Newsletter Facilité Energie CEMAC n°3

Ce document informe de l’avancée du projet « Facilité Energie CEMAC – Électrification Périurbaine Intensive ».

« Facilité Energie CEMAC Newsletter – n°3 février 2010 »

le projet FE CEMAC

février 2010

3 pages

Dans ce numéro :

- Le Coordonnateur convié à la session d’information sur la Facilité Énergie II

- La phase d’épargne se poursuit

- Réalisation des travaux dans les zones test

- 2ème atelier régional – Une nouvelle zone test au Gabon

- Zones de démultiplication – Le SIG Régional prend de l’ampleur

- 4ème Atelier régional – Le CRC identifie 4 projets prioritaires pour la CEMAC

- Infos générales

Xavier Dufail

Mozambique : EDF – électrification des zones rurales des districts de Buzi Chibabava, province de Sofala

Avis de passation de marché pour une extension/amélioration du réseau électrique connecté à une centrale hydroélectrique.

Achats

Étape du processus : annonce préliminaire

Type de procédure : annonce préliminaire ou avis périodique indicatif

Numéro d’avis : 41871-2010

Résumé

Localisation : Mozambique, province de Sofala, domaines de Mavuzi, Chibabava, Buzi et Gondo

Contrat d’entreprise et les prévisions

1. Référence de publication : EuropeAid/129621/C/WKS/MZ.

2. Procédure : ouverte.

3. Programme : 9e Fonds européen de développement (FED) – energy facility initiative (EFI)
4. Financement : EDF/2007/195-956 – (9.ACP.RPR.139 / 8).

5. Pouvoir adjudicateur : Mozambique Electricity, EP (EDM), 368 Filipe Samuel Magaia Ave., PO Box 2532, Maputo, Mozambique.

6. Description du marché : assurer un approvisionnement suffisant en électricité des districts de Chibabava-Buzi. Le projet comprendra la fourniture et l’installation de la façon suivante :
- L’extension de la ligne 110 kV d’interconnexion de la centrale hydroélectrique de Mavuzi

- Montage et mise en service de la ligne 110 kV de la station de Mavuzi à la nouvelle station 110/33 kV de Casa nova

- la nouvelle station 110/33 kV de Casa Nova et le raccordement de 3 lignes 33 kV existantes.

7. Nombre et intitulés indicatifs des lots : lot 1 tel que décrit sous le point 6 ci-dessus.

8. Date prévue de publication de l’avis de marché : 25.2.2010.

9. Informations complémentaires

10. Base juridique : ACP-CE, accord de partenariat signé à Cotonou le 23.6.2000 modifié le 25.6.2005 et en 2008 (annexe IV).

Institution financière : EU Development Projects

Agence : MOZAMBIQUE ELECTRICITY, EP (EDM)

Agence d’exécution : MAPUTO


Source : NL EVD Internationaal (en anglais).

Xavier Dufail

Afrique de l’Est : Les briquettes, un combustible au prix abordable et une affaire rentable pour les petits entrepreneurs.

Christopher Cleaver, ingénieur mécanicien, fait un compte rendu à GVEP International depuis le marché de la ville de Ranen, au Kenya, où il conduit une étude sur les briquettes.

DANIEL AYIEKO ODONGO est bien assis avec à son côté un seau plein de briquettes. Ce combustible énergétique qui a contribué à l’émergence sociale de cet ancien vendeur de CDs, permet également à d’autres d’accéder à un carburant moins cher, et à long terme cela pourra conduire à la réduction de la déforestation du Kenya.

Nous avons passé une semaine ensemble dans la ville de Ranen, pour étudier comment Daniel et d’autres artisans produisent ce carburant. Nous avons visité ses clients et ses fournisseurs et nous avons essayé de comprendre comment les populations locales utilisent l’énergie dans leur vie quotidienne.

Le marché de Ranen est au coeur d’une ceinture verte de terre fertile (appelée poumon agricole du Kenya), proche du Lac Victoria. Les populations locales utilisent plusieurs sources d’énergie pour la cuisine et le chauffage ; celles habitant les milieux ruraux utilisent pour la plupart du bois collectés dans la forêt ; celles travaillant dans les marchés ont tendance à utiliser du charbon (dérivé du bois collecté), et du pétrole.

Mais Daniel sait que tout ceci a un coût écologique. « tu vois, l’environnement au Kenya n’est pas terrible ; or il est très important pour les Kenyans ; c’est pourquoi nous recherchons cette nouvelle méthode de cuisson.

Les briquettes sont fabriquées à partir de déchets agricoles et forestiers compactés en stock de matériau combustible. Daniel a commencé par la collecte de débris de charbons, trop fins pour être utilisés par les consommateurs (mais faisant partie de 10-20% du charbon total vendu). Il transforme ces débris en combustible moins cher.

« Nous avons appris à faire cela à la main. Nous avons commencé avec assez peu d’argent car nous ne pouvions pas attendre avant de pouvoir acheter les presses. »

Le débris de charbon est tout simplement mélangé à de l’argile locale, moulé en boules et séché au soleil pendant 3 jours.

Le produit final fait la joie des consommateurs qui n’en peuvent plus de supporter les prix galopants du charbon. David Odindi, qui gère un petit hôtel en ville constate que « cela ne produit pas de fumée, n’est pas cher et ne dégage aucune odeur ».

Les ventes n’ont pas tardé à augmenter. « La première fois que j’étais au marché au mois de juin, avec un sac à moitié rempli, j’en suis revenu avec le quart. Les clients les jaugeaient et se demandaient ce que c’était. Je ne fus pas découragé, puis lorsque les clients ont commencé à comprendre leur utilité, les ventes ont augmenté. Maintenant lorsque je vais au marché avec deux sacs, je vends tout le contenu.

Pour Daniel, l’effet déclencheur a eu lieu à l’issue d’une session d’initiation en gestion d’entreprise : « auparavant, mon affaire était gérée de manière empirique : nous vendions et consommions les revenus au jour le jour. Mais par la suite j’ai compris que l’entreprise et moi étions deux choses différentes ; ce qui veut dire que je peux respecter mon entreprise autant sinon plus que moi-même. »

La production de Daniel est aujourd’hui au-delà d’une tonne de briquettes par semaine. Et il gagne autant d’argent qu’un enseignant (jusqu’à 300 dollars par mois), sans travailler désormais au jour le jour.

Aujourd’hui il y a trois autres fabricants de briquettes en ville, tous formés dans le cadre du Programme DEEP de GVEP International en Afrique de l’Est. Leur seul souci à présent est de trouver assez de débris de charbon : maintenant qu’il y a une concurrence, nous sommes obligés d’aller jusqu’à Awendo pour chercher des débris de charbon. »

Daniel reconnaît que sur le long terme, ils ne peuvent plus compter uniquement sur la production de charbon, une activité qui a causé tant de déforestation au Kenya. Mais cela est maintenant réglementé par le gouvernement. « Le charbon va finir par manquer ; nous envisageons à terme d’utiliser de la bagasse (déchets de canne à sucre). Nous pourrons fabriquer manuellement cela localement après l’avoir carbonisé ».

« Nous avons eu l’occasion de visiter une usine proche qui fabrique du sucre South Nyanza et nous avons constaté que la quantité de bagasse qui s’empile chaque jour est considérable. Cela pourrait être utile à au mois 500 000 personnes. » Daniel et d’autres partenaires ont l’intention d’investir en équipements afin d’augmenter leur production. Mais maintenant la course est de savoir qui va être le premier à transformer cela en produit utile.

Daniel qui gagnait sa vie en vendant des CDs a déjà vu ses revenus augmenter considérablement et constate un vrai changement dans sa vie : « les gens viennent vers nous parce qu’ils ont vu ce que nous avons fait. Maintenant ils ont remarqué les changements survenus dans nos vies à l’issue de notre formation dans le cadre du programme DEEP Afrique de l’Est ; et nous le savons intérieurement aussi. »

Pour plus de renseignements sur le programme DEEP, visitez la page- projet sur le site du GVEP International : http://www.gvepinternational.org/project/53/

Laure Ego, GVEP

Burkina Faso : 38 millions USD de la BAD pour le financement d’un projet d’électricité

Le Conseil d’administration du Groupe de la Banque africaine de développement, a approuvé à Tunis, le mercredi 27 janvier 2010, un prêt de 24,2 millions d’UC (équivalent à 38 millions USD) sur les ressources du Fonds africain de développement (FAD), le guichet concessionnel du Groupe, pour financer le projet de renforcement de l’infrastructure électrique et de l’électrification rurale dans le pays. Le Conseil a également approuvé un don FAD de 950000 UC (1,49 millions USD) pour le même projet.

Le projet est conforme à la politique de développement socio-économique du Burkina Faso, qui met un accent tout particulier sur le développement des infrastructures, l’amélioration des conditions de vie de la population et la réduction de la pauvreté.

Le Burkina Faso a également reconnu la nécessité d’augmenter sensiblement l’approvisionnement du pays en électricité pour répondre à une demande en pleine expansion dans plusieurs localités urbaines et rurales, tout en améliorant la qualité globale et la fiabilité du service. La demande d’électricité du pays augmente au taux d’environ 10 % par an, ce qui fait du projet une priorité pour le développement économique et social du pays.

L’une des composantes du projet concerne la réhabilitation et l’extension de près de 1800 km de réseaux électriques. Il permettra d’améliorer la couverture du pays, avec en particulier 150 nouvelles zones rurales couvertes. Il permettra aussi de répondre aux besoins de 800000 personnes dans 140000 ménages. L’éclairage public sera renforcé, avec l’installation de 750 nouvelles unités.

Pour relever ces défis, le gouvernement a décidé d’établir des interconnexions avec les pays voisins, comme la Côte d’Ivoire et le Ghana, et de développer la capacité locale de production.

Le projet d’électricité est également conforme à la stratégie d’assistance du Groupe de la Banque et aux efforts que déploie le Burkina Faso pour atteindre les objectifs du millénaire pour le développement (OMD), en se concentrant sur deux piliers : la diversification de l’économie et l’amélioration des conditions de vie de la population.

L’amélioration de l’accès à l’énergie soutiendra l’augmentation de la productivité et encouragera de nouvelles activités économiques.

Le projet permettra également d’augmenter l’accès aux prestations des services de base comme l’eau potable, la santé, l’éducation et de la communication, tout en améliorant l’efficacité de ces services. Il aura également un impact positif sur l’indice du développement humain.

Le projet a été conçu en étroite collaboration avec le gouvernement et a bénéficié de larges consultations avec les autres donateurs et bénéficiaires, afin de s’attaquer aux défis posés par les besoins du pays en électricité.


Source : Banque africaine de développement.

Xavier Dufail

Cameroun : note technique sur le bois-énergie

Cette note présente la politique forestière et environnementale au Cameroun, le potentiel de la biomasse forestière, les contraintes institutionnelles, légales et réglementaires liées à l’expansion de cette filière. Enfin, certaines perspectives de son développement sont explorées.

« Note technique sur le bois-énergie au Cameroun »

GTZ/ProPSFE/Antenne de la Province de l’Est-Cameroun

14 pages

septembre 2008

I. Politique forestière et environnementale au Cameroun

II. La biomasse forestière au Cameroun

II.1. Ressources et potentiel en biomasse forestière au Cameroun
II.2. Consommation de diesel dans les concessions forestières
II.3. Potentiel du charbon de bois au Cameroun

III. La filière biomasse énergie au Cameroun : contraintes institutionnelles et réglementaires

III.1. Cadre institutionnel
III.2. Cadre réglementaire

IV. Que faire pour améliorer le cadre de la biomasse forestière au Cameroun ?

Xavier Dufail

Tanzanie : biocarburants, accès aux terres et moyens de subsistance en milieu rural

L’objectif de ce rapport est de décrire les modèles actuels de développement des biocarburants et de culture dans les zones rurales tanzaniennes afin d’améliorer la compréhension du rôle des diverses menaces potentielles et opportunités sur son expansion.

« Biofuels, land access and rural livelihoods in Tanzania »

IIED / Emmanuel Sulle, Fred Nelson

décembre 2009

85 pages

(document en anglais)

Au cours des dernières années, les biocarburants ont fini par être considérés dans les pays riches comme une alternative importante pour réduire la consommation de pétrole, qui est un objectif politique principal en raison des prix du pétrole élevés enregistrés récemment, des préoccupations de sécurité énergétique et du changement climatique mondial.

L’utilisation et le développement de sources alternatives d’énergie sont de plus en plus encouragés dans les pays occidentaux, et les sources de financement privées et publiques pour le développement des biocarburants ont considérablement augmenté.

Pour les pays africains, cela se traduit par l’intérêt croissant des investisseurs occidentaux et asiatiques privé dans des projets de biocarburants, ainsi que le soutien croissant des acteurs de développement pour l’incorporation des biocarburants dans les politiques gouvernementales et les plans de développement.

Pour les pays africains qui ne sont pas producteurs de pétrole, la production de biocarburant a le potentiel pour devenir un substitut pour les importations coûteuses de pétrole, qui sont l’une des utilisations principales de devises, et sources de l’inflation dans les économies africaines, et de fournir une nouvelle source de revenus agricoles dans les zones rurales.

La Tanzanie est l’un des pays africains qui ont connu une augmentation rapide de la production de biocarburants et les propositions d’investissement au cours des dernières années.


Source : IIED (en anglais).

Xavier Dufail

Premier Forum EURAFRIC africain

La première édition africaine du Forum EURAFRIC du 9 au 11 mars 2010 à Brazzaville (République du Congo).

Dans la continuité du Forum EURAFRIC de Lyon (France), en partenariat avec le Ministère de l’Énergie et de l’Hydraulique du Congo et avec la collaboration de la CEEAC (Communauté Économique des Etats d’Afrique) et de l’AMCOW (African Ministers’ Council on Water), cette rencontre intermédiaire vise à promouvoir les relations d’échanges et de partenariat entre les entreprises européennes et africaines dans les secteurs de l’Eau et de l’Énergie.

La rencontre réunira à Brazzaville des acteurs économiques de la CEEAC, les principaux bailleurs de fonds internationaux (AFD, BM, AFDB, etc.) et des entreprises européennes et africaines autour de la problématique de l’Eau et de l’Énergie en Afrique Centrale.

Au programme de ces trois journées de rencontres :

- Conférence Plénière sur les opportunités d’investissements Eau/Energie au Congo et dans les pays de la CEEAC,

- Conférence Ministérielle sur le thème de la « Gouvernance dans les domaines de l’Eau et l’Énergie en Afrique »,

- Table-rondes sectorielles, Réunions projets Eau / Énergie (projets zone CEEAC), Rendez-vous B to B

- Visites de sites (Centrale Thermique de Brazzaville, Centrale du Djoué, Station de pompage de Djiri, Barrage d’Imboulou, Pointe Noire),

- Visites d’Entreprises et Programmes de Renforcement de Capacités (PRC).

Xavier Dufail

Les marchés ruraux de bois au Niger

Ce document d’IIED (International Institute for Environment and Development) est un bilan de l’appui danois à la Stratégie Énergie Domestique du Niger 1989-2003.

« Les marchés ruraux de bois au Niger »

IIED – Dolf Noppen, Paul Kerkhof, Ced Hesse

2004

77 pages

Depuis près de 15 ans, la coopération danoise s’est investie dans le secteur de l’approvisionnement en bois-énergie au Niger, d’abord par l’intermédiaire de la Banque Mondiale (Projet Énergie II, 1989-1998), puis sur une base bilatérale, avec le projet Énergie Domestique (2000-2003). L’ensemble de ces interventions a contribué à l’émergence d’une « Stratégie Énergie Domestique » pour le Niger. Cette stratégie s’appuie sur des textes législatifs promulgués par l’Etat dans le but de favoriser une gestion décentralisée du combustible ligneux et de la fiscalité qui s’y rattache.

L’étude dresse un bilan général avec le but de le partager avec d’autres intervenants dans le secteur de la GRN (Gestion Des Ressources Naturelles) au Sahel, voire ailleurs. En effet, les résultats prometteurs de la formule des marchés ruraux au Niger ont inspiré d’autres pays de la sous-région (Mali, Tchad, Burkina Faso) et au delà (Madagascar. Mozambique). Ce bilan contribue aussi à consolider les acquis de la Stratégie Énergie Domestique (SED) au Niger.

NB : le document est en vente sur le site d’IIED, mais il est gratuit pour les personnes hors-OCDE.

Xavier Dufail

Mali : de l’énergie solaire pour fabriquer du pain

L’énergie solaire a remplacé le bois de chauffe pour la fabrication du pain dans le village de Bougoula (à près de 40 km de Bamako), a-t-on appris mardi des initiateurs de cette expérience nouvelle en matière d’ utilisation des énergies renouvelables.

Le procédé a été introduit par l’ONG Mali-Folkecenter en partenariat avec une ONG finlandaise et le Rotary club Bamako-Amitié.

Cette boulangerie de Bougoula, gérée par une coopérative féminine, a coûté près de 12 millions de FCFA (26 000 dollars US).

Traditionnellement, le pain est produit dans les villages maliens à l’aide du bois de chauffe. Ce qui contribue non seulement à la déforestation, mais aussi à la pollution de l’atmosphère.

La boulangerie de Bougoula fait partie d’une expérience pilote en matière de la production du pain et autres produits de pâtisserie dans le milieu rural. Pour le moment, elle bénéficie aux femmes rurales de trois communes rurales du cercle de Kati, à quelques kilomètres au sud de Bamako.


Source : Agence de Presse Xinhua.

Xavier Dufail

Nigeria : l’Agence nigériane de protection de l’environnement va produire de l’électricité à partir des déchets

L’Agence pour la protection de l’environnement d’Abuja (AEPB) prévoit de produire 240 MW d’électricité à partir de déchets produits sur le territoire de la capitale fédérale (FCT).

Le directeur de l’AEPB a confié aux journalistes le 21 janvier 2010 que le projet entre dans le cadre des efforts visant à augmenter les recettes de l’agence et de créer des emplois pour les habitants en 2010.

Il a indiqué que deux centrales électriques de 120 MW qui généreront de l’électricité à partir de déchets seront construites à Gosa, sur la route de l’aéroport, et Agata, sur la route de Karishi.

M. Yabo, a également annoncé l’élaboration par l’AEPB de stratégies pour construire six stations de transfert des déchets dans la ville en vue d’accélérer l’évacuation de la matière.

Il a noté que les stations de transferts seront situées à Kubwa et Karu, tandis que quatre autres seront construites dans différentes parties de la ville.

« Actuellement, notre décharge se trouve entre 40 et 50 kilomètres de la ville. Cela rend difficile et fastidieux l’évacuation des déchets pour les entreprises qui éprouvent des difficultés pour évacuer trois à quatre camions de déchets par jour », a-t-il ajouté.

Le directeur a fait remarquer que le manque de moyens constitue sérieusement un obstacle au nettoyage de la ville tout en exprimant l’espoir que la construction de stations de stockage et de traitement permettra d’améliorer les opérations des sous-traitants de déchets et d’assurer une ville propre.


Source : Agence de Presse Africaine.

Xavier Dufail