Missions et objectifs de l’ASER pour une électrification globale du Sénégal. M. Amadou Sow (ASER)

L’ASER conduit le programme d’électrification rurale au Sénégal… Mais, pour y parvenir, l’ASER a du commencer par créer les condiutions réglementaires, fiscales, concevoir des procédures, passer des contrats avec le secteur bancaire, étudier des Plans locaux d’électrification dans les régions à concéder… et promouvoir le programme pour attirer des opérateurs inyternationaux en nombre suffisant pour que ses appels d’offres soient effectivement compétitifs… L’exposé présente ces multiples missions de (…)

L’ASER conduit le programme d’électrification rurale au Sénégal… Mais, pour y parvenir, l’ASER a du commencer par créer les condiutions réglementaires, fiscales, concevoir des procédures, passer des contrats avec le secteur bancaire, étudier des Plans locaux d’électrification dans les régions à concéder… et promouvoir le programme pour attirer des opérateurs inyternationaux en nombre suffisant pour que ses appels d’offres soient effectivement compétitifs…

L’exposé présente ces multiples missions de mise en place et de lancement, et précise les résultats obtenus.

Le concept de ce projet est celui que décline la Banque mondiale dans plusieurs autres pays de la sous-région, cet exposé est d’autant plus intéressant qu’il montre le chemin parcouru…

René Massé

La tarification de l’électrification rurale. M. Amadou Sow (ASER)

Après une réflexion sur les fondamentaux de la tarification, la rente urbaine (les clients des villes n’ont aucun mérite personnel pour avoir l’électricité à bas coût…), les principes généraux, l’intervenant expose le système tarifaire initié au Sénégal, dans le cadre du programme d’électrification rurale.

Après une réflexion sur les fondamentaux de la tarification, la rente urbaine (les clients des villes n’ont aucun mérite personnel pour avoir l’électricité à bas coût…), les principes généraux, l’intervenant expose le système tarifaire initié au Sénégal, dans le cadre du programme d’électrification rurale.

René Massé

Les types de partenariat public – privé. M. Amadou Sow (ASER)

Dès qu’on a recours à une entreprise commerciale pour investir et/ou exploiter un schéma d’électrification, on doit passer un contrat public-privé… Le partenariat public – privé couvre donc un champ très vaste de cas. Cette présentation analyse les raisons qui conduisent à semblable partenariat, les avantages et inconvénients… avant de proposer une classification des types de PPP, et analyse plus en détails ceux qui sont les plus mis en œuvre dans des programmes d’électrification rurale en (…)

Dès qu’on a recours à une entreprise commerciale pour investir et/ou exploiter un schéma d’électrification, on doit passer un contrat public-privé…

Le partenariat public – privé couvre donc un champ très vaste de cas. Cette présentation analyse les raisons qui conduisent à semblable partenariat, les avantages et inconvénients… avant de proposer une classification des types de PPP, et analyse plus en détails ceux qui sont les plus mis en œuvre dans des programmes d’électrification rurale en PED.

René Massé

Le programme d’électrification rurale global (PERG) au Maroc. M. Rachid Izri (chef PERG à l’ONE)

Cette présentation, très documentée, expose dans une première partie le programme marocain d’électrification rurale, son concept de partenariat public-privé, ses financements, ses objectifs et ses réalisations. Une seconde partie détaille la composante solaire de ce programme. Avec toujours beaucoup de détails sur les méthodes, les modalités de partenariats public – privés, les réalisations, l’impact (…)

Cette présentation, très documentée, expose dans une première partie le programme marocain d’électrification rurale, son concept de partenariat public-privé, ses financements, ses objectifs et ses réalisations.

Une seconde partie détaille la composante solaire de ce programme. Avec toujours beaucoup de détails sur les méthodes, les modalités de partenariats public – privés, les réalisations, l’impact même.

René Massé

Cadrage institutionnel du secteur de l’électricité. René Massé (GRET)

Cette intervention analyse en particulier les organisations observées dans les PED pour : Créer les conditions institutionnelles, juridiques et règlementaires pour promouvoir le changement d’échelle dans les programmes d’électrification rurale ; Les nouvelles institutions requises pour mettre en œuvre l’effort public d’ER et leurs missions ; La place des différents acteurs de l’ER, publics et (…)

Cette intervention analyse en particulier les organisations observées dans les PED pour :

  • Créer les conditions institutionnelles, juridiques et règlementaires pour promouvoir le changement d’échelle dans les programmes d’électrification rurale ;
  • Les nouvelles institutions requises pour mettre en œuvre l’effort public d’ER et leurs missions ;
  • La place des différents acteurs de l’ER, publics et privés…

René Massé

Maroc : assemblée générale de l’Union des producteurs, transporteurs et distributeurs d’énergie électrique d’Afrique (UPDEA)

L’UPDEA a tenu, les 30 et 31 octobre 2007, son comité et sa 39ème assemblée générale. Cette assemblée générale s’est distinguée par la présence d’un nombre important d’opérateurs du secteur de l’électricité d’Afrique.

Lors de son assemblée générale au Maroc, l’UPDEA s’est fixé pour objectif « l’électricité pour la majorité de la population africaine ».

Ouvrant les travaux de cette assemblée, le directeur général de l’ONE, M. Younes Maâmar, a rappelé que le taux d’électrification en Afrique est de 36%, alors que le réseau d’électrification couvre 24% de l’ensemble du territoire des pays de l’Afrique subsaharienne. « C’est un taux très bas, puisque moins d’une personne sur deux a un accès à l’électricité. Ce qui constitue un frein notamment pour toute politique de développement social, pour l’accès à l’éducation et à la santé publique, et aux activités génératrices du revenu », a-t-il précisé. Se référant à quelques statistiques de l’Agence internationale de l’énergie, M. Maâmar a souligné que le taux d’électrification pourrait atteindre 51 % en Afrique en 2030 à condition de mobiliser un investissement de 350 milliards de dollars dans ce domaine.

« Pour marquer le retour de l’ONE sur la scène africaine, l’UPDEA a décidé d’organiser sa 39ème assemblée générale à Tanger, candidate à l’organisation de l’Exposition internationale de 2012 », a souligné le Secrétaire général de l’UPDEA, M. Mutima Sakrini. L’ONE a effectivement entrepris de renforcer sa présence au niveau international, notamment en Afrique où il souhaite devenir un acteur principal d’électricité.

Le représentant de la ministre de l’Energie, des Mines, de l’Eau et de l’Environnement du Maroc, M. Abderrahim El Hafidi, a précisé « l’intérêt particulier accordé au développement de l’utilisation des énergies renouvelables pour lesquelles le Maroc dispose de potentialités importantes… un plan d’action a été élaboré pour augmenter leur contribution dans le bilan énergétique national de 4% en 2007 à 10% à l’horizon 2012 ».


Source : un article publié le 2 novembre 2007 sur le site de Aujourd’hui.ma

Elhadji SYLLA, ASER, René Massé

Togo : réunion des ministres de l’Energie des 15 pays de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO)

Cette réunion du 16 novembre 2007 à Lomé va étudier les modalités de la création d’une autorité de règlementation de l’électricité en Afrique de l’Ouest.

« Cette autorité aura pour mission d’organiser, de contrôler et de clarifier le rôle des acteurs, des investissements et des modalités des échanges de l’électricité entre les États, afin de susciter une efficacité d’approvisionnement de l’électricité en quantité suffisante aux populations », a précisé un expert de la CEDEAO, M. Yaouza Ouro-Sama.

« Il s’agit de concrétiser l’engagement des pays de la CEDEAO à assurer l’accès aux sources modernes d’énergie, à l’horizon 2015, à plus de la moitié de sa population rurale et périurbaine », a-t-il ajouté.

Cette réunion des ministres a été précédée par celle des experts du comité régional multisectoriel sur l’accès à l’énergie et les problèmes énergétiques en Afrique de l’Ouest.


Source : un article diffusé sur le site d’Afrique en ligne le 16 novembre 2007.

René Massé

Sénégal : hausse de 6% des tarifs de l’électricité le 1er novembre 2007 – Quête de rationalité

Malgré les efforts consentis par le gouvernement sénégalais, les tarifs sur l’électricité vont connaitre une hausse de 6%.

Répercussion de la flambé des prix du baril de pétrole sur la facture d’électricité au Sénégal

Des obligations pour rétablir l’équilibre financier de la Sénélec

Dur, dur, mais nécessaire, cette décision gouvernementale d’appliquer la vérité des prix sur les tarifs de l’électricité qui vont augmenter de 6% à partir du 1er novembre 2007, pour répercuter l’évolution du prix du baril de pétrole. Les calculs estimaient la hausse nécessaire à 15% mais finalement, la hausse sera contenue à 6%. C’est ce qu’on appelle un ajustement moyen des tarifs tel qu’annoncé par la Commission de régulation de l’électricité (Crse) et confirmé par le ministre de l’Energie, M. Samuel Sarr.

Il a précisé les principes directeurs de la mesure de hausse : elle se fonde sur la recherche de la « rationalité économique », c’est à dire le recouvrement des coûts de la Sénélec par les recettes de la vente d’énergie.

Or, d’après les calculs effectués par la Crse, la Sénélec supporte un gap de plus de 14 milliards de FCfa avec les tarifs actuellement en vigueur.

Dans ce contexte, le ministre Samuel Sarr a insisté sur la nécessité :

  • de promouvoir simultanément une dynamique d’économie d’énergie. Un groupe de travail a été chargé d’élaborer un plan à cet effet en collaboration avec les associations de consommateurs.
  • d’entreprendre des actions pour redresser la Senelec. l’État a mis au point « un programme d’investissement complémentaire de 520 milliards francs Cfa, dans le but d’accroitre la capacité de production de plus de 600 Mégawatts et de moderniser les réseaux de transport et de distribution, à l’horizon 2012 ».

La réforme institutionnelle de la Sénélec

A l’issue de l’atelier de deux jours du groupe technique ad-hoc chargé de la réforme institutionnelle de la Sénélec et qui portait sur la structure et le schéma institutionnel à retenir, le groupe technique a proposé les orientations suivantes :

  • Promouvoir la garantie et l’amélioration de la qualité de l’approvisionnement et des services de l’électricité dans les meilleures conditions de fiabilité et de sécurité, à terme ;
  • Réduire les coûts de l’électricité ;
  • Augmenter l’accès des populations à l’électricité ;
  • Résoudre le problème du financement du programme d’investissement du secteur ;
  • Accélérer le désengagement de l’État et le recours accru au secteur privé.

Parmi quatre schémas « réalisables » étudiés, ce Groupe technique propose d’aller vers un dégroupage des activités de production et de distribution, avec une participation prépondérante du secteur privé national et étranger dans le capital des structures ciblées.

Le ministre a indiqué que « le gouvernement resterait alors à un niveau de présence lui permettant de veiller à la garantie d’un approvisionnement sécurisé du pays en énergie, au moindre coût ». Dans cette perspective la ministre suggère d’étudier une option « sur le dégroupage du Transport avec une mission d’acheteur unique, sous la coordination d’un holding doté de fonctions transversales ». Cette disposition, indique-t-il encore, aurait le mérite « d’introduire la concurrence, mais aussi l’efficacité du système électrique en s’appuyant sur la spécialisation des métiers, suite au recours au privé qui pourrait jouer le rôle de partenaire technique ».


Source : revue presse de la CEDEAO du 1er au 5 octobre 2007.

Elhadji SYLLA, ASER, René Massé

L’énergie et l’eau au Congo

Présentation du secteur de l’énergie et de l’eau au Congo, faite par le Ministre M. Itoua au Forum EURAFRIC-Partners, tenu à Lyon du 23 au 26 octobre 2007.

Présentation Powerpoint par Monsieur le ministre de l’Energie du Congo
36 pages
Octobre 2007 à Lyon, France

Cette présentation expose des extraits du code de l’eau et du code de l’électricité, le nouvel organigramme des acteurs décisionnels des filières eau et énergie, ainsi qu’une liste de sites identifiés de son pays, valorisables en hydroélectricité.

Pépin Tchouate

Maroc : Conférence internationale sur l’électrification rurale : Appel à communication

Les experts internationaux ont jusqu’au 31 octobre 2007 pour soumettre une intention de communication aux organisateurs. les experts sélectionnés par le Comité scientifique (le 15 novembre) auront jusqu’au 30 novembre 2007 pour remettre leurs écrits et présentations sur Powerpoint définitifs.

La Conférence internationale sur l’Electrification rurale – CIER 2008 – qui se tiendra à Marrakech (Maroc) du 23 au 25 janvier 2008, a déjà été présentée sur ce portail (voir l’article).

Les organisateurs lancent un Appel à communication que vous pourrez télécharger ci-dessous ou retrouver sur le site de CIER 2008. Cet appel s’adresse à des conférenciers qui disposent d’une expertise prouvée dans le domaine de l’électrification rurale et du secteur de l’électricité en Afrique

Si l’organisation ne rémunère pas les intervenants pour leur présentation, par contre les frais de déplacement et d’hébergement seront pris en charge par les organisateurs, suivant des modalités qui seront précisées à chaque intervenant par les organisateurs.

Pour plus d’information sur cette Conférence, vous pouvez visiter le site du CIER 2008.

Les intentions de communication et les documents complets sont à envoyer à Autograph par courriel à : contact@autograph.ma avec copie à M. N. Dhaiby, à dhaiby@one.org.ma.

René Massé