Ghana : études du marché de l’éclairage

Études de marché effectuées par Éclairer l’Afrique, initiative du Groupe de la Banque mondiale, portant sur les moyens d’éclairage pour les individus et les petites entreprises du Ghana, constituées par :

  1. Une étude qualitative exploratoire
  2. Une étude quantitative des usages et comportements

« Ghana Qualitative Off-Grid Lighting Market Assessment »

90 pages

« Lighting Africa Market Assessment Results – Ghana »

135 pages

Éclairer l’Afrique (Groupe de la Banque mondiale)

octobre 2008

(documents en anglais)

Éclairer l’Afrique a pour objectif de favoriser un développement
rapide du secteur et de l’offre de produits d’éclairage abordables et ne
dépendant pas de combustibles fossiles, et elle vise plus
particulièrement à trouver les moyens de réduire fortement les coûts.

Cette démarche débute par la réalisation d’études de marché dont les objectifs sont :

  • Créer une base de référence pour quantifier la taille des segments de marché potentiel des produits d’éclairage appropriés, en quantité et en valeur
  • Informer sur les fonctionnalités et conception souhaitées pour différents types de produits d’éclairage dans plusieurs classes de produits (lampe-torche, projecteur, lampe, lanterne, spot)
  • Permettre aux industriels de comprendre et de quantifier les dépenses actuelles et la capacité de payer des consommateurs concernant les produits d’éclairage modernes hors réseau, et de déterminer le prix raisonnable des produits vis-à-vis du marché.

Source : site d’Éclairer l’Afrique (en anglais).

Jacques Monvois, Gret, Xavier Dufail

Kenya : études du marché de l’éclairage

Études de marché effectuées par Éclairer l’Afrique, initiative du Groupe de la Banque mondiale, portant sur les moyens d’éclairage pour les individus et les petites entreprises du kenya, constituées par :

  1. Une étude qualitative exploratoire
  2. Une étude quantitative des usages et comportements

« Kenya Qualitative Off-Grid Lighting Market Assessment »

85 pages

« Lighting Africa Market Assessment Results – Kenya »

132 pages

Éclairer l’Afrique (Groupe de la Banque mondiale)

octobre 2008

(documents en anglais)

Éclairer l’Afrique a pour objectif de favoriser un développement
rapide du secteur et de l’offre de produits d’éclairage abordables et ne
dépendant pas de combustibles fossiles, et elle vise plus
particulièrement à trouver les moyens de réduire fortement les coûts.

Cette démarche débute par la réalisation d’études de marché dont les objectifs sont :

  • Créer une base de référence pour quantifier la taille des segments de marché potentiel des produits d’éclairage appropriés, en quantité et en valeur
  • Informer sur les fonctionnalités et conception souhaitées pour différents types de produits d’éclairage dans plusieurs classes de produits (lampe-torche, projecteur, lampe, lanterne, spot)
  • Permettre aux industriels de comprendre et de quantifier les dépenses actuelles et la capacité de payer des consommateurs concernant les produits d’éclairage modernes hors réseau, et de déterminer le prix raisonnable des produits vis-à-vis du marché.

Source : site d’Éclairer l’Afrique (en anglais).

Jacques Monvois, Gret, Xavier Dufail

Tanzanie : études du marché de l’éclairage

Études de marché effectuées par Éclairer l’Afrique, initiative du Groupe de la Banque mondiale, portant sur les moyens d’éclairage pour les individus et les petites entreprises de Tanzanie, constituées par :

  1. Une étude qualitative exploratoire
  2. Une étude quantitative des usages et comportements

« Tanzania Qualitative Off-Grid Lighting Market Assessment »

83 pages

« Lighting Africa Market Assessment Results – Tanzania »

142 pages

Éclairer l’Afrique (Groupe de la Banque mondiale)

octobre 2008

(documents en anglais)

Éclairer l’Afrique a pour objectif de favoriser un développement
rapide du secteur et de l’offre de produits d’éclairage abordables et ne
dépendant pas de combustibles fossiles, et elle vise plus
particulièrement à trouver les moyens de réduire fortement les coûts.

Cette démarche débute par la réalisation d’études de marché dont les objectifs sont :

  • Créer une base de référence pour quantifier la taille des segments de marché potentiel des produits d’éclairage appropriés, en quantité et en valeur
  • Informer sur les fonctionnalités et conception souhaitées pour différents types de produits d’éclairage dans plusieurs classes de produits (lampe-torche, projecteur, lampe, lanterne, spot)
  • Permettre aux industriels de comprendre et de quantifier les dépenses actuelles et la capacité de payer des consommateurs concernant les produits d’éclairage modernes hors réseau, et de déterminer le prix raisonnable des produits vis-à-vis du marché.

Source : site d’Éclairer l’Afrique (en anglais).

Jacques Monvois, Gret, Xavier Dufail

Maroc : réglementation pour encourager l’usage des énergies renouvelables et l’efficacité énergétique

Une circulaire interministérielle vient d’être signée le 6 novembre 2008 pour assurer l’intégration des énergies renouvelables et des techniques de l’efficacité énergétique dans les projets d’aménagement et de construction.

Les énergies renouvelables font leur entrée dans le monde du BTP.

Amina Benkhadra, ministre de l’Energie, des mines, de l’Eau et de l’Environnement et Taoufiq Hejira, ministre de l’Habitat, de l’Urbanisme et de l’Aménagement de l’espace, ont signé cette circulaire interministérielle pour inciter les opérateurs immobiliers à prendre en considération les énergies renouvelables et l’efficacité énergétique dans la conception architecturale et dans les projets d’aménagement et de construction en attendant la promulgation du code de l’urbanisme.

En effet, cette circulaire définit les conditions d’application des dispositions de la convention relative à l’amélioration de l’efficacité énergétique dans le secteur de l’habitat signée en juillet 2008. « La nouvelle stratégie énergétique intègre l’efficacité énergétique dans les secteurs-clés du bâtiment, du transport et de l’industrie à travers la promotion de technologies propres et la mise à niveau de normes et spécifications énergétiques », a souligné Mme Benkhadra. « Le bâtiment est incontestablement l’un des secteurs présentant le meilleur potentiel d’amélioration en termes d’efficacité énergétique », a -t-elle ajouté.

La ministre a mis l’accent aussi, au cours de son intervention, sur les axes prioritaires fixés par son département dans ce cadre. « Le Plan national d’actions prioritaires du secteur énergétique a adopté des mesures urgentes d’efficacité énergétique, en particulier la généralisation des lampes à basse consommation par la mise en place de 22 millions de lampes à l’horizon 2012, la promotion de l’utilisation des chauffe-eau solaires, le développement du marché des capteurs solaires thermiques à hauteur de 40.000 m² par an, l’utilisation des équipements normalisés et la réalisation des projets pilotes d’efficacité énergétique », a déclaré la ministre de l’Energie.

En marge de la signature de cette circulaire, deux conventions cadres ont été signées à cette occasion :

  • La première a été conclue entre le Centre de développement des énergies renouvelables (CDER), le groupe d’aménagement Al Omrane (GAO) et le Parc scientifique et technologique pour l’environnement de Turin en Italie. Cette convention cible la promotion et le renforcement des relations de coopération et de partenariat entre les signataires en matière d’éco-construction et d’aménagement urbain et rural, de développement de la recherche, des études et l’expertise technique ainsi que de la formation au profit des cadres dans ce domaine.
  • La seconde convention qui a été signée entre le CDER et Sahel-Lakhiayta, se fixe comme objectif central l’accompagnement de cette nouvelle ville pour l’intégration des mesures d’efficacité énergétique dans ses projets de construction. Cela en intégrant des technologies d’efficacité énergétique et des énergies renouvelables dans le programme global d’aménagement urbain de cette ville.

Source : un article de Samira Yadine publié le 10 novembre 2008 sur le site de Aujourd’hui le Maroc.

René Massé

France : les ampoules à incandescence interdites à partir de 2010

Dans le cadre du Grenelle de l’environnement, le gouvernement français a voté le 21 octobre 2008 l’interdiction de vente pour les ampoules à incandescence, à partir de 2010.

La France n’est pas le premier pays à s’engager sur ce point : une décision identique a été prise par l’Australie en février 2007. Et l’état de Californie (États-unis) appliquera la même interdiction en 2012.

Les ampoules à incandescence ont des rendements très bas (de l’ordre de quelques %) et leur suppression pour des solutions alternatives (tube néon, ampoule fluocompacte, éclairage à LED, etc.) diminue fortement la consommation en énergie.

Compte tenu de leur plus grande durée de vie, et malgré leur coût plus élevé, l’utilisation d’ampoules fluocompactes en remplacement des ampoules à filament reste financièrement intéressante pour les usagers.

René Massé, Xavier Dufail

Tunisie : un Fonds de Garantie de l’Efficacité Energétique pour les PME

Le FGEE est destiné à garantir les crédits à moyen terme accordés par les établissements de crédit aux Entreprises Industrielles ou aux Entreprises de Services Energétiques (ESE) pour le financement des actions d’Efficacité Energétique.

La Société Tunisienne de Garantie

« La Société Tunisienne de Garantie (SOTUGAR) est une société d’intérêt public créée en 2003 pour renforcer l’ensemble des mécanismes mis en place pour le développement et la promotion des PME durant les phases les plus décisives de leur cycle de vie (création, extension, restructuration) ». La SOTUGAR est placée sous la tutelle du ministère des Finances, son capital social est détenu à hauteur de 37% par l’Etat et 63% par les banques.

Fonds de Garantie de l’Efficacité Energétique (FGEE)

Dans le cadre du Projet d’Efficacité Energétique dans le Secteur Industriel financé par le FEM à travers la Banque Mondiale, l’Agence National pour la Maîtrise de l’Energie (ANME) a confié la gestion du FGEE à la SOTUGAR, le FGEE est destiné à garantir les crédits à moyen terme accordés par les établissements de crédit aux Entreprises Industrielles ou aux Entreprises de Services Energétiques (ESE) pour le financement des actions d’Efficacité Energétique.

1. Entreprises éligibles à la garantie :
sont éligibles à la garantie du FGEE, les moyennes et grandes entreprises industrielles :

- Opérant dans le secteur industriel depuis au moins deux ans,

- Désirant réaliser des actions d’efficacité énergétique avec le recours à des ESE et dont le coût total est supérieur ou égal à cinquante milles dinars et dont le temps de retour de l’investissement est inférieur à trois ans.

2. Formes et modalités d’intervention du FGEE :

- Refinancement de la moitié et prise en charge des intérêts de trésorerie de l’autre moitié des montants impayés en principal des crédits acceptés à la garantie conformément à la répartition de prise en charge des montants irrécouvrables des crédits entre le FGEE et l’établissement de crédit, et ce, dès l’engagement d’une procédure judiciaire à l’encontre du bénéficiaire du crédit.

- Prise en charge de 75% des montants irrécouvrables des crédits acceptées à la garantie et des frais de poursuite et de recouvrement contentieux desdits crédits. L’indemnisation de la perte finale interviendra au plus tard trois ans à partir de la date du refinancement (versement de l’avance).


Source : article publié sur le site de la SOTUGAR

René Massé

Éthiopie : don de 8 millions USD de la Banque mondiale pour l’électrification rurale

La Banque Mondiale (BM) a approuvé un don de huit millions de dollars (6,2 millions d’euros) à l’Éthiopie pour le développement du réseau de distribution électrique en milieu rural.

« La BM (…) a signé un accord de don de 8 millions de dollars avec la Compagnie éthiopienne d’électricité (EEPCo) pour soutenir l’accès à l’électricité dans les villes et les villages ruraux », indique un communiqué de la Banque mondiale.

Ce don, financé par la Grande-Bretagne et la Suède, s’inscrit dans le cadre du Programme éthiopien d’accès universel à l’électricité (UEAP).

« Jusqu’à 228.571 foyers pauvres vont bénéficier de ce projet » qui prévoit l’utilisation de « lampes compactes fluorescentes » qui doivent permettre une réduction de 55% de la consommation électrique de ces ménages et réduire d’autant leur facture.

Le projet prévoit également une aide à la connexion de 35 dollars (environ 23 euros) des familles les plus pauvres qui ne peuvent pas se permettre de payer ces frais.

« EEPCo prendra en charge tous les risques de construction et commerciaux », indique la BM, qui précise qu’elle vérifiera l’existence réelle de la connexion avant tout paiement à cette compagnie publique.

Cette compagnie publique a doublé en cinq ans le nombre de villes électrifiées et de personnes ayant accès à cette énergie.

L’Éthiopie, pays pauvre de la Corne de l’Afrique qui compte plus de 80 millions d’habitants « a l’un des taux d’électrification les plus bas d’Afrique subsaharienne », selon la BM, qui ajoute : « Moins de 2% des populations des zones rurales – où vivent plus de 85% de la population – ont accès à l’électricité ».


Source : article publié le 30 octobre 2008 sur le site de Romandie News.

René Massé, Xavier Dufail

Électricité rurale : la question du facteur de charge

Le facteur de charge des systèmes électriques est souvent très faible, et contribue au renchérissement de l’énergie électrique : ce n’est pas une fatalité. Cet article présente des partenariats innovants entre les sociétés d’électricité et les grandes marques d’équipement électrique

« La question du facteur de charge »

Michel Matly

12 pages

Février 2008

Dans les approches actuelles de l’électrification, le très faible facteur de charge des systèmes est trop souvent considéré comme une fatalité, liée à la pauvreté de la nouvelle clientèle. Ce faible taux de charge, dû à la concentration de la demande sur quelques usages domestiques de base (éclairage, surtout) est pourtant un des principaux facteurs de la cherté de l’énergie électrique.

En menant une politique systématique en ce domaine, il est possible d’encourager
avec succès les usages de l’électricité et en conséquence de réduire sensiblement les coûts de l’énergie, réaliser une électrification beaucoup plus rentable et plus fertile en services pour les usagers.

René Massé, Xavier Dufail

Impacts de l’électrification sur les populations rurales

Cette étude en anglais de l’Independent Evaluation Group (IEG) de la Banque mondiale analyse les impacts de l’électrification sur la qualité de vie des populations rurales.

« The Welfare Impact of Rural Electrification : A Reassessment of the Costs and Benefits »

Independent Evaluation Group (IEG) – Banque mondiale

178 pages

2008

(document en anglais)

Il a longtemps été affirmé que l’électrification rurale améliorait grandement la qualité de vie. L’éclairage à lui seul permet d’augmenter le temps d’étude pour les élèves et étudiants, le temps de travail pour les petites entreprises, et améliore la sécurité.

Mais l’électrification apporte plus que la lumière. La télévision vient en deuxième position et procure divertissement et information. La population rurale apprécie grandement ces bénéfices et est prête à payer plus que nécessaire pour couvrir les coûts. Toutefois, les évaluations de ces avantages (en termes de biens publics par exemple) et de leur répartition ont été rares.

Ce rapport passe en revue les récents progrès méthodologiques dans l’évaluation des avantages de l’électrification rurale et les confronte. Il relève également, dans les documents projet, la faiblesse de la compréhension des techniques décrites et le manque de contrôle de la qualité des analyses économiques. Cette étude montre que la volonté de payer pour l’électricité est élevée, et dépasse le coût marginal à long terme de l’approvisionnement.

René Massé, Xavier Dufail

Maroc : subventions au prix de l’énergie et protection sociale

Cette note aborde les enseignements que l’on peut tirer de la mise en œuvre des réformes des subventions aux prix de l’énergie (et met l’accent le cas échéant sur le GPL) dans plusieurs pays.

« Réformer les subventions au prix de l’énergie et renforcer la protection sociale : quelques questions de conception »

Pierre Audinet (Banque mondiale) et Connie Smyser (consultante)

Banque Mondiale – Département du Développement Durable

34 pages

Juillet 2008

introduction du document

En période de hausse des prix du pétrole, la charge budgétaire des subventions directes au prix de l’énergie s’accroît ainsi que la demande pour les subventions. Pour accroitre l’efficacité de l’allocation des
ressources publiques, les gouvernements peuvent réduire les subventions aux prix et mettre en œuvre des moyens plus ciblés de soutien aux revenus des groupes sociaux vulnérables. Pour des raisons sociales ou environnementales, les gouvernements peuvent également souhaiter maintenir un certain niveau d’accessibilité à certains produits, comme le GPL.

Le secret de la réussite des réformes réside dans une conception minutieuse permettant de réduire la charge fiscale des subventions aux prix, tout en rendant la réforme socialement acceptable et en atteignant les objectifs de politique sociale et environnementale.

Le gouvernement du Maroc s’est engagé dans l’examen des modalités de la protection sociale et de l’énergie moderne aux populations à faibles revenus. Cette initiative est d’une importance particulière s’agissant de la consommation de GPL Au Maroc, la moitié du prix unitaire du GPL reste subventionnée.

Cette mesure affecte également d’autres carburants tels que le diesel et le gasoil. Cependant, le prix unitaire de ces carburants est moins subventionné que le GPL et leur prix n’affecte les dépenses des pauvres que de manière indirecte, par exemple à travers le coût du transport.


référence : Banque Mondiale

René Massé, Xavier Dufail