Salon International de l’Environnement et des Energies Renouvelable (SIERO)- 12/02/2013

Le Réseau Africain de Soutien aux Objectifs du Millénaire pour le Développement (RASOMD) a initié le Salon International de l’Environnement et des Energies Renouvelables de Ouagadougou (SIERO). L’équipe organisationnelle dudit Salon baptisée : Coordination du SIERO ; organise cette deuxième édition sous le thème des Énergies renouvelables et développement durable .

CONTEXTE ET JUSTIFICATION

Le 21 octobre 2011, le monde entier a franchi la barre de sept milliards de personnes. En 2050, la planète comptera 8,9 milliards d’habitants. Cette démographie galopante entraine malheureusement une destruction des ressources naturelles et une utilisation accrue des énergies fossiles avec un impact certain sur l’environnement. Ceci a pour conséquence, les effets néfastes du changement climatique découlant de l’activité humaine sur la nature. Il est impératif que des efforts soutenus convergent à la charge de ce problème qui ne disparaîtra pas naturellement sans efforts significatifs de la communauté humaine et sans révision majeure des modes de pensée économique, de l’organisation, la production, la distribution et la consommation des biens et services.

Au regard de ce contexte, le Réseau Africain de Soutien aux Objectifs du Millénaire pour le Développement (RASOMD) a initié le Salon International de l’Environnement et des Energies Renouvelables de Ouagadougou (SIERO). L’équipe organisationnelle dudit Salon baptisée : Coordination du SIERO ; organise cette deuxième édition sous le thème des Énergies renouvelables et développement durable .

LES OBJECTIFS DU SALON

o Promouvoir et vulgariser les énergies renouvelables ;
o Informer et former dans le domaine des énergies renouvelables ;
o Sensibiliser sur les questions liées à la protection et à la préservation de l’environnement,
o Apporter des réponses aux enjeux environnementaux et du développement durable,
o Soutenir l’innovation et les « actions exemplaires » en matière de préservation de l’environnement et de promotion des énergies renouvelables ;
o Constituer un espace privilégié et un cadre de rencontre des acteurs des différents secteurs de l’environnement et des énergies renouvelables.

(Références, sites à visiter) :
www.sierobf.net

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Contact :
SANOU Z Kévin Coordonnateur Adjoint du RAS/OMD kevinzos@hotmail.com
tél. 226 70 26 51 97

SANOU Z Kévin Coordonnateur Adjoint du RAS/OMD
tél. 226 70 26 51 97

Journées Internationales des Concertations Sur les Initiatives Energétiques Africaines

Le réseau FERDEDSI organise, avec et pour la diaspora africaine et des professionnels associés ou intéressés, la 2nde édition de ses journées de concertation sur les initiatives énergétiques en zones rurales africaines. Les échanges porteront sur l’eau, l’énergie, migration et éducation

Cette journée de concertation et d’échange aura lieu le samedi 09/02/2013 `a la Maison Africaine, `à Rue d’Alsace-Lorraine 33 – B.1050 Bruxelles (Métro TRÔNE Bruxelles) de 14 h `a 18h. Vous êtes les bienvenus.

Pour information, la 1ière édition de ces journées a eu lieu en octobre 2012 `a Paris et elle portait sur l’énergie décentralisée et l’éducation.

Pour vos agendas, la 3ième édition aura lieu le 09 mars `a Namur `a l’ occasion de la journée internationale de la femme et avec les femmes de nombreux pays africains, le thème sera « femme rurale et l’énergie en Afrique.

Après trois éditions des journées de concertation, nous organiserons quelque part en Afrique, un forum populaire et interdisciplinaire sur l’eau et l’énergie pour un développement local auto-entretenu. Le premier aura lieu du 02 au 04 avril 2013 au Cameroun. Le Congo-RDC et le Burkina Faso pour les deux suivantes.

En juin 2013, à l’ occasion de la journée de l’environnement, la 4ème édition des journées de concertation portera sur l’évaluation environnementale et les déchets électroniques, informatiques et énergétiques. Toutes les formes d’ appui `a l’un ou l’autre de ses événements, seront fortement appréciées et Merci d’ avance.

Contact : Dr.Marthe Djuikom&nbs : djuikom2@yahoo.fr ,

(Référence, sites à visiter) : ferdedsi.wordpress.com

Programme de la prochaine journée : Programme_Journee_FERDEDSI_2013-09-02.pdf

 

Contexte environnemental du Bénin en matière de changement climatique

Cette étude aborde le contexte environnemental du Bénin en matière de changements climatiques en passant en revue : les potentialités du pays ; les impacts et les risques qui les menacent avec les zones fortement vulnérables ; le système de gestion mis en place pour juguler ces effets ; les mesures nationales et communautaires d’adaptation définies dans le PANA ; les opportunités qui s’offrent au bénin en matière de lutte contre les changements climatiques

Descriptif

Les changements climatiques constituent aujourd’hui le plus pressant enjeu environnemental auquel le monde entier fait face. La Convention-Cadre des Nations Unies sur les Changements Climatiques (CCNUCC), datée du 9 mai 1992, reconnaît cet état de fait et constitue une première réponse internationale à cette problématique difficile. Environ cinquante (150) pays ont signé cette Convention à Rio de Janeiro au Brésil du 3 au 14 juin 1992 ; au total cent quatre vingt treize(193) pays s’étaient réunies à COPENHAGUE en novembre 2009 pour traiter de la question des changements climatiques et pour la première fois dans l’histoire les États Unies, l’un des plus grands émetteurs de gaz à effet de serre était représenté par son président. Ce qui constitue la preuve d’une mobilisation mondiale pour lutter contre les changements climatiques qui sont potentiellement devenus une menace majeure pour l’environnement et le développement durable.

Selon le quatrième rapport d’évaluation du GIEC, les communautés pauvres seront les plus vulnérables du fait de leurs capacités d’adaptation limitées et leur grande dépendance de ressources à forte sensitivité climatique telles que les ressources en eau et les systèmes de production agricole. L’Afrique de l’Ouest, région la plus pauvre du Continent subira plus les conséquences des changements climatiques:inondations, sécheresses, ..

A l’horizon 2020, 75 à 250 millions de personnes en Afrique seront exposées à une pénurie d’eau du fait du changement climatique. Les changements climatiques sont donc de plus en plus considérés comme un défi majeur pour la sécurité internationale. C’est pourquoi le partenaire classique NNV a mis à la disposition de JVE une organisation qui se veut internationale et qui, également, œuvre dans ce secteur, il y a un certain nombre d’années, un programme d’appui aux mouvements en naissance dans les pays du Sud. C’est un projet de renforcement du réseau JVE en Afrique de l’ouest. Il s’agit d’un fond spécifique alloué à JVE à travers le programme EMIS (- Environmental Movement in the South- financement du gouvernement Norvégien) en faveur d’une meilleure visibilité de l’organisation et exclusivement des actions en matière du changement climatique, dans un certain nombre de pays.

JVE Internationale, compte tenu de ses ambitions essaie de matérialiser ses résultats sur des données claires et vérifiables par tous. Comme tel, elle initie dans tous les pays bénéficiaires du projet dénommés EMIS, une étude qui présente l’état des lieux de la mise en œuvre de la politique et des stratégies de lutte contre les changements climatiques dans chacun de ces pays.

La présente étude aborde donc le contexte environnemental du Bénin en matière de changements climatiques en passant en revue :
 les potentialités du pays (présentation sommaire) ;  les impacts et les risques qui les menacent avec les zones fortement vulnérables ;
 le système de gestion mis en place pour juguler ces effets ;
 les mesures nationales et communautaires d’adaptation définies dans le PANA ;
 les opportunités qui s’offrent au bénin en matière de lutte contre les changements climatiques

pour en savoir plus , voir les fichiers attachés à cet article

 


 

Contactl : jvebenin@gmail.com

Electrification solaire d’écoles et centres de santé ruraux à Bané (Burkina Faso)

ONG/collectivité : Comité de jumelage de la communauté de communes de la Rive gauche de la Vienne (37) avec Bané. Partenaires locaux : commune de Bané, entreprise TMAGESSE, associations de parents d’élèves et comités de gestion, infirmiers, matrone, instituteurs. Aide fondation POWEO : 12292 €. Autres financeurs : communauté de communes, Région Centre, CDC.

Contexte  :

La communauté de communes de la Rive gauche de la Vienne regroupe 9 communes rurales d’Indre-et-Loire, près de Chinon (France). Depuis 1996, elle est jumelée avec la commune de Bané, au sud de Tenkodogo, au sud-est du Burkina Faso. Les 22 villages de la commune de Bané, soit environ 25000 habitants, sont éloignés les uns des autres et reliés par des pistes pas toujours très praticables. Depuis 1997, le comité de jumelage contribue à l’amélioration des équipements de ces villages dans le domaine de la santé et de l’éducation : construction de 9 salles de classes, réhabilitation de 7 puits-forages, fournitures scolaires pour les écoles, aide de première nécessité aux 3 dispensaires, construction d’une maternité. L’électricité est absente de ces villages, à 45 minutes de voiture d’un hôpital…mais il n’y a pas de voiture dans les villages : rallier l’hôpital se fait à pied, en vélo, en moto. D’où l’importance vitale des équipements de santé de base. Le comité de jumelage a sollicité la fondation POWEO à 4 reprises pour l’électrification d’écoles et centres de santé.

Objectifs : • accroitre la fréquentation des écoles • favoriser l’alphabétisation des adultes • améliorer la prise en charge des malades et des femmes enceintes

Résultats :

– 2009 : Electrification solaire du dispensaire-maternité d’Oumonghin. L’installation de 2 x 50Wc par l’entreprise TMAGESSE de Tenkodogo permet d’éclairer 12 points lumineux 4 heures par jour (10 x 6 W pour l’hospitalisation, 1x 11 W pour la salle d’accouchement, 1×11 W pour les consultations). Fin 2010, l’accoucheuse comptait 339 accouchements depuis le début de l’année et l’infirmier chef dénombrait plus de 3900 consultations.

– 2010 : Electrification de l’école de Nai. Nai est un village particulièrement difficile à atteindre et n’a, comme installations pérennes, que son école de 3 classes, un logement d’instituteurs et un puits. Les 150Wc installés en novembre 2010 par TMAGESSE alimentent 12 points lumineux pour l’éclairage de l’école et de sa cour. L’installation n’a pas posé de problème, une formation à la maintenance des panneaux et des batteries a été donnée aux instituteurs. Et c’est une révolution au village, le premier éclairage fût magique : Nai, village inconnu de tous, a l’électricité !

– 2011 : La même installation a été réalisée pour le village de Saodin, encore plus difficile d’accès et qui compte aussi 3 salles de classes.

A la demande des parents d’élèves, le comité de jumelage électrifie les salles de classes construites pour répondre à plusieurs besoins :

  • les cours d’alphabétisation en soirée pour les parents, principalement les femmes, qui veulent apprendre les bases de la lecture, de l’écriture et du calcul. Les écoles de Nai et Soadin ont mis en place ces cours du soir dispensés par les instituteurs. Moyennant une cotisation de 500 CFA/an, une trentaine d’adultes dans chaque village suivent ces cours 3 soirs par semaine.
  • les devoirs et cours du soir des élèves. Il fait nuit à 18 h, il n’y a pas d’électricité dans ces villages, les lampes à pétrole sont utilisées avec parcimonie. Alors, pour pouvoir faire leurs devoirs, l’électrification d’une salle de classe est l’idéal et une étude surveillée par les instituteurs se met en place : nombre d’élèves reviennent le soir pour travailler leurs devoirs, demander des explications complémentaires aux instituteurs. De plus, compte tenu des programmes scolaires particulièrement chargés, les instituteurs organisent des cours le soir et avancent leur programme. En fin d’année, des cours sont également organisés pour préparer les examens pour l’entrée au collège. Le taux de présence aux études surveillées et cours du soir atteint 90 à 100 % des élèves pour les plus grands.
  • soutien de l’Inspection de l’enseignement de base. Le travail des instituteurs est particulièrement suivi au Burkina-Faso. Ils sont fréquemment contrôlés et les résultats aux examens sont suivis par leur hiérarchie. Pour chaque instituteur, être le meilleur signifie meilleure note et donc prime. Leur intérêt est grand à avoir les meilleurs élèves, les faire travailler plus, les suivre le soir, les motiver et avancer sur les programmes.

– 2012 : Electrification de 6 écoles. Comme on l’a vu à Nai et à Saodin, électrifier une classe par village signifie donner plus de chance aux enfants de réussir leur apprentissage scolaire, apprentissage déjà difficile dans la journée avec des classes à effectifs impressionnants ! Cela signifie aussi pour les parents acquérir des bases. Les autres villages de la commune de Bané sont donc devenus aussi demandeurs de panneaux solaires, afin de bénéficier de cette aide scolaire. Pour répondre à cette demande le comité de jumelage a décidé de réduire le nombre de points lumineux par école pour équiper 6 villages supplémentaires. Chaque nouveau village est équipé d’1 panneau de 50W et de 6 points lumineux.

La pérennité de ces équipements est favorisée par l’engagement de la commune, des associations de parents d’élèves et du comité de gestion, la relative proximité de l’installateur et de la coopération engagée sur la durée entre les 2 groupements de communes.

http://les-pistes-de-bane.over-blog.com/

Atelier sur la "valorisation de la biomasse en biocombustible"- Dakar 26 au 30 novembre 2012

L’objectif de cet atelier est de rassembler dans le cadre du forum innov’Africa, un collectif de spécialistes africains de l’innovation énergétique (entrepreneurs sociaux, chercheurs, ONGs, associations…) travaillant spécifiquement sur la valorisation des déchets de biomasse en
biocombustibles.

Contexte

L’accès à une énergie durable est l’un des grands enjeux de l’Afrique
d’aujourd’hui que ce soit sur les aspects économiques, environnementaux ou sociaux.

Le problème du bois‐énergie ne date pas d’hier. On ne peut pas
interdire l’utilisation de cette ressource traditionnelle mais on peut
soutenir et appuyer la réplication et le développement d’alternatives énergétiques.

Il existe cependant un important stock de résidus de biomasse issus de l’activité agricole (résidus de tiges de cotonnier, mil, maïs, coque d’arachides, balles de riz, bagasses de canne à sucre,…) et de l’industrie de transformation du bois (sciure, copeaux de bois) non valorisés et rejetant par leur décomposition à l’air libre, d’importantes quantités de méthane dans l’atmosphère.

Un atelier entre spécialistes pour échanger …

La substitution du bois‐énergie par des briquettes de combustibles à base de résidus de biomasse sera cette année la thématique de
l’atelier Énergie de Innov’Africa.

Jacques Monvois

GVEP reçoit une double médaille d’or dans le cadre d’un projet pilote de microcrédit

Depuis février 2012, GVEP International participe au projet Kiva Zip, un projet pilote de microcrédit testé au Kenya et aux Etats-Unis.

Alors qu’un intérêt croissant est porté à la responsabilité des organisations, GVEP a été salué pour son travail auprès de micro-entrepreneurs kenyans.

En février de cette année, GVEP annonçait sa participation à Kiva Zip, un projet pilote excitant élaboré par Kiva, le très respecté facilitateur de microcrédit. Moins de six mois plus tard, GVEP est heureux d’annoncer qu’une double médaille d’or lui a été décernée en reconnaissance de son rôle d’Administrateur dans le cadre de ce pilote. À compter de ce mois-ci, le projet pilote introduit un système de médailles avec la création d’une nouvelle rubrique sur son site internet. L’obtention d’une médaille d’or signifie que GVEP a recommandé des entreprises qui sont très enclines à rembourser leur prêt et à établir une relation avec leur bailleur.

Jonny Price, Directeur du programme Kiva Zip, écrit sur le blog de l’organisation : « Nous sommes enthousiastes quant au potentiel des médailles et ce, pour plusieurs raisons : les bailleurs pourront indiquer quels emprunteurs sont les plus susceptibles de rembourser leur prêt et établir une relation avec eux ; quant aux emprunteurs qui s’engagent à établir une relation avec leurs bailleurs, ils augmenteront leurs chances de lever des fonds.. ».

Actuellement testé aux États-Unis et au Kenya, Kiva Zip a pour ambition de faciliter l’obtention de petits prêts à des micro-entrepreneurs. Pour cela, Kiva a choisi environ 30 individus et organisations au Kenya – dont GVEP – comme Administrateurs. Kiva Zip compte sur ses Administrateurs pour identifier des entrepreneurs candidats à l’obtention de petits prêts afin de les recommander à son réseau de bailleurs. Pour le moment, GVEP est le seul Administrateur au Kenya à avoir obtenu une médaille d’or dans les catégories « Remboursement » et « Relationnel ».

Plus d’outils d’évaluation sanctionnant la remise ou la perte d’une médaille sont en cours d’élaboration et seront développés au fur et à mesure que le projet progresse. Comme l’explique Jonny Price : « De nombreux aspects du système de médailles seront revus au cours des prochains mois – le type d’actions à sanctionner par une médaille ; l’algorithme qui sert à évaluer quels emprunteurs et administrateurs doivent gagner (ou perdre) une médaille ; l’impact que le gain ou la perte de médailles aura sur les emprunteurs et les administrateurs ; et par souci d’équité, on espère, à l’avenir, élargir le système de médailles aux bailleurs ».

À ce jour, 23 micro-entrepreneurs énergétiques – 9 femmes et 14 hommes – issus du réseau de GVEP ont obtenu, avec succès, un financement par le biais du site internet de Kiva Zip et sont entrés dans la phase de remboursement. On y trouve des entreprises de recharge de téléphone, de fours améliorés, de briquettes, de lampes et accessoires solaires.

Patrick Njoroge, 49 ans, est un producteur de foyers améliorés du District de Maragua, au centre du Kenya. Après avoir en vain tenté de lancer une entreprise de couture, en 2004, il a découvert les fours économes en énergie. Patrick déclare : « Quelques années plus tard, j’ai découvert GVEP International. Ils m’en ont appris plus sur le développement commercial et les foyers améliorés. D’où je viens, il y a beaucoup de matières premières qui servent à la fabrication des revêtements et j’y ai donc vu une opportunité de gagner de l’argent. Aujourd’hui, je gagne assez pour subvenir aux besoins de ma famille ». Patrick a pour ambition de développer son activité, Ngimbu Claywork, afin d’envoyer ses enfants à l’université. Il a remboursé 45% des 650 US$ qu’il a emprunté et Patrick sait précisément à quoi vont servir les fonds : à l’achat de plus de matières premières pour fabriquer les fours ainsi qu’un four de potier pour y cuire ses produits. « A l’heure actuelle, j’utilise un foyer ouvert qui n’est pas du tout efficace », remarque-t-il. « Avec plus de matières premières et un four de potier, je serai en mesure de considérablement augmenter ma capacité de production ».

Simon Collings, Directeur des opérations chez GVEP, salue cette récompense positive en ajoutant : « C’est gratifiant de voir que la qualité de notre travail soit reconnue de la sorte et nous poursuivrons nos efforts pour conserver notre médaille d’or. Kiva Zip est une fantastique opportunité qui permet aux entrepreneurs d’accéder aux crédits dont ils ont besoin pour satisfaire plus de clients. Ces entrepreneurs ont un rôle décisif à jouer pour permettre aux foyers démunis du Kenya d’accéder à une énergie propre ».

GVEP a géré approximativement 94 000 GBP répartis sur environ 89 prêts, par le biais de son Fonds de Garantie de l’Emprunt.

À propos de Kiva :
Kiva est une organisation à but non lucratif dont la mission est de connecter les individus, par l’intermédiaire du prêt, dans le but de réduire la pauvreté. En combinant internet et réseau d’institutions de microfinance, Kiva permet aux individus de prêter, au minimum 25 US$, afin de créer de nouvelles opportunités à travers le monde. www.kiva.org

Laure Ego, GVEP

Forum EURAFRIC 2012 "Eau & Energie en Afrique"- Lyon 21 au 23 novembre 2012

le Forum EURAFRIC réunit tous les ans à Lyon décideurs politiques, experts, principaux bailleurs de fonds internationaux, entreprises sur des questions relatives à la promotion du partenariat PME/PMI Europe/Afrique.

Organisé par ADEA -Agence de Développement des Entreprises en Afrique- et fruit d’un partenariat avec la Région Rhône- Alpes, le Grand Lyon et la Ville de Lyon, le Forum EURAFRIC réunit tous les ans à Lyon décideurs politiques, experts, principaux bailleurs de fonds internationaux, entreprises sur des questions relatives à la promotion du partenariat PME/PMI Europe/Afrique.

Le Forum réunit pendant 4 jours en Rhône-Alpes -1ère région européenne de l’énergie- experts et principaux bailleurs de fonds internationaux,
décideurs africains, principaux Bailleurs de fonds et entreprises européennes et africaines spécialisées afin de faire le point sur les projets
d’investissements dans les secteurs de l’EAU et de l’ENERGIE en Afrique, 2 secteurs jugés prioritaires en Afrique et répondant aux Objectifs du
Millénaire (OMD) des Nations Unies : REDUIRE DE MOITIE D’ICI 2015 LA PROPORTION D’INDIVIDUS N’AYANT PAS ACCES A L’EAU POTABLE.

L’objectif des Rencontres de Partenariat avec l’Afrique est, d’une part, de PROMOUVOIR LE PARTENARIAT entre l’UE et l’Afrique dans les secteurs de l’Eau et l’Energie, et d’autre part, d’AMELIORER LA COMPETITIVITE des entreprises africaines et de REDUIRE LA PAUVRETE en Afrique.

Le Forum EURAFRIC est organisé par ADEA -Agence de Développement des Entreprises en Afrique- et fruit d’un partenariat avec la Région Rhône- Alpes, le Grand Lyon et la Ville de Lyon.

Pour en savoir plus :

Aline Stella ABEMO

ADEA – Agence de Développement des Entreprises en Afrique
48, rue Quivogne F-69002 Lyon
tel : +33 (0)4 72 73 42 76
fax : +33 (0)4 72 73 43 87

info@eurafric-partners.org

www.adeafrance.org

Jacques Monvois

Revue de presse du programme régional énergie et pauvreté (PREP)- 10 juin 2012

Le programme régional énergie et pauvreté publie chaque semaine une revue de presse sur différentes thématiques comme l’énergie, le climat et l’environnement.

Pour en savoir plus, voir à l’adresse : http://energyaccessafrica.org

Le Programme des Nations unies pour le développement (PNUD) a tenu, le mardi 5 juin 2012 à Ouagadougou, une conférence de presse sur l’initiative « Energie pour tous (SE4ALL) ».

Pour en savoir plus : http://www.afriquejet.com/energies-durables-le-pays-adhere-a-linitiative-onusienne-2012060840020.html

Jacques Monvois