Tunisie : la STEG favorise la production domestique d’énergie

Lors d’une conférence de presse tenue mardi 21 avril 2009 à Tunis, la Société Tunisienne de l’électricité et du gaz (STEG) a annoncé le lancement d’un projet baptisé « Solar Roofs », qui offre la possibilité aux particuliers de produire et de vendre leur propre électricité à partir de panneaux solaires photovoltaïques.

La STEG assurera l’acquisition, la mise en place et l’entretien des panneaux solaires dans les maisons individuelles et accordera des prêts d’un montant allant jusqu’à 60% du coût total de l’installation. Une subvention d’environ 30% des coûts sera octroyée par le Fonds national de gestion de l’énergie (FNME).

Le PDG de la STEG a annoncé également l’introduction de tarifs promotionnels pour le transport et la connexion au réseau électrique de l’électricité produite par des particuliers. Pour ce faire, la STEG va fournir du gaz naturel dans une centaine de nouvelles zones communales y compris ceux de Zaghouan, Feriana, Zarzis, Sfax et Mornag.

Une nouvelle direction en charge des énergies renouvelables va être créée au sein de la STEG ; elle sera chargée de suivre les divers programmes d’efficacité énergétique mis en place.

De même, un réseau national de points d’information sur la gestion de l’énergie sera mis en place.


Source : Tunisia Online News (en anglais).

Xavier Dufail

Les systèmes de pompage solaire : introduction et faisabilité

Guide de prise de décision et de mise en place de systèmes de pompage solaire.

Ce guide est destiné aux ONG locales et les communautés éloignées qu’elles représentent, qui souhaitent améliorer la fiabilité et la qualité de l’eau potable communautaire. Il y a de nombreuses façons d’aider une communauté à améliorer leur approvisionnement en eau potable. Les informations de ce guide sont destinées à évaluer la viabilité d’un système de pompage solaire solution pour une communauté donnée.

Ce guide n’a pas pour objectif de promouvoir l’utilisation des systèmes solaires de pompage, mais :

  • de s’assurer de leur bon fonctionnement
  • de fournir l’information sur l’utilisation de toute technologie qu’une communauté aura décidé d’utiliser afin d’atteindre les objectifs qu’elle s’est fixés.

Ce n’est pas un guide complet de conception ni un manuel « faites-le vous-même ». L’objectif de ce guide est de permettre au lecteur de prendre une décision éclairée au sujet du pompage solaire. Si le pompage solaire est une solution appropriée, ce manuel va aider le concepteur à réunir l’information appropriée sur les fournisseurs d’équipement, les donateurs, et les consultants techniques pour procéder à la finalisation de la conception et le lancement du projet.

« Solar Pumping Systems (SPS) – Introductory and Feasibility Guide »

Green Empowerment, janvier 2007, 63 pages

France : Forum technique photovoltaïque

TRANSENERGIE et METROL ont décidé d’organiser régulièrement un forum technique photovoltaïque, à destination des acteurs professionnels de la filière. Pour le premier semestre 2009, ce forum se déroulera à Valpré Lyon, le lundi 18 mai 2009, sur le thème des “Onduleurs photovoltaïques raccordés au réseau”.

Date limite d’inscription, le 30 avril 2009.

L’objectif de ce forum technique, qui se déroulera tous les 6 mois à Valpré (69 Ecully), est d’approfondir les aspects techniques d’un thème donné et d’échanger entre les acteurs concernés : fabricants, distributeurs, ensembliers, installateurs, bureaux d’études, monteurs de projets…

L’animation des échanges sera assurée par Philippe Rocher, Directeur de METROL.

Vous trouverez ci-dessous le programme du 18 mai 2009 et le bulletin d’inscription en téléchargement ainsi que le plan d’accès.

Si vous êtes intéressé pour assister à ce forum, nous vous remercions de nous faire parvenir le bulletin d’inscription et le règlement avant le 30 avril 2009 (nombre de places limité) à l’adresse suivante :

TRANSENERGIE

3D, allée Claude Debussy

69130 ECULLY-FRANCE

Tel : +33 (0)4 72 86 04 04

Fax : +33 (0)4 72 86 04 00

Courriel : sun@transenergie.eu


Bassam Ouaida, René Massé

Méditerranée : achèvement du projet Remap

Le projet Remap, « Plan d’action pour le développement des énergies renouvelables dans les régions sud et est de la Méditerranée », s’est achevé fin 2008. Réalisé en partenariat avec l’ADEME, il contribuera au Plan solaire méditerranéen qui prévoit la création de 20 GW d’électricité « verte » à l’horizon 2020.

Financé par la Commission européenne dans le cadre du sixième Programme-cadre de recherche et développement (PCRD), le projet Remap a débuté en 2007. Piloté par l’Observatoire méditerranéen de l’énergie, une association fédérant 35 compagnies énergétiques, il vise à développer les énergies renouvelables en se concentrant sur les centrales éoliennes et solaires thermodynamiques à concentration (Concentrated solar power : CSP).

Il faut souligner que beaucoup de projets ont déjà été menés sur cette zone et sur ces thèmes : élaboration d’atlas des ressources, identification des sites potentiels, analyses des freins comme des possibilités de développement… « Cependant, il manquait encore des plans d’action ciblés sur des technologies précises avec des portefeuilles de projets finançables », souligne Stéphane Pouffary, responsable de la cellule Expertise internationale pour la maîtrise de l’énergie à l’ADEME, un des partenaires à l’origine du projet Remap.

Des projets concrets

Remap avait pour objet d’identifier des sites potentiels pour l’implantation de centrales éoliennes et CSP, en partenariat avec les autorités nationales, les compagnies énergéticiennes, les agences de l’énergie et des financeurs potentiels, afin de bâtir un portefeuille de projets en Algérie, Jordanie, Turquie et Tunisie. « La mise en commun des compétences de la dizaine de partenaires du consortium a permis d’instaurer un dialogue très constructif avec les décideurs locaux et d’échanger sur les meilleures orientations afin de proposer des solutions concrètes », poursuit Stéphane Pouffary. Les conclusions de ce projet tombent à point nommé pour alimenter les réflexions du Plan solaire méditerranéen (PSM) de l’Union pour la Méditerranée née lors du sommet de Paris en juillet dernier. « Remap est une excellente contribution amont au PSM qui prévoit de réaliser, d’ici 2020 dans cette zone, outre les 20 % d’économies d’énergie, des centrales pour une puissance de 20 GW à partir de ressources renouvelables (photovoltaïque, CSP, éolien) », commente Noémie Zambeaux, chargée de mission Afrique du Nord et Moyen-Orient.
« Le portefeuille de projets de production électrique va largement contribuer aux objectifs du plan. Lors du lancement de Remap, nous étions, semble-t-il, véritablement dans le sens du vent… et du soleil ! » ajoute Stéphane Pouffary.

Une technologie adaptée aux pays du Sud

Cette production devra satisfaire à la demande des pays de la rive sud, tout en permettant aux pays de la rive nord d’acheter de l’électricité « verte » et de contribuer ainsi à la mise en œuvre du paquet énergie-climat de l’Union européenne. À noter qu’au-delà de l’éolien, le solaire thermodynamique connaît un fort regain d’intérêt et que cette technologie, qui peut également servir à dessaler et purifier l’eau, s’avère particulièrement bien adaptée aux pays du Sud, disposant de vastes territoires disponibles et ensoleillés. Après deux ans de travaux, la conférence finale du projet s’est tenue en décembre 2008. Les derniers détails concernant les projets identifiés sont en phase de validation avant d’être adressés à la Commission européenne puis rendus publics. Il s’agira ensuite de les accompagner concrètement tout en engageant en parallèle des actions de maîtrise de la demande et d’efficacité énergétique.

Site web du projet Remap : www.remap-ec.eu

Contacts : Stéphane Pouffary, Noémie Zambeaux


Source : ADEME.

Xavier Dufail

Djibouti : une centrale éolienne et solaire

Un contrat a été signé avec la société Mapple Indian Ocean Ressources, pour la construction dans la zone du Ghoubet, d’une centrale électrique éolienne et solaire d’une capacité de 40 MW.

La centrale servira en outre au dessalement de l’eau de mer, pour une capacité de production de 40 000 m3 par jour.

Le montant de l’investissement de la première phase du projet est estimé à 200 millions $.


Source : un article diffusé le 6 avril 2009 sur le site Les Afriques : le journal de la finance africaine.

René Massé

Sénégal : journées de lancement du Programme « Accès Energie Afrique » sur les énergies éolienne et photovoltaïque

Ces journées auront lieu les 16 et 17 mars 2009 à la Chambre de Commerce, d’Industrie et d’Agriculture de DAKAR Sénégal. Y participeront l’ASER (Agence Sénégalaise pour l’Electrification Rurale), Solibertec (équipementier énergie renouvelable – Espagne), la CNES (Confédération Nationale des Employeurs du Sénégal), le Président de la Chambre de Commerce, d’Industrie, et d’Agriculture de DAKAR, le Président de l’Association des Imams du Sénégal, ainsi que les organisations professionnelles, communautaires de base et les coopératives.

L’objectif global du programme PAEA est de promouvoir l’accès durable aux énergies renouvelables à travers l’aide à la diffusion d’équipement par des procédures de financement adaptées, s’appuyant sur des Société de Financement Décentralisé (SFD) et des opérateurs locaux.

Les objectifs spécifiques du programme :

  • Faciliter l’accès des populations, entreprises, organisations professionnelles, communautaires, etc. aux technologies énergie nouvelles et renouvelables (ENR) à des coûts compétitifs ;
  • Participer à l’intensification de la politique nationale d’électrification rurale ;
  • Contribuer à la mise en œuvre de la stratégie nationale d’atténuation des changements climatiques par la baisse de la pression sur les ressources forestières et l’utilisation des énergies propres ;
  • Développer des capacités techniques et organisationnelles pour les bénéficiaires.

ADFinance, Centre d’Expertise en Microfinance et implanté dans nombre de pays africains : il entend développer un partenariat avec les SFD, les banques et les organisations professionnelles et villageoises pour faciliter l’accès aux énergies renouvelables des sociétaires, clients, paysans, agriculteurs, coopératives, fédérations, confédérations, pêcheurs, etc.

Pour plus d’information, voir la plaquette téléchargeable ci-dessous ou contacter Eloi Pangop

ADFinance

Tél : +221 33.864.11.62

Fax : +221 33.864.01.10

Cel : +221 77.429.67.07

Courriel : elpangop@yahoo.com.sg

René Massé

Mali : inauguration de la première « Fontaine de lumière » de la Croix-Rouge

Dans le cadre de ses actions d’aide au développement, la Croix-Rouge monégasque vient d’inaugurer au Mali sa première centrale solaire villageoise baptisée « Fontaine de lumière ». Ce projet pilote d’éclairage de zones rurales subsahariennes utilise des lampes à LED alimentées par l’énergie solaire.

Ce projet consiste à remplacer les lampes à pétrole par des lampes électriques rechargées dans une centrale villageoise solaire.

L’originalité du dispositif repose sur sa mise en œuvre : en concertation avec l’ensemble des instances locales, la Croix-Rouge a opté pour une formule de service d’éclairage solaire villageois. Ainsi, une mini-centrale solaire composée de 12 panneaux photovoltaïques de 50Wc a été aménagée dans le village pour permettre le rechargement des 400 lampes solaires individuelles. Chaque utilisateur reçoit ainsi une lampe solaire, moyennant une caution : il pourra recharger à volonté sa lampe à la centrale, pour un abonnement mensuel de 700 FCFA. Les revenus de la centrale permettent d’employer un technicien et d’assurer la maintenance.

Cette approche présente l’avantage de rendre immédiatement accessible l’éclairage solaire aux familles qui n’ont pas les moyens d’acheter un kit photovoltaïque. On résout ainsi, par la location, le problème de l’investissement. De plus, les familles réalisent au quotidien une économie monétaire non négligeable : la location de la lampe solaire revient en effet près de deux fois moins cher que l’utilisation d’une lampe à pétrole.

Pour ce projet, la Croix-Rouge a retenu les lampes solaires de la société française SOLTYS, spécialiste de l’éclairage solaire. D’autres projets pourraient être mis en œuvre prochainement par la Croix-Rouge sur ce même modèle, alliant développement économique, progrès social et protection de l’environnement.

Vous pouvez voir une vidéo de ce projet en cliquant ici.

Pour toute autre information sur le projet ou sur les produits solaires, voir le site de SOLTYS.

Alexandre Chavanne, René Massé

Création de l’Agence internationale pour les énergies renouvelables

75 pays ont signé le 26 janvier 2009 à Bonn (Allemagne) le traité fondateur de l’Agence internationale pour les énergies renouvelables IRENA (International Renewable Energy Agency), la première et nouvelle agence internationale dédiée aux énergies renouvelables. IRENA aura pour mandat de favoriser une transition mondiale rapide vers les énergies renouvelables. Les obstacles qui subsistent – barrières à l’entrée, défaut d’information, insuffisance de capacités technologiques – seront surmontés.

C’est la première organisation internationale au cœur des enjeux majeurs du XXIème siècle : lutte contre le changement climatique, renforcement de la sécurité énergétique, lutte contre la pauvreté et développement de l’accès à l’énergie.

Nous l’avions annoncé en décembre 2008, IRENA est née en ce début d’année 2009.

Les énergies renouvelables représentent aujourd’hui 18 % de la consommation mondiale, dont 15% pour la biomasse et l’hydraulique. Pour le solaire et l’éolien, les capacités installées connaissent depuis 2002 des taux de croissance à deux chiffres. En 2007, plus de 100 Mds de dollars ont été investis dans les énergies renouvelables et la puissance installée représente hors hydraulique près de 240 GW.

Le coût de l’électricité solaire a déjà baissé de 60 % entre 1991 et 2003 ; le coût de l’électricité éolienne a baissé de 80 % entre 1980 et 2007. A l’échelle mondiale, les énergies renouvelables sont déjà un secteur économique à part entière avec près de 2,4 millions d’emplois en 2006.

Cette mobilisation massive dans la signature du traité fondateur de IRENA « traduit l’espoir que les technologies d’ores et déjà disponibles en matière d’énergie éolienne, solaire thermique et photovoltaïque, géothermique, biomasse, hydraulique et marine, deviennent encore plus compétitives et fassent l’objet d’une diffusion à très grande échelle sur toute la planète ».

Parmi les 75 premiers signataires du traité fondateur de l’Agence internationale pour les énergies renouvelables IRENA on trouve : France, Allemagne, Autriche, Chili, Colombie, Danemark, Egypte, Espagne, Ghana, Inde, Islande, Jordanie, Kenya, Lituanie, Mali, Maroc, Nigeria, Norvège, Pays-Bas, Pakistan, Philippines, Pologne, Roumanie, Serbie, Slovaquie, Suède, Syrie, Turquie.


Source : un article de Jean-Charles Batenbaum diffusé le 26 janvier 2009 sur le site Actualités News Environnement.

Noémie Zambeaux, René Massé

Guyane : le Groupe VOLTALIA SA et la Caisse des Dépôts s’associent pour le développement de projets de production d’électricité à base d’énergies renouvelables

Au travers de ce partenariat, le groupe VOLTALIA assure le co-financement de ses projets et conforte son objectif de devenir le premier producteur autonome d’ électricité à base d’énergies renouvelables en Guyane, par la complémentarité de ses savoir-faire de développeur et de producteur.

La Caisse des Dépôts investit 3,1 ME pour entrer à hauteur de 20% au capital de la société VOLTALIA Guyane. Cet apport sera réévalué en 2009, 2010 et 2011 en fonction du développement des projets dans les filières biomasse, photovoltaïque et hydraulique, au-delà d’une puissance cumulée de 20,1 MW.

En entrant au capital de VOLTALIA Guyane, la Caisse des Dépôts entend contribuer à la réalisation de projets locaux de production d’énergie, conformément aux objectifs des pouvoirs publics de développement de capacités de production non émettrices de gaz à effet de serre, enjeu essentiel pour ce territoire ultra-marin.

VOLTALIA Guyane disposera à fin 2008 d’une centrale biomasse (1,7 MW) couplée à une première unité solaire en toiture (0,2 MW). Le chantier d’une usine hydroélectrique de 4,5 MW sur la MANA a été ouvert pour une mise en production fin 2009 et un parc solaire de 6 MW doit être mis en chantier dans les prochaines semaines.
A ces premières installations s’ajoutent une dizaine de projets pour une capacité supplémentaire de 30 MW environ, portant l’objectif des deux partenaires à une quarantaine de MW installés d’ici cinq ans. L’ensemble du programme portera sur un montant total d’investissement devant atteindre 180 ME pour une production annuelle cumulée d’environ 130 Gwh.

A propos de VOLTALIA

VOLTALIA est un producteur d’électricité à base d’énergies renouvelables et opérateur en crédits carbone. Le Groupe développe des projets multi-énergies : hydraulique, éolien, biomasse et solaire. VOLTALIA est actuellement présent en France métropolitaine, en Guyane, au Brésil et en Grèce. VOLTALIA est cotée au Marché Libre d’Euronext Paris depuis mai 2006 (FR000302224-MLVLT).

A propos de la Caisse des Dépôts

La Caisse des Dépôts est un investisseur français de long terme au service de l’intérêt général et du développement économique. Dans le cadre de son plan stratégique « Elan 2020 », elle fait de l’environnement une priorité. Elle entend contribuer, par ses investissements dans les projets locaux, au développement des filières d’énergie renouvelable et à l’atteinte des objectifs nationaux et européens de production d’énergie verte. Elle accompagne ainsi les collectivités en tant qu’actionnaire des Entreprises Publiques Locales (EPL), notamment dans l’évolution statutaire des entreprises locales de distribution. Elle soutient également le développement d’acteurs émergents dans le domaine des énergies renouvelables : éolien, photovoltaïque, géothermie, biomasse et valorisation des déchets. Ses investissements dans les projets d’énergies renouvelables se sont élevés à près de 30 ME en 2007 et devraient atteindre 50 ME en 2008.

Contacts

VOLTALIA : Robert Dardanne, Tel : +33 (0)1 40 88 96 10. Courriel : r.dardanne@voltalia.com

CAISSE DES DEPOTS : Philippe Joyeux, Tél. : 01 58 50 40 00. Courriel : philippe.joyeux@caissedesdepots.fr


Source : un communiqué de presse diffusé par Hugin, diffusé le 1er décembre 2008 sur le site de LCI

René Massé

Le tracteur solaire à usage agricole

En partenariat avec plusieurs pays, le Maroc poursuit une étude sur la conception-fabrication d’un véhicule utilitaire à énergie solaire : le projet RAMSES. Intervenant : M. Omar Ankila, ingénieur au CDER. Note : une conférence qui présentera le véhicule aura lieu à Marrakech en mars 2009.

En partenariat avec plusieurs pays, le Maroc poursuit une étude sur la conception-fabrication d’un véhicule utilitaire à énergie solaire : le projet RAMSES. Intervenant : M. Omar Ankila, ingénieur au CDER.

Note : une conférence qui présentera le véhicule aura lieu à Marrakech en mars 2009.


Jacques Monvois, Gret, Xavier Dufail