EU – Afrique : un Partenariat pour les infrastructures est lançé

Les 24 et 25 octobre 2007, à Addis-Abeba (Ethiopie), l’Union européenne a annoncé le lancement d’un nouveau Partenariat pour promouvoir les infrastructures (dont l’énergie) en Afrique.

Des ressources du 10ème Fonds Européen de Développement seront affectées spécifiquement à ces actions. Un nouvel instrument financier, le EU Infrastructure Trust Fund sera également initié pour rassembler toutes les contributions de la Commission européenne, des États membres, de la Banque européenne d’investissement et des institutions européennes de financement du développement.

Partant du constat que l’Afrique a besoin de développer ses infrastructures et services de distribution dans les secteurs des transports, de l’énergie, de l’eau et des technologies nouvelles de communication, pour promouvoir le développement économique et social, ce partenariat vise à soutenir l’effort de construction des ces infrastructures.

Parmi les ressources financières, le 10ème Fonds européen de développement (FED) contribuera à hauteur de 5,6 billions d’Euros sur la période 2008 – 2013. En addition, un nouveau Fonds européen pour les infrastructures en Afrique permettra de rassembler les contributions de la Commission européenne, des États membres, de la Banque européenne d’investissement (BEI), et des institutions européennes de financement du développement. Ce fonds proposera des subventions pour attirer des financements complémentaires, en provenance d’autres bailleurs de fonds et du secteur privé.

Des information s plus détaillées sont proposées en anglais sur le site de l’Union africaine

René Massé

Une Conférence sur les opportunités de marché de l’énergie durable en Afrique pendant le Salon ENERGIES PLUS

Du 15 au 18 novembre 2007 à Marche-en-Famenne en Belgique, se tiendra ENERGIES PLUS : le salon des économies d’énergie, axé sur les nouveaux enjeux énergétiques et climatiques.

Le Groupe de travail Partenariat du RIAED, en partenariat avec la Fédération Wallonne de l’électricité d’origine renouvelable et alternative, y organise le 16 novembre 2007 une rencontre entre les industriels belges et les représentants du secteur de l’énergie durable en Afrique pour échanger sur les opportunités de marchés qu’offre le Continent, dans le but de stimuler le partenariat en faveur de l’accélération du processus d’approvisionnement des collectivités rurales et semi-urbaines en énergie.

Le salon Energie Plus

Energies + a pour objet de réunir des exposants présentant des produits et services visant l’économie et la performance énergétique, le respect de l’environnement, la production et distribution d’énergie pour le bâtiment, ainsi que tous les outils utiles à leur promotion et leur mise en œuvre.

En outre, il a pour vocation d’aider les entreprises et les particuliers à s’adapter aux nouvelles directives émanant du pouvoir local, régional, fédéral et européen présentes et à venir, en matière d’énergie et d’environnement, en les encourageant à connaitre, utiliser et développer toutes les technologies en rapport avec les économies d’énergie, au sens large.

Il informera, entre autres, le grand public sur la performance énergétique du bâtiment qui sera bientôt un des critères déterminant de la valeur des biens immobiliers en Belgique et dans le monde. Pour plus de détails sur ce salon, consulter le site de energiesplus

La conférence sur le thème de l’énergie en Afrique

La Conférence sur le thème de l’énergie en Afrique, donnera aux participants l’occasion d’échanger sur :

  • Le marché de l’énergie durable et de l’électrification rurale ;
  • Le cadre règlementaire (organisation, engagements de l’État, conditions d’existence comme « opérateur », etc.) ;
  • Pourquoi l’Afrique est-elle particulièrement attractive ?
  • La liste des projets pour lesquels les partenariats sont recherchés ;
  • Les conditions de partenariats :
  • Les facilités et garanties accordées par l’État aux entreprises étrangères pour favoriser leur insertion dans ce secteur d’activités. -* etc.

L’assistance sera composée des membres de EDORA, la Fédération wallonne des entreprises actives dans l’électricité renouvelable et alternative, des membres du RIAED et d’autres acteurs du secteur de l’énergie.

Pour plus d’informations, contacter l’animateur du groupe de travail du RIAED sur le Partenariat : Pépin Tchouate

Pépin Tchouate

Atelier international "Régime international, déforestation évitée et évolution des politiques publiques et privées affectant les forêts dans les pays du sud"

Du 21 novembre après-midi au 23 novembre 2007 à Paris

Cet atelier est organisé par le CIRAD, l’IDDRI, le CIFOR et le GIP ECOFOR. Le nombre de places étant limité, il est nécessaire de s’inscrire pour participer à cet atelier.

Cet atelier international s’inscrit dans le cadre de l’achèvement d’un projet de recherche conduit par le Cirad (coordination : A. Karsenty) sur financement du Ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche.

Les principales questions auxquelles tenteront de répondre les participants sont les suivantes :

  • Quels sont les indicateurs qui permettent d’identifier l’émergence d’un régime international des forêts ?
  • Dans quelle mesure les éventuels régimes internationaux en voie d’émergence dans le domaine de l’environnement influent-ils sur la construction des politiques publiques en matière de forêt et d’environnement des grands pays forestiers en développement (Brésil, Bolivie, Pays d’Afrique centrale, Indonésie, Malaisie…) ?
  • Y a-t-il une convergence des politiques publiques des grands pays forestiers du Sud ? Si oui, sur quels points ? Quelle est la place et l’impact des dispositifs privés (comme la certification ou les engagements volontaires) dans les évolutions en cours et comment doit-on l’interpréter ?
  • Quels sont les éléments de divergence des politiques nationales et les raisons des différences de situation constatées ? Comment les représentations collectives nationales influent-elles sur ces choix ?
  • Est-ce que la place grandissante que prennent les forêts dans le débat international sur l’environnement, et en particulier les projets de versements financiers aux pays en fonction de la réduction de la déforestation (« déforestation évitée »), va accélérer la constitution d’un régime international ? Quelles sont les marges de manœuvre réelles, notamment en termes politiques et sociaux, des gouvernements en matière de modification des politiques publiques pour infléchir le taux de déforestation ? Comment évaluer les coûts d’une réduction de la déforestation obtenue par le biais de « paiements pour services environnementaux » ?

Nous recommandons aux personnes désireuses de participer à cet atelier de s’inscrire sans tarder, car malgré le changement de salle de conférence le nombre de sièges reste limité.

L’Atelier se déroulera :

  • Le 21 novembre : au Lycée Technique Raspail

    5 Bis Avenue Maurice d’Ocagne 75014 Paris

    (Métro : Porte d’Orléans (Ligne 4) / Porte de Vanves (Ligne 13)

  • Les 22 et 23 novembre : à l’Union Internationale des Chemins de Fer (UICP)

    16 rue Jean Rey. 75015 Paris

    (Métro : Bir-Hakeim (Ligne 6) ou RER C (Champ de Mars – Tours Eiffel).


Pour plus d’informations :

  • Auprès du Comité d’organisation composé de M. Alain Karsenty (Cirad), Stéphane Guéneau (Iddri), Doris Capistrano (Cifor), Jean-Luc Peyron (Gip Ecofor).
  • Ci-dessous, la présentation du programme prévisionnel de l’Atelier et la fiche d’inscription.

René Massé

Nouvel appel à manifestation d’intérêt pour le deuxième marché public MOC/MDP belge

La quatrième date butoir pour la soumission de « Manifestations d’Intérêt » au deuxième marché public MOC/MDP belge se rapproche… Elle a été fixée au 10 octobre 2007.

Ce mécanisme a déjà été présenté en détail dans un article du Riaed en février 2007. L’équipe responsable de ce marché public MOC/MDP attire ici votre attention sur la proximité de la date limite pour manifester votre intérêt.

Dans le cadre de sa stratégie nationale de lutte contre le changement climatique, et en complément de ses mesures domestiques, l’Etat belge a décidé d’acquérir 12,3 millions de réductions d’émissions d’ici 2012. Ces réductions d’émission seront générées de préférence par des projets de Mise en œuvre conjointe (MOC) et du Mécanisme de développement propre (MDP). Ces acquisitions seront réalisées via différents Marchés publics MOC/MDP et par des investissements dans des Fonds carbone.

Tous les projets MOC et MDP qui répondent aux Règles de Kyoto et aux exigences du gouvernement fédéral belge sont acceptés dans le cadre du présent Marché public MOC/MDP, à l’exception des projets d’énergie nucléaire et des projets « puits de carbone » (projets d’utilisation des terres, de changement d’utilisation des terres et de foresterie). Les projets d’énergies renouvelables et les projets d’efficacité énergétique sont particulièrement appréciés.

Attention :

  • Tous les documents doivent parvenir au plus tard le 10 Octobre 2007 (13.00 heure locale), la date butoir pour la remise au service postal ou tout autre service de courrier est le 8 Octobre 2007, la signature du reçu faisant foi.
  • Toute Manifestation d’Intérêt doit être remise sous forme papier (l’original signé et deux copies) avec aussi une version électronique (CD-Rom ou floppy disk).
  • Une contribution financière de 40.000 Euros est offerte à toutes les Propositions de projets complètes et en ordre.
  • Une contribution financière additionnelle de 10.000 Euros est en outre offerte aux candidats originaires des Pays les moins développés.

Pour tous les détails concernant le deuxième marché public MOC/MDP belge et les conditions de soumission, veuillez vous référer à la brochure « Appel à Manifestations d’Intérêt » et visiter ce site

Vous pouvez aussi contacter :

Mme Sophie Closson (en français ou en anglais) :
- tél : +32.2.524.95.34

- Courriel : jicdmtender@health.fgov.be

- Fax +32 2 524 96 01

- Adresse : Service public fédéral Santé publique, Sécurité de la chaîne alimentaire et Environnement. DG Environnement. Service Changement climatique

Place Victor Horta, 40, boîte 10

1060 Bruxelles. Belgique

René Massé

Bulletin de la GTZ sur l’efficacité énergétique

GTZ Energy News n°6 focus on Energy Efficiency. Publiée en août 2007. 4 pages en anglais

Du point de vue technique comme du point de vue politique, l’efficacité énergétique demeure la variable la plus négligée de l’équation énergie durable. Il est d’autant plus difficile de comprendre pourquoi que chacun s’accorde sur le potentiel énorme des économies d’énergie, tant en termes d’économie financière qu’environnementale. Alors pourquoi cela ne se traduit-il pas par des actions immédiates, concrètes ? Peut être parce que organiser uen action collective d’économie de l’énergie exige de trouver la bonne combinaison entre des solutions techniques, économiques, légales et sociales. Cette Lettre de la GTZ propose huit articles de présentation de projets et des liens vers plus de détails, concernant un éventail de solutions pratiques, expérimentées dans différents secteurs et pays.

Cette Lettre propose huit études de cas :

  • L’utilisation inefficace de l’énergie, un challenge pour l’industrie textile au Pakistan ;
  • Le programme chilien d’efficacité énergétique le prouve ; c’est payant !
  • Réseau d’échanges européen pour les innovations dans le chauffage et la climatisation ;
  • Ukraine : nouveau projet d’efficacité énergétique dans le secteur du bâtiment ;
  • Achèvement du premier projet de rénovation de bâtiments dans le nord de la Chine ;
  • Inde : la GTZ apporte un soutien à la réalisation de l’Energy Conservation Act 2001 ;
  • L’efficacité énergétique et les énergies renouvelables sont cruciales pour le Bangladesh ;
  • Renforcer la coopération Euro-Med sur l’efficacité énergétique.

Voici différents liens pour :

René Massé

L’OCDE dénonce vivement la stratégie de l’Union européenne en faveur des biocarburants

La Commission européenne a adopté en février 2006 une Stratégie pour promouvoir les biocarburants avec pour objectif de couvrir 10% des besoins du secteur des transports en 2020 (voir document ci-dessous). Une étude de l’OCDE présentée en septembre 2007 avance que cette politique causera une pénurie alimentaire et provoquera la destruction d’habitats naturels sans véritable impact sur les changements climatiques.

Même avec le meilleur scénario, les biocarburants ne permettraient pas de réduire de plus de 3% des émissions de CO2 d’ici 2050, et donc ne permettraient pratiquement pas de réduire les consommations de produits pétroliers.

Cette étude a été présentée aux ministres et experts des gouvernements des 30 pays membres de l’OCDE les 11 et 12 septembre 2007. Elle avance des arguments très défavorables aux biocarburants, parmi lesquels :

  • Le faible bénéfice environnemental serait obtenu à un coût excessif, car il faudra subventionner les biocarburants pour les rendre compétitifs avec les produits pétroliers. L’étude s’appuie sur l’exemple des Etats Unis où l’État débourse annuellement 7 milliards de US$, soit de l’ordre de 500 US$ par tonne de CO2 économisée pour dire qu’en Europe, la facture sera encore plus élevée…
  • Subventionner et garantir les prix des biocarburants pourrait inciter les propriétaires terriens à convertir leurs cultures alimentaires en cultures énergétiques, ce qui aurait un effet sur le prix des produits alimentaires ;
  • Tant que les ressources naturelles ne seront pas valorisée à leur juste prix, les forêts, pâturages, les marécages, et autres écosystèmes naturels risquent d’être transformés en zones de cultures énergétiques.

L’OCDE recommande d’utiliser plutôt les subventions pour la recherche de biocarburants de seconde génération.


Pour informations complémentaires :

  • Voicila page pour lire l’article en entier (en anglais).

René Massé

Petites centrales hydroélectriques : générateurs et installations électriques

Publication du programme PACER à télécharger

Ce document édité par le programme suisse PACER est destiné à aider les ingénieurs et techniciens non spécialisés qui sont concernés, dans le cadre de leur activité professionnelle,par la conception et la réalisation d’une petite centrale hydraulique.

Les générateurs et les installations électriques des petites centrales hydrauliques sont présentées du point de vue technique, le texte étant illustré par de nombreuses figures et accompagné d’exercices.

Voir le document

Contenu

Le document contient les informations suivantes :

- présentation du système PTDU (production – transport – distribution – utilisation) ;

- principes fondamentaux de l’électricité ;

- description et fonctionnement des générateurs
synchrones et asynchrones ;

- exploitation des générateurs en parallèle sur un
réseau interconnecté et en réseau isolé. Surveillance
et contrôle ;

- critères de comparaison entre les générateurs
synchrones et asynchrones pour un choix optimal ;

- établissement d’un cahier des charges d’un générateur ;

- protection et sécurité des installations.


Pour d’autres informations sur la petite hydroélectricité voir :

> Petites centrales hydroélectriques : généralités.

Jérome Levet

Le Salon International des Energies Renouvelables ENERGAIA

ENERGAIA se déroulera du 6 au 8 décembre 2007 à Montpellier (France).

Energaia est une initiative lancée par la Région Languedoc Roussillon avec, entre autres, un partenariat avec l’ARE (Assemblée des Régions d’Europe qui regroupe 255 régions dans 32 pays) qui organisera une journée spécifique sur le thème « Efficacité énergétique et énergies renouvelables : des atouts majeurs pour des régions compétitives ».

A noter également que l’ensemble des Fédérations européennes des professionnels du secteur des énergies renouvelables participera au Cycle de Conférences (EREC, EUREC, EGEC, ESTIF, EPIA, ESHA, EWEA, AEBIOM, EUBIA) et que les réseaux et professionnels français seront également représentés (EFFINERGIE, DERBI, ENERPLAN, FFB, CAPEB…).

Enfin, une conférence spécifique sera organisée, centrée sur les régions de l’espace euro méditerranéen, avec notamment la participation de l’association MEDENER.

ENERGAIA, qui devrait être reconduit chaque année, a pour ambition d’être une plate-forme internationale d’échanges entre industriels, autorités publiques et tous les acteurs des secteurs des énergies renouvelables et du bâtiment, notamment ceux des 27 pays de l’Union européenne ainsi que des pays du Sud et de l’Est de la Méditerranée.

Pour tout complément d’information, merci de visiter le site du Salon : www.energaia-expo.com vous y trouverez le projet de programme des conférences (également disponible ci-dessous) qui concerneront, pour cette première édition, le secteur du bâtiment, les enjeux et les perspectives des énergies renouvelables dans les régions d’Europe (usages thermiques et applications électriques). A noter que différents projets européens profiteront également du cadre offert par ENERGAIA pour tenir leur réunion plénière.

Pour ce qui concerne le salon, plus de 200 exposants français et étrangers ont déjà confirmé leur participation. L’ADEME y tiendra également un stand.

Enfin, un Forum International d’Affaires (FIA) a été mis en place par Septimanie Export sous couvert de la Région Languedoc Roussillon.

Pour information, la participation au salon est gratuite et les frais d’inscription aux conférences sont de 50 €.

René Massé

Faisabilité d’une micro centrale hydroélectrique, cahier des charges

Ce cahier des charges vise à définir les études et analyses devant être réalisées pour permettre d’apprécier la faisabilité d’un projet de micro-centrale hydroélectrique.
Publication de l’Ademe.

Ce document s’adresse aux investisseurs publics et privés avec, comme objectif essentiel, de leur donner les éléments principaux destinés à étayer leur décision finale d’investissement.

Faisabilité de petites-centrales hydroélectriques

Sommaire

1. Aspects techniques

1.1 Généralités sur le site

1.2 Hydrologie

1.3 Chute

1.4 Sélection du débit d’équipement
1.5 Description du projet

1.6 Estimation de la production

2. Aspects environnementaux

2.1 Milieu physique

2.2 Milieu biologique

2.3 Milieu humain

2.4 Mesures compensatoires

2.5 Analyses ultérieures à prévoir

3. Aspects financiers

3.1 Investissement, exploitation et maintenance

3.2 Recettes d’exploitation

3.3 Compte d’exploitation

4. Aspects administratifs

4.1 Situation administrative actuelle

4.2 Démarches administratives

5. Définition d’un programme

6. Proposition de la maîtrise d’œuvre


Pour en savoir plus, sur les études à mener voir les articles suivants :

> Petites centrales hydroélectriques : les études à mener, mode d’emploi

> Le choix, le dimensionnement et les essais de réception d’une mini-turbine – PACER ;

> Etude de préfaisabilité sur la petite hydroélectricité : liste des points importants à analyser avant d’installer une petite usine hydroélectrique – ESHA ;

> Rénover au lieu d’abandonner : Modernisation et remise en service des petites centrales hydrauliques, critères d’évaluation – DIANE ;

> Comment mesurer la hauteur de chute ? ;

> Comment mesurer le débit d’une rivière ?.

Pour des articles généralistes sur l’hydroélectricité et la micro hydroélectricité voir :

> Hydroélectricité et centrales hydroélectriques : généralités

> Petites centrales hydroélectriques : généralités

Jacques Monvois, Gret, Jérome Levet

Facilité UE-ACP pour l’énergie : les résultats !

La liste finale des 75 projets sélectionnés dans le cadre de l’appel à proposition UE-ACP pour l’énergie a été arrêtée le 17 juillet 2007 et diffusée dans la Lettre « News EU-ACP pour l’énergie » n°17 le même jour.

« La mise en œuvre des 75 projets sélectionnés permettra à plus de 7,5 millions de personnes vivant dans des pays ACP d’obtenir un accès amélioré à des services énergétiques ».

Le montant total des subvention s’élèvera à 198 millions d’Euros, financé par le 9ème FED.

28 projets concernent des pays ACP francophones.

La liste est proposée en téléchargement dans le fichier ci-dessous.

René Massé