Le pompage solaire photovoltaïque

Intervenant : M. Mohamed El Haouari, Directeur du développement et de la planification au CDER.

Intervenant : M. Mohamed M. El Ibrami, Chef du service Solaire au CDER

La première présentation détaille les caractéristiques et l’installation des système de pompage solaire PV. La seconde présentation aborde les étapes de l’installation d’un système de pompage solaire PV

La première présentation détaille les caractéristiques et l’installation des système de pompage solaire PV :

- Pourquoi le pompage solaire au Maroc ?

- Qu’est ce que le pompage solaire ?

- L’expérience marocaine

- Les enseignements

- Conclusion et recommandations

La seconde présentation aborde les étapes de l’installation d’un système de pompage solaire PV

- Assemblage

- Inspection

- Installation et connexion

- Contrôle et mesures

Xavier Dufail

Les chauffe-eau solaires

Cet exposé présente les caractéristiques et l’installation des chauffe-eaux solaires. Intervenant : M. Mohamed M. El Ibrami, Chef du service Solaire au CDER principe de fonctionnement et caractéristiques dimensionnement d’une installation les types de chauffe-eaux : à circuit ouvert ou fermé (à circulation forcée) les types de montages :

Cet exposé présente les caractéristiques et l’installation des chauffe-eaux solaires. Intervenant : M. Mohamed M. El Ibrami, Chef du service Solaire au CDER

- principe de fonctionnement et caractéristiques

- dimensionnement d’une installation

- les types de chauffe-eaux : à circuit ouvert ou fermé (à circulation forcée)

- les types de montages :

Xavier Dufail

Etude de cas d’un projet d’ERD d’un village par PV

Cet exposé présente une étude de cas technique et socio-économique d’un village électrifié par systèmes solaires PV. Intervenant : M. Mohamed M. El Ibrami, Chef du service Solaire au CDER Les éléments du village qui sont pris en compte sont : 50 foyers (environ 300 personnes) Une mosquée, une école, un dispensaire L’éclairage public

Cet exposé présente une étude de cas technique et socio-économique d’un village électrifié par systèmes solaires PV. Intervenant : M. Mohamed M. El Ibrami, Chef du service Solaire au CDER

Les éléments du village qui sont pris en compte sont :

- 50 foyers (environ 300 personnes)

- Une mosquée, une école, un dispensaire

- L’éclairage public

Jacques Monvois, Gret, Xavier Dufail

Le dimensionnement d’un système PV

Cette présentation détaille les différentes étapes et calculs permettant de dimensionner les éléments d’un système PV : le module, la batterie, les câbles. Intervenant : M. Khalid Laadioui, Chef du Laboratoire Contrôle Qualité du CDER Ce dimensionnement se fait à partir des besoins en énergie de l’utilisateur, et de la situation géographique du système.

Cette présentation détaille les différentes étapes et calculs permettant de dimensionner les éléments d’un système PV : le module, la batterie, les câbles. Intervenant : M. Khalid Laadioui, Chef du Laboratoire Contrôle Qualité du CDER

Ce dimensionnement se fait à partir des besoins en énergie de l’utilisateur, et de la situation géographique du système.

Jacques Monvois, Gret, Xavier Dufail

Les régulateurs de modules PV, les ballasts et les onduleurs pour l’éclairage

Présentation des régulateurs pour modules PV

Intervenant : M. Khalid Laadioui, Chef du Laboratoire Contrôle Qualité du CDER

- les différents types de régulateurs

- les différents types de montage

- leurs caractéristiques

- les tests en laboratoire

Présentation des ballasts et des onduleurs, qui permettent de faire fonctionner, à partir de modules PV, les tubes fluorescents et les lampes basse consommation.

- les modèles

- les différents montages

- leurs caractéristiques

- les tests en laboratoire

Jacques Monvois, Gret, Xavier Dufail

Les modules solaires photovoltaïques

Cette présentation décrit les caractéristiques, le fonctionnement, et l’utilisation des différents types de modules solaires photovoltaïques. Intervenant : M. Mohamed El Haouari, Directeur du développement et de la planification au CDER.

Cette présentation décrit les caractéristiques, le fonctionnement, et l’utilisation des différents types de modules solaires photovoltaïques.

Intervenant : M. Mohamed El Haouari, Directeur du développement et de la planification au CDER.

Jacques Monvois, Gret, Xavier Dufail

Maroc : l’Espagne accorde un prêt de 4 millions d’Euros pour l’installation de systèmes solaires photovoltaïques

Le conseil des ministres espagnol, réunit le 14 novembre 2008 à Madrid, a décidé d’accorder au Maroc un prêt d’une valeur de 4 millions d’euros destiné au financement de l’installation de 1.215 systèmes solaires photovoltaïques de connexion au réseau dans les provinces d’Errachidia et de Benguerir.

Ce projet s’inscrit dans le cadre du programme axé sur l’énergie solaire pour l’amélioration de l’électrification rurale baptisé « Chourouk ». Ce programme prévoit l’installation de 200.000 systèmes similaires sur tout le territoire national.

Les systèmes solaires photovoltaïques qui seront installés grâce au prêt du gouvernement espagnol bénéficieront à 9.000 familles dans les deux provinces. Ce crédit vise également à contribuer à l’amélioration des conditions de vie de la population ciblée et à la protection de l’environnement.


Source : un article de Toma publié le 14 novembre 2008 sur la site de Biladi pour le Maroc.

René Massé

Maroc : réglementation pour encourager l’usage des énergies renouvelables et l’efficacité énergétique

Une circulaire interministérielle vient d’être signée le 6 novembre 2008 pour assurer l’intégration des énergies renouvelables et des techniques de l’efficacité énergétique dans les projets d’aménagement et de construction.

Les énergies renouvelables font leur entrée dans le monde du BTP.

Amina Benkhadra, ministre de l’Energie, des mines, de l’Eau et de l’Environnement et Taoufiq Hejira, ministre de l’Habitat, de l’Urbanisme et de l’Aménagement de l’espace, ont signé cette circulaire interministérielle pour inciter les opérateurs immobiliers à prendre en considération les énergies renouvelables et l’efficacité énergétique dans la conception architecturale et dans les projets d’aménagement et de construction en attendant la promulgation du code de l’urbanisme.

En effet, cette circulaire définit les conditions d’application des dispositions de la convention relative à l’amélioration de l’efficacité énergétique dans le secteur de l’habitat signée en juillet 2008. « La nouvelle stratégie énergétique intègre l’efficacité énergétique dans les secteurs-clés du bâtiment, du transport et de l’industrie à travers la promotion de technologies propres et la mise à niveau de normes et spécifications énergétiques », a souligné Mme Benkhadra. « Le bâtiment est incontestablement l’un des secteurs présentant le meilleur potentiel d’amélioration en termes d’efficacité énergétique », a -t-elle ajouté.

La ministre a mis l’accent aussi, au cours de son intervention, sur les axes prioritaires fixés par son département dans ce cadre. « Le Plan national d’actions prioritaires du secteur énergétique a adopté des mesures urgentes d’efficacité énergétique, en particulier la généralisation des lampes à basse consommation par la mise en place de 22 millions de lampes à l’horizon 2012, la promotion de l’utilisation des chauffe-eau solaires, le développement du marché des capteurs solaires thermiques à hauteur de 40.000 m² par an, l’utilisation des équipements normalisés et la réalisation des projets pilotes d’efficacité énergétique », a déclaré la ministre de l’Energie.

En marge de la signature de cette circulaire, deux conventions cadres ont été signées à cette occasion :

  • La première a été conclue entre le Centre de développement des énergies renouvelables (CDER), le groupe d’aménagement Al Omrane (GAO) et le Parc scientifique et technologique pour l’environnement de Turin en Italie. Cette convention cible la promotion et le renforcement des relations de coopération et de partenariat entre les signataires en matière d’éco-construction et d’aménagement urbain et rural, de développement de la recherche, des études et l’expertise technique ainsi que de la formation au profit des cadres dans ce domaine.
  • La seconde convention qui a été signée entre le CDER et Sahel-Lakhiayta, se fixe comme objectif central l’accompagnement de cette nouvelle ville pour l’intégration des mesures d’efficacité énergétique dans ses projets de construction. Cela en intégrant des technologies d’efficacité énergétique et des énergies renouvelables dans le programme global d’aménagement urbain de cette ville.

Source : un article de Samira Yadine publié le 10 novembre 2008 sur le site de Aujourd’hui le Maroc.

René Massé

Mali : inauguration de la première centrale solaire

La première centrale solaire du Mali a été inaugurée le 7 octobre 2008 à Kimparana (à 450 km au sud de Bamako).

La centrale solaire de Kimparana est composée de 2 242 m2 de panneaux photovoltaïques, représentant une puissance installée de 72 kWc. Elle a coûté 528 millions de Fcfa.

Réalisée dans le cadre d’un partenariat public -privé – communauté locale, son financement a été partagé entre la coopération néerlandaise, qui a décaissé 328 millions de Fcfa à travers le Programme PSOM, la société néerlandaise NUON, l’AMADER et l’opérateur privé Yéelen Kura (pour 8%).

L’installation permet d’alimenter un réseau électrique qui dessert 500 clients pendant 10 heures par jour. Sa gestion a été confiée à une société de droit malien « Yéelen Kura ».

Le projet entend améliorer les conditions de travail et de vie des populations dans les domaines de la santé, de l’éducation et de l’agriculture, à travers la fourniture d’une source d’énergie alternative.

Il vise aussi la création d’emplois et de revenus par le développement de nouvelles activités économiques et sociales et le développement du potentiel énergétique malien avec la diminution de la facture énergétique, dans cette zone agricole et industrielle du pays.

Pour plus d’informations : l’Essor & L’Indépendant sur MaliWeb.


source : African Manager.

Dianguina Bathily, René Massé

Tunisie : séchage solaire du phosphate

Durant sa première année de réalisation, le projet de séchage solaire du phosphate a permis à la Compagnie des phosphates de Gafsa (CPG) d’économiser 3 200 tonnes équivalent pétrole (Tep) soit une valeur de 1 million de dinars, ce qui représente 20 pc du coût de séchage industriel du phosphate.

Le séchage solaire du phosphate a été mis en service au début de l’année 2007. Quelque 200 mille tonnes de phosphate ont été, ainsi, séchés naturellement dans les centres de Mdhila, Moularès et Métlaoui, en 2007 et 300 mille tonnes, en 2008.

Sur les neuf premiers mois de 2008, l’acquisition de nouveaux équipements a permis d’économiser la somme de 1 million 500 mille dinars.

Ce projet, dont la période de réalisation s’étale jusqu’en 2009, ambitionne d’atteindre une production annuelle de 700 mille tonnes de phosphate séché naturellement ce qui représente la moitié de la production actuelle des unités de séchage industriel de la compagnie.

En évitant l’émission de plus de 15 000 tonnes de dioxyde de carbone, l’impact environnemental de ce projet est très significatif également.

La CPG envisage d’autres projets de maitrise de l’énergie : ainsi, elle a commencé depuis 2006 à remplacer ses machines électriques par des machines permettant une économie d’énergie de 5%. La Compagnie consomme, annuellement, entre 75 mille et 80 mille Tep soit la valeur de 34 millions de dinars.


Source : un article publié sur le site de Development Export Consulting le 12 octobre 2008.

René Massé