Outcomes Magazine, retour sur 10 ans de finance carbone – La saga des foyers améliorés du GERES au Cambodge

Première ONG française à intégrer la finance carbone au sein d’un projet de développement, le GERES publie le magazine Outcomes (36 pages) qui rend compte de son expérience de diffusion massive de foyers de cuisson améliorés au Cambodge. Avec plus de 3 millions de cuiseurs améliorés commercialisés à la fin de la période d’accréditation (2004-2014), le magazine donne la parole aux acteurs du projet. Notre souhait : que vous puissiez à votre tour vous approprier l’histoire, les techniques et les challenges de cette magnifique aventure humaine.

En savoir plus : http://www.geres.eu/fr/ressources/publications/item/348-outcomes-magazine-retour-sur-10-ans-de-finance-carbone

 


 

Contact : mnreboulet13@yahoo.fr

StovePlus investit la Toile

Lancement d’un site web dédié aux porteurs de projet développant des solutions de cuisson propre à travers le monde.

StovePlus est un programme qui vise à améliorer l’accès aux foyers améliorés par les utilisateurs de biomasse (bois, charbon de bois, déchets végétaux…). Issu de près de 20 ans d’expérience du GERES sur le terrain, StovePlus apporte un soutien technique aux porteurs de projet développant des solutions de cuisson propre à travers le monde.

Aujourd’hui, StovePlus investit la toile ! Un site web flambant neuf, un nouveau compte Twitter et une page entreprise sur LinkedIn : restez connectés, StovePlus n’aura plus de secret pour vous !

Découvrez et suivez toutes les actualités, les activités sur le terrain, mais aussi les ressources, la présentation des projets et l’approche du GERES sur StovePlus.org.

Vous êtes hyper actif sur Twitter ? Votre contenu intéresse ! Partage des actualités les plus pertinentes, des ressources les plus intéressantes et des découvertes les plus importantes : on tweete et on retweete avec @Stoveplus.

Enfin, vous pouvez vous abonner à la page Linkedin pour les actus jobs et évènements !

Pour en savoir plus : http://www.stoveplus.org/fr

 


 

Contact : contact@geres.eu

Les femmes tadjikes fabriquent des cuisinières et des poêles « Nepali »

Présentation du manuel de construction du Nepali stove (en anglais)

Ancienne femme au foyer sans qualification professionnelle, Madina Isoyeva a suivi une formation avec 30 autres femmes tadjikes, pour devenir artisane dans la fabrication de cuisinières et de poêles « Nepali ».

Construite en brique de terre et en argile à même le sol de la cuisine, la cuisinière d’été, très économique en bois et en charbon, possède une chambre de combustion à deux foyers permettant simultanément de cuisiner et de chauffer l’eau pour se laver.

En quelques semaines, Madina a réalisé et vendu 30 cuisinières, soit l’équivalent de 300€ de revenu. Pour accroître son activité et faire connaître la technologie, la jeune femme présente la maquette de la cuisinière sur les marchés de sa région aux intéressés.

Pour plus d’informations sur cette action, consultez l’album photos sur la lettre d’information du GERES et téléchargez le manuel de construction des foyers au Tadjikistan : http://www.geres.eu/fr/lettre-d-information/archive/view/listid-2-newsletter-fr/mailid-29-la-newsletter-du-geres-transition-energetique-pour-tous-faites-un-don

Références (Auteur, éditeur, date…)

GERES Tadjikistan, Edition GERES, 2013


 

contact : mnreboulet13@yahoo.fr

Des briquettes de charbon durables et sociales

Etude de cas d’une entreprise sociale produisant et distribuant des combustibles durables fabriqués à partir de déchets biomasse (en anglais)

SGFE – Sustainable Green Fuel Enterprise – est une entreprise sociale produisant et distribuant des combustibles durables (briquettes de substitut de charbon) fabriqués à partir de déchets biomasse.

De la combinaison d’anciens ramasseurs de déchet et de déchets (coques de noix de coco et résidus de charbon), ils font quotidiennement naître des briquettes, contribuant à la réduction de la déforestation folle du Cambodge ainsi qu’à la diminution des graves problèmes de santé atteignant les populations défavorisées.


contact pour en savoir plus : contact@sevea-asso.org

Etude de cas : L’accès à l’énergie par des mini-réseaux alimentés par des centrales biogaz (moteur biomasse pur)

Présentation d’une étude de cas d’un petit réseau électrique en Inde alimenté à partir de la balle de riz (en anglais)

Références (Auteur, éditeur, date…)

Auteur : Cécile Dahomé et Cyril Monteiller de SEVEA
Date publication Janv. 2013

Descriptif

Fondée en 2008, Husk Power System est une entreprise qui produit et distribue de l’électricité dans les zones rurales de l’Inde à partir de biomasse (balle de riz).

Elle agit aussi pour le développement économique des populations rurales par le biais de Husk Power Université (une université servant à former les locaux pour qu’ils puissent devenir des futurs employés de HPS) et en développant de nouvelles sources de revenus pour les ménages (fabrication d’encens par les femmes à partir des sous-produit de la gazéification).

 


Contact : cdahome@sevea-asso.org

Autour du Monde d’Agir : une étude-action sur le "business inclusif"

L’association SEVEA vient de commencer une étude-action sur le « business inclusif » au niveau de 12 entreprises sociales des secteurs de l’eau et de l’énergie en Asie et en Amérique du Sud

Autour du Monde d’Agir est un projet d’étude et d’accompagnement d’entreprises ou de projets sociaux dans les domaines de l’eau et de l’énergie que Cyril Monteiller, 29 ans, ingénieur construction dans les énergies renouvelables et Cécile Dahomé, 28 ans, consultante en organisation management, vont mener pendant les 24 prochains mois en Asie et en Amérique.

Ainsi concrètement ils vont :

• Accompagner des entreprises sociales : Mettre leurs compétences à disposition d’au moins 4 entrepreneurs sociaux pour des périodes de 3 mois sur des missions allant du conseil à l’assistance technique

• Réaliser une étude : Etudier les convergences possibles entre les domaines de l’eau et de l’énergie pour les initiatives de type « entreprises  » à destination des marchés BOP.

• Promouvoir et diffuser : Participer à la sensibilisation du plus grand nombre sur des initiatives de type « business inclusif », sur les problématiques énergétiques et hydriques, sur les solutions mises en place pour répondre à ces défis…

Lien site internet : www.sevea-asso.org
Lien vers la vidéo de présentation : http://vimeo.com/41696008

Nos contacts :

Cécile Dahomé : Skype : sevea.asso

Mail : contact@sevea-asso.org

Facebook : http://www.facebook.com/Sevea.ADMA

Jacques Monvois

Première Rencontre internationale sur l’alimentation énergétique pour les radios de proximité

L’association RFI Planète Radio a organisé la 1ère Rencontre Internationale sur l’alimentation énergétique pour les radios de proximité à Kinshasa (République Démocratique du Congo).

La radio est le média dominant dans la plupart des zones rurales des pays du sud. Elle joue un rôle important de communication à l’échelle régionale et est parfois l’unique source d’accès aux informations nationales. L’accès à une énergie fiable et appropriée aux contraintes environnementales pour les émetteurs radio décentralisés est un défit technique que l’association RFI planète radio tente de relever.

En réunissant différents acteurs africains de la radio en zone décentralisée, RFI Planète Radio a pu établir un cahier des charges minimal pour les solutions alternatives d’alimentation électrique :

  • énergie solaire
  • énergie hydraulique
  • mais aussi…

Article du site web RFI Planète Radio

Tiphaine Massé

Vietnam : un projet de production de biocarburants à partir de fumier

Un système qui exploite le biogaz pour améliorer la qualité de vie des petits exploitants vietnamiens est un des six projets qui ont reçu un prix international d’Ashden.

Le ministère vietnamien de l’Agriculture et du Développement rural (MADR) a coopéré en 2003 avec l’Organisation néerlandaise pour le développement (SNV) pour mettre en place au Vietnam un programme national de production de biogaz qui utilise des déchets animaux et humains pour les transformer en une source d’énergie propre et renouvelable.

Le fumier est placé dans une cuve hermétique où il se décompose par des bactéries pour produire du biogaz – un mélange de méthane et de dioxyde de carbone. Plus de 78 000 digesteurs de biogaz ont été installés à ce jour, bénéficiant à presque 400 000 personnes, et réalisant une économie de près de 167 000 tonnes dioxyde de carbone qui autrement auraient été libérées par la combustion des combustibles fossiles.

Le projet a reçu un somme de 20 000 livres (près de 30 000 dollars US) grâce aux prix Ashden pour l’énergie, au Royaume-Uni en juin 2010.

« Plus de dix millions de petits exploitants agricoles au Vietnam vivent dans des conditions peu hygiéniques qui polluent les rivières et les eaux souterraines », a déclaré le directeur national de SNV Vietnam. « Dans le même temps, les prix du gaz étaient en hausse et la cuisson utilisant le charbon et le bois a causé beaucoup de problèmes de santé ».

« Le biogaz fournit comme produit secondaire une boue organique utilisable comme engrais organique ».

Le système coûte environ 550 dollars US par ménage, qu’il peut financer par les économies en gaz et en charbon réalisées en 2,5 ans, selon le coordinateur du projet MARD. Le gouvernement accorde une subvention de 12 %, et il est prévu que la Banque asiatique de développement aide les banques à proposer des « crédits de production de biogaz » pour les agriculteurs les plus pauvres.

Le projet a commencé au Népal, où 200 000 unités ont été construites. L’objectif au Vietnam est de 168 000 digesteurs à la fin de l’année 2012, et il est prévu une extension à sept autres pays d’Asie et six pays africains. Des projets pilotes sont en place au Bangladesh, au Cambodge et au Laos.

Le projet – l’un des plus important de son genre dans le monde – a également assuré la formation de quelque 1200 petites entreprises sur la construction de digesteurs de biogaz, pour 75 000 digesteurs supplémentaires construits à ce jour.

« Nous leur avons donné une formation technique et économique, et ils ont maintenant des activités industrielles indépendantes de la construction de digesteurs ».

« La prochaine étape est d’assurer des formations de ce type dans tout le pays. Il y a beaucoup de possibilités en renforcement des capacités … et nous avons aidé le gouvernement à élaborer des politiques appropriées. »

Les autres projets lauréats ont intégré l’utilisation de l’énergie solaire et de l’hydroélectricité. Le gagnant du « Gold Award » est D Light Design, qui a distribué plus de 220 000 lanternes solaires dans plus de 30 pays, via un réseau d’entreprises rurales.


Source : Le Réseau Science et Développement (en anglais).

Xavier Dufail

Cambodge : étude sur la diffusion d’équipements de cuisson domestiques économes en bois

Cette étude fournit un retour sur les dix ans d’un programme visant à développer la fabrication, la promotion et l’utilisation de cuiseurs autonomes (foyers améliorés) en zone urbaine au Cambodge, ainsi que sur les modalités d’accès à la finance carbone de ce programme.

« Diffusion d’équipements de cuisson domestiques économes en bois au Cambodge »

GERES

décembre 2009

69 pages

Cet ouvrage consiste en un retour d’expérience dont les objectifs sont de :

- Partager des outils méthodologiques innovants et validés dans le domaine de la biomasse énergie ;

- Évaluer quantitativement et qualitativement les impacts socio-économiques et sanitaires de la diffusion des cuiseurs économes au Cambodge ;

- Revenir sur l’articulation de ce programme avec les mécanismes internationaux de la lutte contre le changement climatique.

Sommaire

  1. Retour sur la cuisson à la biomasse dans les pays du Sud et les leçons apprises du projet GERES au Cambodge
  2. Impacts socio-économiques et sanitaires
  3. La finance carbone : un nouveau levier financier pour les projets de cuiseurs économes

Source : GERES.

Xavier Dufail

Microfinance et énergie solaire

Les crédits de micro finance destinés aux produits solaires peuvent faire augmenter les ventes et permettre aux entreprises solaires d’atteindre des clients qui ont des revenus faibles ou irréguliers.

Arc Finance, une organisation à but non lucratif, intervient dans la recherche de solutions pour faire augmenter les crédits énergétiques.

Environ 1,6 milliards de personnes n’ont toujours pas accès à l’électricité et plus de 2,5 milliards de personnes n’ont pas accès aux équipements de cuisson propres. La plupart des personnes sans accès à l’énergie n’ont pas les moyens financiers qui leur permettraient d’accéder aux services énergétiques propres. Plus particulièrement les populations à faibles revenus des pays en développement dépensent beaucoup d’argent dans la consommation de l’énergie. Pour beaucoup de ces consommateurs vivant en milieu rural, l’achat, puis l’installation d’un système solaire domestique standard reviennent en moyenne à 250 dollars US (selon la taille et le lieu d’installation à travers le monde).

Mais cette installation peut fournir de la lumière et de l’énergie pendant plusieurs années avec un minimum de frais de maintenance et de remplacement des batteries. Toutefois, l’expérience a montré que la plupart des consommateurs sans accès à l’électricité ont des difficultés à réunir l’argent nécessaire pour payer comptant les équipements solaires. Les entreprises solaires préfèrent ainsi servir les personnes à hauts revenus qui peuvent payer comptant leurs produits plutôt que d’imaginer des conditions spéciales à l’intention des personnes à plus faibles revenus.

Un sous emploi du potentiel du crédit énergétique

Le manque de crédits abordables et appropriés ainsi que d’autres schémas financiers, représentent des barrières principales qui restreignent un plus grand accès aux services et produits énergétiques propres. Aussi, par manque de schémas financiers à l’intention de l’utilisateur final, il sera difficile à la plupart des entreprises énergétiques de changer d’échelle significative. Les institutions de micro finance ont fait la démonstration de l’efficacité d’accorder des crédits aux micros entrepreneurs et aux foyers, et cela reste favorable aussi bien à l’emprunteur qu’au prêteur.

Si les prêts des institutions de micro finance sont bien conçus, ils peuvent permettre aux clients d’accéder aux services modernes d’énergies de haute qualité en adaptant les remboursements des prêts aux flux existants des dépenses et des revenus. De tels emprunts peuvent permettre de faire face aux coûts initiaux associés aux technologies énergétiques plus propres et plus efficaces, y compris le solaire.

Bien qu’il représente la plus grande part de dépenses dans plusieurs foyers, le potentiel crédit énergétique est sous-utilisé à cause du manque de connaissances et d’échanges d’informations entre les consommateurs, les institutions de micro finance et les fournisseurs d’énergie. Cependant il est évident que le niveau de l’accès à l’énergie moderne peut être plus élevé à travers l’accès à des emprunts innovants et à des schémas adaptés de micro finance, et cela peut favoriser une nouvelle ligne de produit avantageux aussi bien aux institutions de micro finance qu’à une bonne partie de la communauté financière.

Pour la plupart des entreprises d’énergie durable, le marché est limité aux consommateurs qui peuvent payer comptant leurs services et produits énergétiques. Le marché potentiel du secteur solaire peut être transposé sur les consommateurs existants si les utilisateurs finaux peuvent avoir accès aux produits et services énergétiques à partir des emprunts fournis par des institutions de micro finance. L’établissement de liens forts entre les institutions de micro finance et les entreprises énergétiques, peut être productif pour plusieurs actionnaires.

Les foyers et les petites entreprises sont capables de se procurer des produits et services énergétiques qui peuvent apporter des plus-valus économiques et alimentaires, mais cela reste hors de leur portée s’ils sont emmenés à payer comptant. Dans ce contexte, les prêts accordés par les organismes de micro finance peuvent faire augmenter les ventes et permettre aux entreprises solaires d’atteindre les clients à revenus faibles ou irréguliers. Pour les institutions de micro finance, la mise en place de prêts spéciaux leur permet de fidéliser davantage leur clientèle, de diversifier leurs produits, d’augmenter la compétitivité et, d’une manière générale de renforcer leur clientèle de base tout en observant des impacts positifs sociaux et environnementaux.

Micro finance et partenariat

L’expérience a montré que le lien entre micro finance et énergie peut être salutaire, mais cela demande beaucoup d’engagement entre les institutions de micro finance et les entreprises énergétiques. Le partenariat avec une institution de micro finance peut exiger de la part d’une entreprise énergétique d’investir davantage au-delà de ses opérations traditionnelles (augmentation du budget et du personnel), par exemple, la création d’un nouveau poste de chargé de clientèle et de prêt. Dans la mesure où plusieurs institutions de micro finance peuvent avoir une portée nationale, les entreprises solaires peuvent également se rendre compte qu’un nouveau partenariat en micro finance exige une expansion rapide de leurs activités d’installation et de l’élargissement des services après vente dans les zones géographiques régulièrement mal desservies.

Du côté des institutions de micro finance, les prêts énergétiques ont besoin d’un schéma bien élaboré et cela peut exiger des formations techniques destinées aux chargés de prêts, modifiant les modes opératoires habituels, introduisant des modes de suivi et d’évaluation spécialisés en énergie, et demandant des fonds dédiés pour créer des portefeuilles énergétiques. Enfin, la construction d’un accord de partenariat entre les entreprises énergétiques et les institutions de micro finance doit clairement définir les rôles de chaque partie prenante, les moyens de communication et de coordination ainsi que les garanties de stocks pour les services après vente et pour les nécessités de formation.

Plusieurs entreprises énergétiques reconnaissent l’importance de l’assistance technique selon l’un ou l’autre des schémas décrits ci-dessus. Arc Finance est une organisation à but non lucratif qui intervient dans la recherche de solutions pour faire augmenter les crédits énergétiques. Créé en 2008, Arc Finance conduit aujourd’hui des activités dans sept pays en Afrique, en Asie et en Amérique Latine, en développant et en optimisant des portefeuilles de prêts énergétiques, en collaboration avec les institutions de micro finance et les entreprises énergétiques.

Arc Finance présente un ensemble de propositions de services, en conseils et en expertises techniques, à des organisations financières, particulièrement aux institutions de micro finance, ainsi qu’aux entreprises énergétiques intéressées par l’introduction de programmes d’emprunts énergétiques dans leurs activités. Ces services incluent les recherches de marchés, les définitions des besoins énergétiques, l’assistance technique pour la mise en place de modèles économiques et des produits d’emprunts énergétiques, l’appui au partenariat ainsi que la définition et l’évaluation de programmes pilote.

Arc Finance soutien également les institutions financières dans le renforcement des capacités du personnel, la gestion, la formation de la clientèle et la sensibilisation du public, ainsi que dans la mise en place de systèmes de suivi et d’évaluation. En ce qui concerne les institutions qui disposent déjà d’une certaine expérience dans le prêt aux services énergétiques, Arc Finance présente un ensemble de propositions complètes de mise en échelle, destinées à l’identification d’obstacles, l’amélioration des savoir faire, la diversification de l’offre des produits et l’atteinte des objectifs.

Cet article a été publié pour la première fois dans “Partnership for Clean Indoor Air bulletin“, n° 22 janvier 2010.

Pour plus d’information sur Arc Finance, visitez leur site (anglais). Contact : Jacob Winiecki.

Laure Ego, GVEP