation énergétique au Gabon : le Gabon ; Le cadre juridique du secteur électrique ; Le secteur électrique au Gabon, à l’échelle nationale, puis pour chacune des régions ; Le secteur des énergies renouvelables ; La maitrise de l’énergie. L’électrification rurale au Gabon : les objectifs des principaux programmes réalisés et en cours ; Le rôle des différents acteurs ; Les mesures d’accompagnement : (…)

La situation énergétique au Gabon. L’électrification rurale au Gabon.

Deux documents ont été présentés :

  • La situation énergétique au Gabon :
    • le Gabon ;
    • Le cadre juridique du secteur électrique ;
    • Le secteur électrique au Gabon, à l’échelle nationale, puis pour chacune des régions ;
    • Le secteur des énergies renouvelables ;
    • La maitrise de l’énergie.
  • L’électrification rurale au Gabon :
    • les objectifs des principaux programmes réalisés et en cours ;
    • Le rôle des différents acteurs ;
    • Les mesures d’accompagnement : formation, sensibilisation, qualité des équipements.

René Massé