Salon de l’énergie renouvelable d’Afrique de l’Est 2010

Ce salon se tiendra les 6 et 7 avril 2010 à Nairobi (Kenya), sur le thème : « créer des marchés de l’énergie renouvelable en Afrique de l’Est »

« The Eastern Africa Renewable Energy Summit & Exhibition 2010 »

Lieu : Laico Regency Hotel, Nairobi, Kenya

Les thèmes de ce salon seront :

  • Cadre législatif et politiques sectorielles
  • Finance et investissement
  • Énergies renouvelables pour le développement urbain et rural
  • Développement et transfert de technologie
    • La biomasse et les biocarburants en Afrique de l’Est
    • L’énergie solaire et l’énergie éolienne
    • Hydraulique et géothermie
    • La cogénération

Participants attendus :

- Des services publics

- Des banques et des sociétés de financement

- Des sociétés de télécommunications

- Les sociétés d’énergie renouvelable

- Des ministères et départements du Gouvernement

- Des sociétés pétrolières et de l’énergie,

- Des fabricants de matériel pour l’énergie

- Des institutions financières internationales – Banque mondiale / SFI / BAD

- Des organisations multilatérales et bilatérales : l’ONUDI, l’USAID, DFID, JICA

- Des entreprises et organisations internationales

Plus d’informations sont disponibles sur le site de l’organisateur (en anglais).

Xavier Dufail

Mozambique : congrès Bioenergy Markets Africa 2010

Ce congrès, organisé à Maputo (Mozambique) du 11 au 13 mai 2010, réunira les acteurs du domaine des bioénergies d’Afrique de l’Est et d’Afrique australe.

« Bioenergy markets Africa 2010 : Expanding sustainable bioenergy production »

Maputo, Mozambique

du 11 au 13 mai 2010

Cet événement réunira des acteurs clés de la région – avec un accent particulier sur le Mozambique, la Tanzanie, l’Ouganda, le Kenya, la Zambie, le Malawi et Madagascar – avec des experts de l’industrie mondiale. Cette manifestation fait partie de la série Global Bioenergy Markets qui en est à sa 5ème année et a été fréquenté par plus de 7000 délégués à ce jour.

Principales raisons de participer :

- Acquérir une compréhension approfondie de la bioénergie, des biocarburants et des marchés du jatropha

- Comprendre les appuis politiques et le stade de développement de chaque pays

- Écouter les experts, qui partageront leurs prévisions sur la croissance future du marché

- Identifier les opportunités d’investissement dans la région

- Options de tarification flexible

- 50% de rabais sur la fréquentation au World Biofuels Markets pour les participants à cet évènement

- Études de cas situés dans la région et au-delà

- Participer à une série de débats interactifs et contribuer à former ce marché qui évolue rapidement

- Profiter des opportunités de réseautage grâce à un notre outil de réseautage en ligne, avant, pendant et après l’événement

- participer à l’atelier pré-conférence en lien avec le Brésil et l’Inde


Source : le site de l’événement (en anglais).

Xavier Dufail

Tunisie : réduire de 20% la demande en énergie à l’horizon 2011

La Banque mondiale (BM) et l’Agence française de développement (AFD), viennent d’octroyer à la Tunisie, deux lignes de crédits réservées à la maîtrise de l’énergie, l’accompagnement et l’assistance techniques dans ce cadre.

Inscrits dans le cadre de la mise en œuvre du programme quadriennal de maitrise de l’énergie (PQME) pour la période 2008-2011, ces deux lignes de crédits ont été lancées afin de mobiliser les ressources financières appropriées et faciliter l’accès à des instruments idoines de financement.

En effet, la ligne de crédits octroyée par la Banque mondiale, d’un montant de 42,3 millions de dinars, est réservée aux projets de cogénération et d’efficacité énergétique.

Distribuée via trois banques de la Place à savoir l’Amen Bank, la Banque de l’Habitat (BH) et la Banque de financement des petites et moyennes entreprises (BFPME), cette ligne est accompagnée d’un programme d’assistance technique ayant pour objectif de venir en aide aux industriels.

Quant à la ligne de crédits accordée par l’AFD, d’un montant de 40 millions d’euros, elle est ouverte auprès de trois banques, la Banque Internationale Arabe de Tunisie (BIAT), la Banque de Tunisie (BT) et l’Union Bancaire pour le Commerce et l’Industrie (UBCI).

La ligne de crédit de l’AFD est, par ailleurs, accompagnée d’une subvention au profit des deux agences techniques concernées, l’Agence nationale pour la maitrise de l’énergie (AMNE) en matière de maitrise de l’énergie et l’Agence nationale pour la protection de l’environnement (ANPE) pour tout ce qui est dépollution.

Signée en Tunisie le 16 novembre 2009, cette ligne de crédit a profité, jusqu’à maintenant, à seulement deux entreprises industrielles, mettant à leur profit un montant de 4,4 millions de dinars dédiés à la réalisation de projets d’efficacité énergétique.

Force est de savoir dans ce contexte que la cogénération est un secteur des plus rentables et efficaces. Le Directeur Général de l’ANME, M. Aissa Ayadi, a souligné lors d’une journée d’information tenue le 3 mars 2010 à Tunis et dédiée à la présentation de ces deux lignes de crédit, que cinq industriels utilisent ce système en Tunisie.

Quant au PQME, qui ambitionne de faire baisser, à hauteur de 20%, la demande en énergie à l’horizon 2011, il a réussi jusqu’à la fin 2009 de réduire cette demande de 13%.


Source : Info Tunisie.

Xavier Dufail

Éthiopie : la GTZ prévoit d’installer 15000 projets d’énergie solaire par mois

La GTZ prévoit d’installer 15000 systèmes solaires par mois en Éthiopie, où seulement moins d’un pour cent de la population rurale utilise l’énergie solaire, en raison de la faiblesse des investissements dans le secteur.

La GTZ travaille en Éthiopie sur le développement de l’énergie solaire, l’énergie hydroélectrique et l’énergie éolienne. Les installations serviront de systèmes de secours dans les zones où l’électricité est disponible et comme sources d’énergie dans les zones où l’électricité ne l’est pas.

Le projet Access to Modern Energy Service Ethiopia (AMES-E) de la GTZ prévoit l’installation de systèmes photovoltaïques dans 100 zones hors réseau, en mettant l’accent sur les centres de santé publique des zones reculées.

Ces systèmes solaires PV fourniront assez d’énergie pour la réfrigération des vaccins, les examens ambulatoires ou hospitaliers, ainsi que pour l’utilisation de microscopes et autres technologies médicales.

Des endroits comme Gebato, Ererta, Hagera Sodita, Aleta Wondo, tous dans la Southern Nations, Nationalities and Peoples (SNNP) Regional State, ont bénéficié d’installations hydroélectriques de petite échelle pour alimenter des écoles, des hôpitaux et des maisons.

Le paiement des services fournis à ces utilisateurs seront effectués à l’institution pour le développement de l’eau situés dans chacune de ces lieux. L’institution a reçu un certificat temporaire de l’Ethiopian Electric Power Corporation (EEPCo) pour leur permettre de percevoir des frais de service jusqu’à ce que soit délivré un permis officiel.

En plus de cela l’AMES-E pilotera, en partenariat avec des organisations locales non gouvernementales telles que Selam Vocational Training et les Centre NATS pour le développement de la la technologie et des compétences, l’assemblage et éventuellement la fabrication de micro-turbines hydroélectriques, et mettra en place un atelier d’installation pour tester les matériels.

Il y a maintenant au moins trois entreprises privées qui ont rejoint le marché : l’entreprise Lydetco solaire et SolarNow qui sont locales, et Sola23, une société allemande. La GTZ facilite la formation des intervenants à l’aide des experts internationaux. Actuellement, un professeur du Bangladesh se trouve en Éthiopie à cet effet.

L’Agence Éthiopienne pour l’Énergie (AEE) et le ministère des Mines et de l’Énergie (MOME) travaillent également sur un budget pour les investissements dans les systèmes solaires de sauvegarde pour aider lors de pannes d’électricité. Ce budget, qui en est à sa troisième version
Le projet de loi, maintenant dans sa troisième version, devrait être adopté par le Parlement, selon Joachim Gaube, chef de projet au bureau de coordination d’accès à l’énergie moderne de la GTZ.

La GTZ a installé et équipé en énergie solaire les zones rurales et reculées du pays pendant les deux dernières années et demie, avec le soutien financier des gouvernements néerlandais et allemand. Le gouvernement éthiopien facilite le travail. Les facultés de technologie des universités Hawasa et Jimma travaillent également en étroite collaboration avec la GTZ pour introduire la technologie à la population locale.


Source : Ethiopian History (en anglais).

Xavier Dufail

Madagascar : des communes se mobilisent pour accéder à l’électricité

Plusieurs communes de la région Sava (Madagascar) se mobilisent pour financer des études sur la construction de centrales hydroélectriques.

Les habitants de plusieurs communes situées dans trois districts de la région Sava (Sambava-Antalaha-Vohémar-Andapa) se sont mobilisés pour financer entièrement des études techniques pour la construction de petites centrales hydroélectriques. Eloignés de plusieurs kilomètres des grandes villes, ils habitent dans de petits villages, voire des hameaux. C’est pourquoi ils ont décidé de ne plus compter sur le seul État et la seule Jirama pour avoir du courant électrique.

18 sites identifiés

Les études confiées aux chercheurs du Centre national des recherches industrielles et techniques (CNRIT) sont à l’heure actuelle terminées. Les centrales n’attendent plus que la concrétisation des intentions des bailleurs de fonds nationaux, internationaux et privés pour être réalisés.
« La démarche est vraiment unique car l’initiative vient entièrement de la base. La mobilisation des habitants a été exceptionnelle car ils veulent bénéficier de l’électricité au plus tôt », déclare Joseph Benitsiafantoka, directeur du développement rural de la Sava.

Les chercheurs du CNRIT ont identifié 18 sites qui ont des capacités variant entre 7 kW et 10 MW chacun, selon des calculs faits au plus bas niveau des cours d’eau. Pour pouvoir réaliser au plus vite ces projets, l’idée des chercheurs consiste à lancer d’abord les petites et moyennes centrales qui ne nécessitent pas de gros investissements. Pour amoindrir le coût, ils préconisent également l’utilisation optimale des matériaux locaux comme les poteaux qui serviront à conduire l’électricité jusqu’au village, la main-d’œuvre et même la construction des turbines.

« Nous allons appliquer des technologies qui ont déjà fait leurs preuves. Seuls les alternateurs et les fils électriques devront être importés », explique Mamitiana Ramamonjisoa, un des chercheurs du CNRIT.

Vu l’origine du projet, la population pourra s’approprier les futures centrales sans problème. Ce qui minimise fortement les risques de vol ou de vandalisme sur les installations.

Par ailleurs, avec plus d’une quinzaine d’années d’expérience dans ce domaine, le CNRIT peut assurer la fiabilité de ses études techniques. Il ne reste plus que le dernier coup de pouce des autorités de tutelle et des bailleurs de fonds potentiels pour que les maisons des 560 000 personnes concernées par le projet soient éclairées.


Source : L’Express de Madagascar.

Xavier Dufail

La croissance économique manque d’énergie, selon la Banque mondiale

L’insuffisance de l’accès à l’énergie constitue « l’obstacle le plus important » à la croissance économique dans les pays d’Afrique subsaharienne, indique une étude la Banque mondiale, lancée dernièrement en Afrique du Sud.

« L’accès insuffisant à l’énergie est l’obstacle le plus important à la croissance économique », relève l’institution internationale dans le rapport estimant qu' »aucun pays dans le monde n’a développé son économie sans un approvisionnement abondant en énergie ».

Aussi l’étude relève « des coupures d’électricité chroniques (qui) affectent 30 pays d’Afrique », tandis que la capacité de génération installée de 48 pays de l’Afrique subsaharienne atteint un total de 68 gigawatts.

Cette capacité de production, note la banque, est « comparable à celle de l’Espagne et dont un quart n’est pas disponible en raison de la vétusté des centrales et du manque de maintenance ».

« Avec un coût moyen de production de 0,18 dollar EU par kWh, l’électricité africaine est chère comparée au reste du monde, mais les échanges énergétiques régionaux pourraient réduire substantiellement les coûts », poursuit-elle.

Au total 30 compagnies de distribution d’électricité sont concernées par l’étude, à l’instar de 16 opérateurs ferroviaires, 20 compagnies routières, 30 ports, 60 aéroports, 80 services de distribution d’eau et plus de 100 opérateurs TIC, ainsi que des ministères correspondants dans 24 pays.

« L’état déplorable des infrastructures dans l’Afrique subsaharienne —d’électricité, d’eau, ses routes et sa technologie de l’information et des communications (TIC) — freine la croissance économique des pays de 2% chaque année et limite la productivité des entreprises jusqu’à 40% », selon le document.

Sur la base de cette nouvelle étude, la Banque mondiale montre que la mise à niveau des infrastructures en Afrique exigera un apport supplémentaire de 31 milliards de dollars et d’énormes gains d’efficacité.

Son vice-président pour l’Afrique, Obiageli Ezekwesili, rappelait dans un communiqué publié à cette occasion qu’‘une infrastructure moderne est la colonne vertébrale d’une économie et le manque d’infrastructures entrave la croissance économique ».

« Mais ce rapport démontre qu’investir des fonds supplémentaires sans résoudre les inefficacités reviendrait à verser de l’eau dans un seau percé. L’Afrique peut colmater ces fuites au moyen de réformes et de meilleures politiques. Ce faisant, elle enverra un signal aux investisseurs qu’elle est prête pour les affaires. »

Cette étude est le produit d’un travail conjoint de plusieurs institutions dont la Commission de l’Union africaine, la Banque africaine de développement, la Banque de développement de l’Afrique australe, le Consortium pour les infrastructures en Afrique, le Nouveau partenariat pour le développement de l’Afrique et la Banque mondiale.

« Les résultats (de l’étude)ont été obtenus à partir de l’analyse détaillée des besoins de dépense (sur la base des modèles microéconomiques nationaux), des coûts budgétaires (ce qui a requis la collecte et l’analyse de nouvelles données) et de benchmarks sectoriels (couvrant les aspects opérationnels et financiers, ainsi que le cadre institutionnel des pays). »


Source : Un article du 28 janvier 2010 publié par l’Agence de Presse Sénégalaise.

Xavier Dufail

Des méthodes peu coûteuses pour les réseaux de distribution d’électricité

Le rapport est basé sur des études portant sur les innovations en Tunisie, Ghana, Afrique du Sud, Australie et Nouvelle-Zélande, et des visites de terrain par un groupe d’experts composé de spécialistes techniques en Zambie, Mozambique, Tanzanie et Ouganda.

Il existe de nombreuses méthodes à faible coût qui sont dignes de considération ; ce rapport se concentre sur quatre de ces méthodes qui sont susceptibles d’avoir un taux important de réduction d’impact et sont également susceptibles d’être applicables à grande échelle en Afrique sub-saharienne.

« Sub-Saharan Africa : Introducing Low-cost Methods in Electricity Distribution Networks »

Banque mondiale / ESMAP

octobre 2006

427 pages

document en anglais

BESOIN DE CHANGEMENTS DANS LES NORMES TECHNIQUES

On a constaté que ces pays avaient des normes et des standards très similaires pour les réseaux d’électricité, basées sur des concepts importés pendant la période coloniale, qui ont été très peu adaptées aux conditions locales. Par exemple, les normes techniques existantes prennent en compte neige et accumulation de glace dans des endroits qui n’ont jamais connu ces conditions météorologiques.

APPROCHE TECHNIQUE

Il existe de nombreuses méthodes à faible coût qui sont dignes de considération ; ce rapport se concentre sur quatre de ces méthodes qui sont susceptibles d’avoir un taux important de réduction d’impact et sont également susceptibles d’être applicables à grande échelle
en Afrique sub-saharienne. Ces méthodes peu coûteuses devraient être considérées comme un élément d’un plan global pour maintenir
les coûts bas. Par exemple, il existe plusieurs « bonnes pratiques commerciales », telles que de meilleures méthodes de passation des marchés,
de contrôle des stocks et contrôle de qualité, qui pourrait aller très loin dans la réduction des coûts de réseau

AFRIQUE SUB-SAHARIENNE : PRÉSENTATION DE MÉTHODES À FAIBLE COÛT POUR DES RÉSEAUX DE DISTRIBUTION D’ÉLECTRICITÉ

Ces méthodes ont été identifiées sur la base de l’expérience internationale et des discussions
des experts techniques locaux en Zambie, au Mozambique, en Tanzanie et en Ouganda.

Les quatre concepts sont :

- une conception appropriée ;

- le développement d’une culture institutionnelle de réduction des coûts ;

- utilisation de Single Wire Earth Return (SWER) ;

- système avec câble de garde.


Source : Le site du programme ESMAP (en anglais).

Xavier Dufail

Burkina Faso : table ronde sur les opportunités d’affaires dans les EnR

Dans le cadre de la 5ème édition des Journées Entreprises du 2iE, les 6 et 7 mai 2010 à Ouagadougou, le Dr. Yao Azoumah animera une table ronde intitulée « Les énergies renouvelables et les entreprises africaines : quelles opportunités d’affaires ? ».

Cet événement est conçu comme un forum d’échanges destiné à repérer des futurs talents, échanger à travers des conférences et tables rondes, communiquer et nouer des partenariats avec des instituts/écoles de formation ainsi que des entreprises œuvrant dans des domaines variés.

Espace d’échanges entre étudiants, diplômés et professionnels, les Journées Entreprises ont compté en 2009 plus de 800 participants parmi lesquels les étudiants mais aussi des professionnels, des décideurs etc. Tous les ans plus de 120 entreprises dont des groupes internationaux, régionaux et nationaux, des PME et ONG se donnent rendez-vous lors de cet événement devenu incontournable. Une des ambitions communes à tous les participants est de développer dans ce cadre privilégié des initiatives innovantes afin de participer au développement de l’Afrique.


Source : Le site 2iE-edu.

Xavier Dufail

Maroc : 2,5 millions d’euros de l’Allemagne pour la valorisation des énergies renouvelables

L’Allemagne a accordé au Maroc un don de 15 millions d’euros qui s’inscrit dans le cadre de l’accord de la coopération technique bilatérale, signé le mercredi 24 février 2010 à Rabat.

Cet accord de coopération technique 2008-2009 porte sur le financement de plusieurs projets et programmes dans les domaines de la gestion et de la promotion de l’environnement (4 millions d’euros), la valorisation des énergies renouvelables (2,5 millions d’euros), la protection de la nature et la lutte contre la désertification (2,7 millions d’euros).

Le financement concerne également le programme d’appui aux micros, petites et moyennes entreprises (4,3 millions d’euros), la formation professionnelle en milieu de travail (1 millions d’euros) et le Fonds d’études et d’experts (0,5 millions d’euros).

Cet accord englobe plusieurs projets et programmes portant notamment sur la valorisation des énergies renouvelables et l’efficacité énergétique. Il comprend l’accompagnement au niveau du cadre organisationnel, institutionnel et législatif pour la promotion des énergies renouvelables au Maroc.


Source : agence Maghreb Arabe Presse.

Xavier Dufail

Mozambique : 80 millions de dollars EU de la Banque mondiale pour le développement énergétique et l’accès à l’électricité

Le 4 février 2010, un crédit de 80 millions de dollars EU a été accordé au Mozambique par la Banque mondiale avec pour objectif d’améliorer durablement et à un coût abordable l’accès à l’électricité et à des services énergétiques modernes dans les zones périurbaines et rurales.

Crédit IDA : Équivalent de 80 millions de dollars EU

Conditions : Échéance = 40 ans.

Numéro du projet : P108444

Description du projet : le Projet de développement énergétique et d’accès à l’électricité au Mozambique a pour objectif d’améliorer durablement et à un coût abordable l’accès à l’électricité et à des services énergétiques modernes dans les zones périurbaines et rurales. Il s’articule autour de trois composantes majeures :

  1. renforcement des réseaux primaires et extension du réseau électrique ;
  2. investissements dans les énergies rurales et renouvelables ;
  3. planification du secteur énergétique, élaboration de politiques dans ce domaine et développement des institutions.

Contact médias :

Rafael Saute

+ 258 21 48 29 44

rsaute@worldbank.org


Source : Banque mondiale.

Xavier Dufail