Avantages et désavantages de l’huile de jatropha

Cet article, extrait de Défis Sud, synthétise les avantages et désavantages de deux types d’exploitations de culture de jatropha : les exploitations larges, et celles qui sont familiales.

« Avantages et désavantages de l’huile de jatropha »

un article de Défis Sud n°92

Maxime de Ville / SOS Faim

3 pages

décembre 2009

Introduction

De nombreux pays africains se sont aujourd’hui lancés dans la culture du jatropha, que certains dénomment « l’or vert », afin de diminuer leurs dépendances vis-à-vis des énergies fossiles mais également pour favoriser leurs développements économiques. Les impacts du jatropha sont très variables selon les régions en fonction de la législation en vigueur, du système agraire en place et de la quantité des terres disponibles.


Source : SOS Faim.

Xavier Dufail

Libye : atelier sur l’utilisation de l’énergie dans les bâtiments

Le centre libyen de recherches et des études sur l’énergie solaire organisera lundi 25 janvier 2010 un atelier sur « l’introduction des technologies de l’énergie solaire et de l’efficacité énergétique dans les bâtiments ».

La rencontre est organisée en collaboration avec le comité populaire général libyen des Infrastructures et Services, le centre national libyen des normes de qualité, l’Office de l’habitat et des services, l’Office de promotion et de développement des centres administratifs et l’autorité exécutive des énergies Renouvelables.

Elle verra la participation de plusieurs ingénieurs opérant dans la conception et la supervision de la construction des bâtiments, des représentants de bureau de consulting, des sociétés de production et de distribution d’électricité.

Selon les organisateurs, l’atelier vise également à sensibiliser sur l’énergie solaire, notamment l’utilisation des chauffages des ménages, les procédés pour baisser les charges des équipements électro-ménagers, du chauffage et du froid dans les maisons et l’élaboration d’une stratégie globale d’exploitation de l’énergie solaire dans les bâtiments et la promotion de l’investissement dans ce secteur, tout en lui accordant la priorité.

Faire connaître l’importance de l’énergie solaire et ses liens avec les problèmes de l’environnement aux niveaux local et international, déterminer les domaines d’application de l’énergie solaire dans les bâtiments où elle a prouvé son efficacité technique et économique, connaître les défis et les chances de réussite du programme national pour l’introduction des systèmes solaires dans les bâtiments à travers la mise en exergue des avantages et inconvénients, figurent parmi les objectifs assignés à la rencontre.

Les participants discuteront aussi de divers axes, dont la rationalisation de la consommation de l’énergie dans les ménages, les normes des matériaux de construction et les possédés de réduction des charges énergétiques.

La protection de l’environnement, les lois et législations relatives à la conception des bâtiments et l’encouragement à l’utilisation des énergies renouvelables dans les ménages figurent également au programme de la rencontre.

Des communications relatives au domaine de l’introduction des technologies des énergies solaires dans les bâtiments seront données en marge de cet atelier ainsi que l’organisation de tables-rondes auxquelles participeront plusieurs experts et spécialistes dans les domaines de l’énergie solaire en Libye et à l’étranger.


Source : Afrique en ligne.

Xavier Dufail

PISE 2010, rencontre sectorielle de promotion du Partenariat Inter-entreprises dans le Secteur de l’Énergie

Cette manifestation permettra la rencontre pendant trois jours, entre opérateurs africains et européens de la filière énergie.

La date limite pour les inscriptions : 31 janvier 2010

Cette rencontre internationale, qui aura lieu à Dakar les 08, 09 et 10 juin 2010, est organisée par le Mouvement des Entreprises du Sénégal (MEDS), en partenariat avec l’Union Européenne via PROEINVEST, qui est un programme de partenariat Union Européenne – Pays ACP (Afrique, Caraïbes, Pacifique), pour la promotion de l’investissement et des transferts de technologie vers les entreprises des pays ACP.

Une centaine d’entreprises africaines, et une trentaine d’entreprises européennes sont attendues à cette rencontre.

Toutes les informations complémentaires sont sur le site de cette manifestation.

Xavier Dufail

La BEI soutient le Pool d’énergie d’Afrique de l’Ouest

La Banque européenne d’investissement (BEI) a approuvé le 21 décembre 2010 à Bruxelles un accord de don de 935.000 euros en faveur du Pool d’énergie d’Afrique de l’Ouest (WAPP, sigle en anglais).

Le Pool d’énergie d’Afrique de l’Ouest est une institution régionale ayant pour objectif de promouvoir un marché de l’électricité totalement intégré au sein de la Communauté des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO).

Dans un communiqué transmis à la presse, la BEI indique que ce don permettra de financer une assistance technique qui consistera en une étude d’actualisation de la production et du transport d’électricité dans les États membres de la CEDEAO. L’étude vise à assurer la coordination des projets régionaux en matière d’électricité, ainsi que les prévisions quant à l’offre et la demande, tout en assurant la stabilité du réseau électrique régional.

Ce don s’inscrit dans l’enveloppe du Fonds fiduciaire-Afrique, instrument créé par l’Union européenne pour le financement des infrastructures en Afrique.


Source : Afrique Jet.

Xavier Dufail

Cameroun : 23 biodigesteurs construits en 6 mois

Une étude sur les projets de mise en place de biodigesteurs fait le point sur le potentiel du Cameroun à développer des installations de ce type.

La restitution d’une étude de faisabilité pour la promotion et le développement du biogaz au Cameroun a eu lieu le 14 janvier 2010, dans la salle de conférences du ministère de l’Énergie et de l’eau (MINEE). Cette étude de faisabilité faisait suite à la définition, par le gouvernement camerounais, des termes de références l’année dernière. Débutée en juin 2009, cette étude est arrivée à son terme six mois après. Et les résultats semblent prometteurs. Au total, 23 bio digesteurs (système permettant de produire du biogaz) ont été construits dans des ménages situés dans les régions du Nord (6), de l’Extrême Nord (4) et du Nord Ouest (13). Menée par une équipe de trois consultants (deux Népalais et un Camerounais), avec l’appui technique, matériel et financier de SNV Cameroon, cette étude a également permis de former 31 maçons dans la construction du bio digesteur. A ce jour, a révélé Duncan Campbell, directeur national de SNV Cameroon, plus des deux tiers des biosdigesteurs construits sont déjà opérationnels. Les autres sont encore à différentes étapes de leur mise en opération à savoir l’alimentation en matières fécales et l’installation des équipements divers.

Le Cameroun a les moyens et les potentiels pour promouvoir le développement à l’échelle nationale du biogaz (gaz produit à partir des matières organiques végétales ou animales). D’où l’intérêt particulier accordé par l’État dans la promotion des énergies renouvelables. En 2005 déjà, le gouvernement avait procédé à l’élaboration d’un plan d’action national d’énergie pour la réduction de la pauvreté (PANERP). A l’horizon 2016, le PANERP projette que 30% des populations pauvres des zones rurales et 60% de celles des zones périurbaines pourront avoir accès aux services énergétiques pour les usages domestiques. Et qu’au moins 40% des systèmes d’approvisionnement en services énergétiques le seront à partir des sources locales et renouvelables.

Coût onéreux

« Aujourd’hui, le nécessaire recentrage du débat sur les questions d’énergies domestiques justifie la conduite d’une étude spécifique sur le biogaz à usage domestique au Cameroun », a expliqué le secrétaire général du MINEE. Le pays avait déjà connu, il y a deux décennies, quelques expériences en la matière avec des hôpitaux dans le Nord-Ouest, le Littoral et des bios digesteurs dans l’Extrême Nord pour usage domestique. Le ministère de l’Énergie et de l’eau espère que le programme national de développement du biogaz va faire accéder les catégories pauvres du pays aux sources d’énergies renouvelables. Il faudra cependant tenir compte des difficultés pour développer un tel programme. A la lumière des témoignages de certains bénéficiaires, l’on retient par exemple que la construction d’un bio digesteur est onéreuse. La consultation totale et la phase démonstrative de l’étude de faisabilité présentée hier ont coûté quelques 37 millions FCFA. D’autres freins au développement du biogaz au Cameroun sont invoqués. Mais, « la mise en place d’un programme national de développement et de promotion de biogaz passe par la définition d’un dispositif institutionnel et réglementaire adéquat, en plus d’objectifs ambitieux mais réalistes et réalisables », a prévenu Duncan Campbell.


Source : Un article du 20 janvier 2010 du Messager Quotidien.

Xavier Dufail

Cameroun : le biogaz au secours des ménages

Cette énergie renouvelable, expérimentée dans trois régions du Cameroun, recèle d’énormes avantages pour les populations à faibles revenus.

Éleveur de porcs dans la localité de Santa dans la région du Nord-Ouest, Godfrey Nkwenti parle de sa rencontre avec le biogaz comme d’une manne tombée tout droit du ciel. En effet, avant d’intégrer la phase pilote d’un programme pour le développement du biogaz au Cameroun, une initiative du ministère de l’Énergie et de l’Eau, appuyée par le service néerlandais de développement (Snv) ; ce paysan camerounais confesse qu’il dépensait chaque mois la somme de 8500 FCFA pour acquérir une bouteille de gaz domestique de 12 kg. En période de vaches maigres, le gaz était remplacé par le bois de chauffe, soit une dépense moyenne de 3000 FCFA par mois, sans compter les frais médicaux, la fumée générée par le bois exposant l’épouse et les enfants de Godfrey Nkwenti à certaines affections.

Mais depuis deux mois, l’éleveur de porcs de Santa a fait le deuil de ces tracasseries. Grâce au programme pour le développement du biogaz domestique au Cameroun, ce dernier s’est fait construire un bio-digesteur, un dispositif permettant de transformer les matières fécales humaines et animales en gaz domestique. « Je me suis fait construire un bio-digesteur de 6m3. Pour cela, j’ai déboursé la somme de 100.000 FCFA. Les responsables du programme m’ont donné une plaque à gaz, 10 sacs de ciment, deux tuyaux pour canaliser le gaz produit par le bio-digesteur jusqu’à la cuisine, et ils ont payé les techniciens pour construire le bio-digesteur », raconte Godfrey Nkwenti. Ce dernier rapporte cependant que pour achever les travaux, il a dépensé au total la somme de 310.000 FCFA, puisqu’il fallait compléter le matériel de construction tel que prévu par le programme.

Activités

« Depuis deux mois, je n’achète plus ni gaz, ni bois de chauffe, et mes enfant n’ont plus mal aux yeux. Maintenant, mon épouse peut revenir des champs et apprêter le repas en 20 minutes. Donc, le bio-digesteur nous permet d’économiser de l’argent (achat gaz et frais médicaux), de gagner en temps pour la cuisson des repas », raconte M. Nkwenti. Pour ce faire, ce dernier doit simplement alimenter chaque matin son bio-digesteur avec 36 litres d’eau et 36 litres de matières fécales animales ou humaines. « Ceux qui ont construit le dispositif ont prévu un Wc qui alimente directement le bio-digesteur. Pour les animaux, je fais moi-même le ramassage tous les matins dans ma porcherie », explique Godfrey Nkwenti, le sourire en coin, tout en expliquant qu’en plus de fournir du gaz aux ménages, le bio-digesteur peut également booster les activités pastorales, puisque son fonctionnement est étroitement lié à l’existence des déchets des animaux, qui sont d’ailleurs plus efficace que ceux des hommes, précise un expert du programme.

Cette mutation du feu de bois ou du gaz domestique plus onéreux au biogaz relativement bon marché, 23 familles l’ont vécue l’année dernière dans les régions du Nord-Ouest, du Nord et de l’Extrême Nord, qui ont été choisies pour lancer cette expérience pilote « parce que ce sont des zones où on pratique l’élevage. Donc, les matières premières qui sont l’eau et les déchets des animaux et humains y sont disponibles », précisent les responsables du projet. Lesquels indiquent par ailleurs que pour minimiser les coûts de construction, il est possible pour plusieurs familles de mettre leurs revenus ensemble pour s’offrir un seul bio-digesteur. Dans ce cas, apprend-on, toutes les canalisations partiront de ce dispositif unique pour les différentes cuisines. Au regard des avantages socio-économiques que procure le biogaz, le programme sus mentionné prévoit la construction de 3000 bio-digesteurs dans les zones pilotes au cours des cinq prochaines années.


Un article du 19 janvier 2010 de Quotidien Mutations

Xavier Dufail

Tunisie : partenariat avec l’Espagne pour deux centrales éoliennes à Bizerte

Un partenariat entre la Tunisie et l’Espagne va permettre la mise en service de 2 aérogénérateurs dans la région de Bizerte. Ils fourniront une puissance de 120 MW.

Deux centrales éoliennes, l’une à Métline (délégation de Ras Jebel) et l’autre à Kchabta, entre Menzel Bourguiba et Utique, sont en cours de réalisation dans le gouvernorat de Bizerte, une région où on compte 300 jours de vent par an.

Les deux centrales éoliennes totaliseront une capacité installée de 120 mégawatts (MW), avec un délai de réalisation de 30 mois. Leur coût est de l’ordre de 200 millions d’euros (environ 380 millions de dinars) financé dans le cadre d’un projet intégral par un crédit du Fonds d’aide au développement (FAD) du gouvernement espagnol.

A cet effet, 91 aérogénérateurs seront implantés dont 46 sur le site de Métline et 45 à Kchabta. D’autre part, deux postes de haute tension (HT) de 90 kilovolts (KV) chacun seront installés sur chacun des deux sites, outre l’extension du poste HT de Menzel Jémil, la pose d’une ligne HT et de 90 KV entre Métline et Menzel Jémil et la création d’une entrée-sortie de la ligne HT de 90 KV existant entre Menzel Bourguiba et Menzel Jémil sur Kchabtana.

Les installations et les équipements devraient servir à la transformation de la quantité d’énergie produite, qui sera de l’ordre de 120 MW, en électricité, et à l’intégrer, en vue de sa commercialisation, au réseau de la Société tunisienne de l’électricité et du gaz (Steg).

Installation de 26 aérogénérateurs supplémentaires

Ce projet, qui entre dans le cadre de la stratégie nationale de développement durable, de promotion des énergies renouvelables et de lutte contre l’effet de serre, va permettre à la Steg d’économiser annuellement plus de 120.000 tonnes équivalent pétrole (TEP) de combustible et de 43.000 mètres cubes d’eau. Il va permettre, également, la réduction de l’émission de 300.000 tonnes de gaz carbonique (CO2) dans l’atmosphère.

La Steg prévoit, en outre, l’extension du projet avec l’installation de 26 aérogénérateurs supplémentaires sur chacun des deux sites en vue d’augmenter la capacité des deux centrales de 120 à 190 MW. Cette extension devrait être financée par le FAD, moyennant un coût de l’ordre de 105 millions d’euros.


Source : La Presse.tn.

Xavier Dufail

Réglementation et fiscalité sur le bois-énergie dans le Sahel

Ce document est une synthèse sur la situation économique du bois-énergie dans la zone du CILSS (Comité inter-États de lutte contre la sécheresse au Sahel), et soulève les freins liés à la réglementation dans le domaine.

« Réglementation et fiscalité sur le bois énergie : situation comparée, contexte, enjeux et défis »

Cellule Régionale de Coordination CILSS – PREDAS – Burkina Faso

12 pages

octobre 2009

Les pays du CILSS sont confrontés à la nécessité de gérer et d’exploiter durablement les ressources forestières des différents bassins d’approvisionnement urbains en bois énergie pour satisfaire les besoins quotidiens et incompressibles des populations en bois énergie.

Les ressources forestières sont limitées et menacées par les évolutions climatiques et par l’aggravation de la désertification qui en résulte et en résultera.

Cette nouvelle donne énergétique impose de réexaminer le dispositif de la réglementation et de la fiscalité sur le bois énergie.

Xavier Dufail

Maroc : création de l’Agence des énergies renouvelables et de l’efficacité énergétique et de l’Agence marocaine de l’énergie solaire

La Chambre des conseillers a adopté, le 8 janvier 2010, deux projets de lois portant création de « l’Agence marocaine de l’énergie solaire » et de « l’Agence nationale pour le développement des énergies renouvelables et l’efficacité énergétique ».

En vertu du premier projet de 12 articles, l’Agence sera chargée d’assurer le pilotage et la conduite du projet marocain de l’énergie solaire en ce qui concerne, notamment la conception, les études, le choix des opérateurs et le suivi de réalisation et de gestion, outre l’orientation et la coordination de l’ensemble des activités y afférentes.

Ce projet, le plus grand du genre en matière de production de l’électricité d’origine solaire à l’échelle internationale, aura une puissance de 2.000 mégawatts.

D’un coût total estimé à 70 milliards de dirhams (9 milliards de dollars), ce projet sera réalisé au niveau de cinq sites d’une superficie globale de 10.000 hectares.

En vertu de ce projet, l’Agence est appelée à élaborer une vision des projets intégrés visant le développement de l’énergie solaire dans les régions du territoire national en mesure d’abriter des plates-formes de production de l’énergie à partir de l’énergie solaire.

L’Agence marocaine de l’énergie solaire aura également pour missions de contribuer à l’amélioration de la recherche et d’encourager les inventions technologiques concernant l’ensemble des activités solaires portant sur la production de l’électricité.

Elle élaborera également les études techniques, économiques et financières nécessaires à la mise à niveau des sites et devra, en outre, travailler pour installer les projets qui seront retenus auprès des investisseurs en vue de leur développement.

Le projet de loi prévoit que l’énergie produite par les stations d’énergie solaire sera destinée, en premier lieu, à couvrir les besoins nationaux. Toutefois, une partie de cette énergie pourra être exportée selon des conditions qui seront définies ultérieurement.

Aux termes du projet de loi relative à « l’Agence nationale pour le développement des énergies renouvelables et l’efficacité énergétique », cette agence dotée de la personnalité morale et de l’autonomie financière se substitue au Centre de développement des énergies renouvelables, crée par la loi en date du 6 mai 1982.

L’Agence a pour mission de contribuer à la mise en œuvre de la politique gouvernementale dans le secteur des énergies, à travers notamment l’élaboration de programmes de développement dans ce domaine.

Outre l’encouragement de la recherche scientifique et la promotion de la coopération internationale, l’Agence est également chargée de faire des propositions concernant les régions habilitées à accueillir des projets pour la production d’électricité à partir d’énergie éolienne.

Noémie Zambeaux, Xavier Dufail

Électrification rurale décentralisée : expérience en Guinée

Cette présentation, extraite de l’Atelier des praticiens sur l’Initiative Africaine pour l’Électrification qui s’est déroulé en juin 2009 à Maputo (Mozambique), explicite le cadre institutionnel d’un projet d’ERD mis en place en Guinée.

« Électrification rurale décentralisée : l’expérience en cours en Guinée »

Nava Touré

juin 2009

33 pages

Sommaire :

- Contexte général de l’Électrification Rurale Décentralisée (ERD) en Guinée

- Schéma du Partenariat Public-Privé en ERD

- Résultats atteints

- Faiblesses relevées

- Défis pour le changement d’échelle

Xavier Dufail