Réunion du 19 avril 2007.
Le 19 avril 2007, une journée d’information sur le 2ème programme Intelligent Energy Europe se tiendra à Bruxelles.
Pour en savoir plus voir le site internet dédié à cette journée (EN)
Réunion du 19 avril 2007.
Le 19 avril 2007, une journée d’information sur le 2ème programme Intelligent Energy Europe se tiendra à Bruxelles.
Pour en savoir plus voir le site internet dédié à cette journée (EN)
Séminaire européen sur les énergies durables du 29 janvier au 2 février 2007
Cette semaine le programme Inteligent Energy de l’Union Européenne organise la semaine de l’énergie durable (EU Sustainable Energy Week) : plus de 2 500 participants sont attendus.
Pour les personnes qui ne pourront pas y participer, l’Union européenne a prévu :
Pour en savoir plus sur ce séminaire voir : www.eusew.eu
Colloque Union française de l’électricité (UFE) en association avec l’ADEME, le 16 janvier 2007 au ministère de l’Économie, des Finances et de l’Industrie, Paris, France.
L’UFE, en partenariat avec l’ADEME, organise le 16 janvier prochain, un colloque intitulé « Développement durable : la réponse de l’hydroélectricité » consacré au nouveau contexte de développement de l’hydroélectricité en France.
Pour en savoir plus, voir le communiqué de l’UFE concernant le colloque.
Voir également le site internet de l’UFE et l’annuaire
Session organisée par Tecsol les 11, 12 et 13 décembre 2006 . Renseignements et inscriptions : tel : +33 – (0)4 68 68 16 40
Cette formation est principalement destinée aux maîtres d’ouvrage français (organismes d’HLM, services techniques des villes, conseils généraux et régionaux, bureaux d’études techniques et entreprises du génie climatique) ainsi qu’aux acteurs du solaire collectif (bureaux d’études, entreprises, maître d’ouvrages, opérateurs énergétiques…).
Tecsol est un des principaux bureau d’études français indépendant spécialisé dans l’utilisation de l’énergie solaire. Il organise périodiquement des sessions de formation professionnelle.
Au terme de cette prochaine formation professionnelle, les participants auront acquis les connaissances et méthodes requises pour :
Contact : Annie Foulon au +33 -(0)4 68 68 16 40
Email : annief@tecsol.fr
Télécharger le programme complet, les conditions et le bulletin d’inscription
Banque européenne d’investissement, 25 octobre 2006, 28 pages.
Ce document présente les objectifs que la BEI se propose de cibler dans le cadre de ses activités dans le domaine de l’énergie, en vue de concrétiser les priorités de l’UE en la matière, telles qu’elles sont énoncées en particulier dans le récent Livre vert sur l’énergie.
Le premier chapitre expose l’évolution des opérations menées par la BEI dans le secteur de l’énergie au cours des dernières années.
Dans le deuxième chapitre, on examine certaines tendances observées à l’échelle mondiale et européenne, notamment en ce qui concerne la politique en matière de changements climatiques, les scénarios à long terme pour les prix de l’énergie et la sûreté de l’approvisionnement.
Enfin, le troisième chapitre présente les priorités de la Banque dans les différents secteurs énergétiques et zones géographiques concernés par ses opérations. Les aspects relatifs à la mise en œuvre de ces dernières sont également passés en revue, et plus particulièrement, à cet égard, les instruments financiers et les formes d’assistance technique les mieux adaptés.
L’énergie retrouve une place prioritaire.
La BEI vient de publier le 25 octobre 2006 un document « Examen du secteur de l’énergie par la BEI »
L’énergie va redevenir une activité prioritaire de la Banque. Cette évolution est cohérente avec la politique de l’Union européenne (UE) à l’égard des changements climatiques et du regain de tensions sur les approvisionnements en produits pétroliers.
La BEI concentrera désormais son action sur cinq domaines particuliers : les projets de grande dimension, l’efficacité énergétique, les énergies renouvelables, la R-D dans le secteur de l’énergie et la coopération avec des pays situés à l’extérieur de l’UE dans le domaine de l’énergie.
Dans les pays en développement, la BEI s’efforcera d’accroître l’accès à des sources modernes d’énergie et à favoriser la mise au point de solutions énergétiques durables, en soutenant en particulier l’émergence d’activités économiques générant peu d’émissions de carbone.
> Examen du secteur de l’énergie par la BEI
Massé, René. Paris : Gret, 2005, 108 p. Extrait de la collection Études et travaux en ligne, n° 3
A la fin du XIXème siècle, en pleine période de développement économique, les villes s’éclairent tandis que les villages restent dans l’obscurité. Pour les notables ruraux, il est évident que le marché de l’électrification rurale n’attirera pas spontanément les capitaux privés des entreprises d’électricité. Ils vont donc prendre l’initiative d’engager les communes dans le processus d’électrification, pour assurer d’abord l’éclairage public, puis la fourniture d’électricité aux citoyens. Les zones rurales ne seront pas électrifiées, elles s’électrifieront par elles-mêmes.
Et l’État ? Il suit ! Pendant toute cette période d’initiation, et pratiquement jusqu’en 1923, l’État légifère, régule, contrôle, mais ne s’engage pas de façon décisive. En 1900, le Conseil d’État admet la création de régies municipales d’électricité… sur le modèle de celles qui, de fait, existaient déjà. Une loi de 1920 crée les Sociétés d’Intérêt Collectif Agricole d’Electricité (SICAE) pour donner un statut opérationnel aux coopératives électriques créées spontanément par les fermiers. Au début du XXème siècle l’État commence à s’impliquer financièrement ; ses institutions financières (et en particulier la Caisse des Dépôts et Consignations et le Crédit Agricole) accordent des avances aux départements et collectivités locales pour financer leurs investissements. Mais ces subventions publiques indirectes ne sont pas déterminantes, et l’État évite de s’engager en risque, exigeant des collectivités locales bénéficiaires qu’elles garantissent les emprunts sur leur budget communal, à charge pour elles de répercuter les frais financiers sur les tarifs, voire d’appliquer un impôt local. En échange, les collectivités locales se voient reconnaître en 1906 l’Autorité concédante.
La loi du 2 Août 1923 définit les modalités de subvention de l’électrification rurale par l’État. Le Trésor public financera un régime d’avances à l’Office national de crédit agricole, à charge pour le Crédit agricole d’allouer ces subventions d’État aux Régies d’électricité et aux SICAE exclusivement. Les entreprises privées ne seront pas aidées financièrement. Jusqu’en 1936, la France n’aura pas à proprement parler UN mécanisme de financement de l’électrification rurale, unifié et consistant, mais toute une panoplie de lignes de financement.
A partir de 1923, le volume de subventions d’État à l’électrification rurale progressera de façon continue et ininterrompue pendant une vingtaine d’années. A la fin de 1940, le montant total des dépenses engagées s’élevait à plus de 8 milliards de francs sur lesquels la part de l’État représentait 3,372 milliards accordés au titre de subventions et 700 millions à titre d’avances à taux réduit », soit une subvention globale de l’État supérieure à 50% pendant près de vingt ans.
Les résultats sont éloquents : en 1932, on dénombre 1163 régies municipales et environ 1 600 syndicats intercommunaux ; la même année, 80% des communes françaises sont électrifiées. Cinq ans plus tard, 96% des communes et près de 90% de la population ont l’électricité.
L’histoire se continue avec, le Front populaire qui créé le Fonds d’Amortissement des Charges d’Electrification (FACE), dans sa loi de finance de décembre 1936, « pour alléger les charges communales et départementales d’électrification »… mais aucunement pour se substituer à ces financements publics locaux. Puis éclate la seconde guerre mondiale…
Cette étude de cas se poursuit de cette façon synthétique jusqu’à nos jours, et se termine par quelques analyses sur les leçons à retenir pour concevoir aujourd’hui des programmes d’électrification rurale dans les pays qui en sont encore dépourvus.
Revue trimestrielle publiée par IEPF
La revue Liaison Énergie-Francophonie est le support privilégié de la stratégie de diffusion de l’information de l’IEPF. Cette revue est publiée trimestriellement. La qualité des contributions, les thèmes abordés et la diversité des sujets et des opinions font de cette revue un instrument essentiel pour l’échange d’expertise et d’expériences à l’intérieur de l’espace francophone et aussi à l’extérieur.
Auteur(s) : Collectif
Éditeur(s) : Institut de l’énergie et de l’environnement de la Francophonie (IEPF)
Directeur de la publication : El Habib Benessahraoui
Comité éditorial : Faouzia Abdoulhalik, Boufeldja Benabdallah, El Habib Benessahraoui, Sibi Bonfils, Sory Ibrahima Diabate, Chantal Guertin, Louis-Noël Jail, Jean-Pierre Ndoutoum
Édition et réalisation graphique : Communications Science-Impact
Diffuseur : IEPF , CANADA
Il n’y a pas de petit geste si nous sommes 6 milliards à le faire
La ministre française de l’Ecologie et du Développement durable a lancé, le 2 octobre, une campagne de sensibilisation aux enjeux et aux gestes pour sauver la biodiversité et lutter contre le changement climatique.
Destinée au grand public, elle se divisera en spots TV et radio mettant l’accent sur les gestes simples. La campagne sera relayée par un site internet spécialement dédié.
L’évènement marquant le début de la campagne a eu lieu au jardin du Luxembourg, à Paris, dans le cadre de l’exposition « le Jardin de l’Ecologie ». Il y a un volet « réchauffement climatique ». Pour Nelly Olin, cette campagne est « une manière de dire que le changement climatique n’est pas un phénomène lointain qui ne nous concerne pas, mais au contraire un processus qui peut impacter notre environnement : le littoral, les paysages, la végétation ».
L’objectif de la France, dans le cadre du protocole de Kyoto, est celui d’une stabilisation, en 2008-2012, des émissions de gaz à effet de serre au niveau de celles de 1990.
Le Gouvernement a aussi mis en place des mesures fiscales : c’est le cas avec le crédit d’impôt « véhicules propres » valable jusqu’au 31 décembre 2009. Enfin, les appareils électroménagers, les voitures et les logements doivent désormais afficher une « étiquette-énergie » permettant d’afficher l’efficacité énergétique ou le niveau de rejet en CO2.