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Guinée : la Chine construira un barrage hydroélectrique en échange d’un accès à des ressources minières

La Chine va financer la construction d’un barrage hydroélectrique de 750 mégawatts en Guinée. En échange, les autorités guinéennes garantiront à Pékin un accès à des ressources minières équivalentes à deux milliards de tonnes de bauxite, matière première dont l’aluminium est issu.

Energie contre bauxite, un contrat gagnant – gagnant en Guinée.

Le ministre guinéen du Contrôle économique et financier, M. Saïdou Diallo a affirmé lundi 2 juillet 2007 que la réalisation du barrage hydroélectrique de Souapiti par la Chine qui coûtera 1 milliard de dollars US, ne fait plus l’ombre d’un doute. Les fonds proviendraient de la banque publique d’import-export Eximbank qui multiplie les investissements en Afrique.

Pour l’ambassadeur de la république Populaire de Chine, la réalisation de ce barrage se fera sous la forme d’un marché « gagnant gagnant », c’est à dire bénéfique aux deux parties. Ainsi, suivant les termes de la convention, la Guinée fournira en compensation à la Chine deux milliards de tonnes de bauxite de qualité.

René Massé

BP et D1 Oils s’associent pour créer D1-BP Fuel Crops Limited, une entreprise de biocarburant au jatropha

BP et le groupe D1 Oils ont annoncé vendredi 29 juin 2007 la création d’une coentreprise dans le but de développer la production de jatropha utilisé pour le biodiesel, et vont investir 160 millions de dollars sur cinq ans dans la nouvelle compagnie.

Les industriels s’intéressent de plus en plus au biocarburants…

Les producteurs de biodiesel D1 Oils apporteront leurs plantations de jatropha, et BP paiera 31,75 millions de livres (48 millions d’euros) à la nouvelle co-entreprise, qui s’appellera D1-BP Fuel Crops Limited.

Elle a l’intention de planter un million d’hectares de jatropha au cours de ses quatre premières années et la production d’huile à transformer en biodiesel devrait commencer en 2008.

Le jatropha est cultivé pour l’huile de ses graines, qui produisent davantage de carburant par hectare que le mais et le soja, ne sont pas comestibles et n’entrent pas obligatoirement en concurrence avec les céréales alimentaires car on peut les cultiver sur des terres de moins bonne qualité.

Cette annonce est la seconde de la semaine en la matière pour BP. Mardi, la compagnie a annoncé qu’elle allait investir dans une coentreprise de 200 millions de livres avec Associated British Foods et DuPont pour construire et faire fonctionner une usine de bioéthanol, que DuPont et BP espèrent convertir en biobutanol, un produit qu’ils ont contribué à élaborer.

René Massé

Algérie : législation nationale, expériences étrangères, financement, formation…

Recommandations issues de la conférence « internationale et exposition sur les énergies renouvelables [CEER-2007] » organisée par le Ministère de l’Energie et des Mines, du 18 au 20 juin 2007 à Alger.

La CEER 2007 a réuni, outre le groupe Sonatrach et quelques- unes de ses filiales, Sonelgaz, NEAL, des organes de recherche, l’Organisation latino-américaine et les Caraïbes de l’énergie (OLADE), le conseil mondial des énergies renouvelables, l’agence européenne de l’énergie, quelques opérateurs privés, etc.

La Conférence

La Conférence a permis d’explorer les potentialités dont disposent beaucoup de pays dans le domaine du solaire et de discuter des réponses possibles aux préoccupations liées aux énergies renouvelables dans leurs dimensions technologique, économique, sociale et environnementale. Au terme de cette conférence, une série de recommandations et de propositions ont été émises, parmi lesquelles :

  • La nécessité d’un renforcement de la coopération en matière de politique de développement des énergies renouvelables aussi bien dans la région arabe qu’avec les pays européens :
  • La nécessité d’améliorer le cadre réglementaire national en relation avec les énergies renouvelables ;
  • Le souhait d’une plus grande intervention de l’Etat dans ce secteur, des expériences à travers le monde ayant confirmé cette orientation ;
  • Le constat de l’intérêt des expériences allemande et émiratie en matière de développement des pôles technologiques. Des schémas de développement tels que l’aménagement du territoire ont été présentés dans leur dimension intégrant les énergies renouvelables. Des expériences de certains pays comme l’Inde, la Tunisie, en termes d’intégration des énergies renouvelables pour un développement durable ont été ainsi mises en relief ;
  • L’importance potentielle du mécanisme de développement propre [MDP] pour soutenir le développement de projets d’énergie renouvelables et d’efficacité énergétique dans la région du Maghreb, de promotion de la production d’électricité d’origine renouvelable connectée au réseau.

La Table ronde

Les discussions engagées au cours d’une table ronde ont permis de passer en revue l’ensemble de la problématique du développement des énergies renouvelables, à l’échelle nationale, régionale et internationale. Le panel qui a animé cette table ronde a insisté sur :

  • L’opportunité d’instaurer un échange d’expériences entre l’Algérie et ses voisins, ainsi qu’avec les pays européens qui ont acquis une expérience avérée dans le domaine des énergies renouvelables ;
  • L’importance d’une industrialisation de la filière d’énergies renouvelables avec des mesures d’accompagnement et d’encouragement. Dans ce cadre, l’accent a été mis sur la formation des corps de métier à même d’assurer la pérennité des infrastructures.
  • Un fonds spécial pour le développement des énergies renouvelables a été proposé.

Autres recommandations :

  • L’expérience du développement du chauffe-eau solaire, un dispositif expérimenté en Allemagne et en Tunisie a été discuté. L’Algérie va-t-elle s’en inspirer ? Il a été, en tout cas, proposé qu’une fraction du Fonds national pour la maîtrise de l’énergie soit accordée, à titre incitatif, à cet équipement afin d’en favoriser la diffusion et la généralisation ;
  • Un effort de formation spécialisée au profit des installateurs doit être assuré par le centre de développement des énergies renouvelables de manière continue et régulière ; -* Une loi à l’instar de ce qui a été fait en Allemagne et en Espagne tout récemment pour favoriser et encourager ces installations, notamment dans le secteur public ;
  • L’Algérie doit diversifier ses ressources d’énergie compte tenu des enjeux qui y sont afférents à moyen et long terme. Les énergies renouvelables et l’hydrogène en tant que vecteur d’énergie propre et durable sont à même d’apporter un élément de réponse à une somme de préoccupations.

Le solaire et l’éolien

L’Algérie développe l’usage de l’énergie solaire depuis plusieurs années. Pour aller plus loin, il a été recommandé que soitent :

  • améliorés le cadre législatif et réglementaire ; la formation, la communication et la sensibilisation ; les mesures incitatives ; le financement ;
  • clarifiée la législation en vigueur ;
  • élaboré un guide technique sur l’utilisation des ENR ;
  • favorisée l’émergence d’une industrie solaire accompagnée de normes spécifiques ;
  • articulée l’efficacité énergétique dans toute politique de développement des énergies renouvelables,
  • dynamisés les réseaux et clubs solaires…

Les sociétés NEAL et ABENER (une société espagnole liée par un accord de partenariat avec NEAL) ont lancé un projet de production à cycle combiné (gaz, solaire) d’électricité. Cette centrale hybride est actuellement en construction à Hassi R’mel : elle est détenue à hauteur de 66% par ABENER, et à hauteur de 34% par NEAL et la Banque extérieure d’Algérie. C’est le premier projet d’une série programmée par la société NEAL. Cette dernière travaille à des projets similaires : un à Meghaïer et un autre à Naama. NEAL table sur un investissement estimé à 2,9 milliards de dollars.

Plus qu’une solution écologique, le solaire thermique est une alternative économique et fiable. L’Algérie envisage d’énormes investissements : son ambition est, en effet, de produire cinq pour cent de son électricité, à partir de l’énergie solaire d’ici à 2015. Dit autrement, l’objectif est de produire 500 MW d’électricité à partir de 2010 et d’atteindre 1 000 MW en 2015 avec une part d’exportation de 400 MW. A long terme, l’exportation vers l’Europe, notamment l’Allemagne, l’Italie et l’Espagne est envisageable. NEAL, qui a présenté ses projets lors de cette conférence internationale, va par ailleurs créer des fermes éoliennes en Algérie. NEAL a, à cet effet, lancé des études de réalisation. NEAL, société connue dans le solaire, tâche ainsi à développer les énergies éoliennes, outre l’énergie solaire. Mais, il n’y a pas que cette société qui s’intéresse au solaire.

Des entreprises comme Sonelgaz, des institutions de recherche, y sont également impliquées. Le privé, qu’il soit national ou étranger, manifeste aussi de l’intérêt dans ce domaine.


Source : Un article de M. Youcef Salami, publié sur le site du quotidien La Tribune (Alger), le 25 Juin 2007.

René Massé

Maroc : la construction de la centrale hybride solaire – gaz naturel confiée à la société Abener

Le grand groupe espagnol d’ingénierie et de construction industrielle Abengoa a annoncé mercredi 20 juin 2007 à Madrid que sa filiale Abener a signé avec l’Office national de l’électricité (ONE) le contrat de construction d’une centrale thermo-solaire à Aïn Béni Mathar (sud d’Oujda) pour un montant de 469 millions d’euros.

La mise en route des unités de production de la centrale d’Aïn Béni Mathar est prévue à partir du 1er trimestre 2009.

Le Conseil des Administrateurs de la Banque mondiale (BM) a approuvé le 29 avril 2007 un don du Fonds pour l’Environnement mondial (FEM) d’un montant de 43,2 millions de dollars américains au Maroc. Le projet est financé également par la Banque Africaine de Développement (BAD) et par l’ONE. Ces financements sont destinés à la construction d’une centrale électrique hybride à Aïn Béni Mathar, à environ 80 km au sud de la ville d’Oujda. L’information détaillée et les documents préparatoires du projet sont proposés dans cet article du Riaed.

A l’issue d’un appel d’offres international, l’ONE avait confié à Abengoa la réalisation, le montage des infrastructures et la maintenance pendant cinq années de la future centrale électrique d’une capacité de 472 MW. La station de Béni Mathar est à cycle combiné utilisant à la fois le gaz naturel et l’énergie solaire pour la production de l’électricité.


Source : l’article de M. Aïn Béni Mathar, publié le 26 juin 2007 dans « Le Matin.ma« .

René Massé

Congo-Brazzaville : construction d’un barrage hydroélectrique de 120 mégawatts pour 2009

D’une hauteur de chute moyenne de 18,33 m et maximale de 20,41 m, d’une longueur de 128,4 m, le barrage d’Imboulou sera équipé de quatre turbines d’une puissance de 30 mégawatts (MW) chacune et d’un débit de 900m3/seconde. il est réalisé par la société chinoise CMEC pour un coût global de 280 millions de dollars US.

A l’instar d’autres pays de la Communauté économique des États de l’Afrique centrale (CEEAC), le Congo/Brazzaville peut valablement mettre à profit son importante hydrographie pour produire du courant électrique.

Le contexte national : réduire la dépendance énergétique

Le Congo/Brazzaville dépend de la République démocratique du Congo pour ses approvisionnements énergétiques. Ce projet réduira sensiblement cette dépendance.

Il s’inscrit dans une perspective nationale globale, dite « Boulevard énergétique », qui regroupe aussi :

  • La centrale à gaz de Djeno (département du Kouilou) dont la production va passer de 25 à 50 mégawatt ces 15 prochains mois, lorsqu’entrera en service le gazoduc en construction entre le champ pétrolier de Mboundi et la centrale à gaz ;
  • La centrale thermique de Brazzaville, d’une puissance de près de 32 mégawatt qui sera opérationnelle en 2008 ;
  • Les barrages hydroélectriques de Moukoukoulou (département de la Bouenza) et du Djoué (Brazzaville), respectivement d’une puissance de 70 et 15 mégawatts.

Le contexte sous-régional : un marché énergétique commun

Il s’inscrit également dans une vision sous-régionale de mise en place d’un marché énergétique commun, en s’appuyant sur le Pool énergétique de l’Afrique centrale (PEAC). Les pays de la CEEAC ont exprimé leur volonté de créer très prochainement un marché sous régional chargé de la réglementation du secteur de l’électricité à travers un organisme spécialisé, le Pool énergétique d’Afrique centrale (PEAC).

La finalité, selon Bruno Kapandji Kakala, le secrétaire permanent du PEAC, est « d’obtenir un consensus sur les principales questions et options de la loi-cadre du marché d’électricité en Afrique centrale ».
« Les discussions portent également sur la création d’un environnement favorable aux investissements, l’établissement d’un mécanisme pour le règlement rapide des transactions commerciales d’électricité et les échanges sur le forum sous-régional du secteur de l’énergie », a-t-il indiqué. Il s’agit à terme de préparer un document stratégique qui sera soumis à l’approbation du conseil des ministres en charge des questions énergétiques de la CEEAC qui se tiendra du 2 au 11 juillet 2007 à Bangui, la capitale centrafricaine.

Le projet de barrage hydroélectrique

Ce barrage hydroélectrique de 120 mégawatts de puissance, est en construction à Imboulouquelque, situé à 215 km de Brazzaville et à 14km de l’embouchure de la rivière Léfini et du fleuve Congo, au Nord du pays.


Source : article paru le 22 juin 2007, à Kinshasa, dans « Le Potentiel ».

René Massé

Rome : des experts évaluent l’impact de la bioénergie sur l’environnement et sur la sécurité alimentaire

En plein débat sur les conséquences possibles de la production à grande échelle de biocarburants, des experts internationaux, spécialistes de l’énergie, du climat et de l’environnement, se sont réuni du 16 au 18 avril 2007 au siège de la FAO à Rome pour évaluer le potentiel global des bioénergies et les effets possibles de ce secteur à forte croissance sur la sécurité alimentaire, et pour proposer une feuille de route pour l’avenir.

“La bioénergie détient un potentiel formidable pour les agriculteurs, en particulier ceux du monde en développement”, indique M. Gustavo Best, Coordonnateur principal pour l’énergie à la FAO. “Mais elle n’est pas sans danger, et nous devons en faire état clairement”.

Des craintes pour la biodiversité

Les biocarburants, actuellement fabriqués à partir de matières premières comme la canne à sucre, l’huile de palme et le maïs, sont appelés à remplacer partiellement les énergies fossiles, promettant de réduire les émissions de gaz à effet de serre tout en créant de nouveaux emplois et infrastructures dans les zones rurales, en particulier dans les pays en développement.

Mais leurs détracteurs dénoncent :

  • attirent l’attention sur le fait que le bilan énergétique de la production de biocarburants n’est pas toujours positif (on dépense plus d’énergie pour les cultiver et produire les biocarburants qu’ils n’en restituent à l’usage) ;
  • dénoncent la pratique des monocultures qui exigent le défrichage de vastes superficies, qui peuvent causer des dégâts à l’environnement et des pertes de biodiversité ;
  • alertent sur l’opportunité de convertir des cultures vivrières destinées à la consommation humaine ou animale pour la production de carburants pour les véhicules.

Les experts réunis à la FAO ont évaluéle potentiel des biocarburants et tenté d’identifier les moyens de les produire de manière durable et respectueuse de l’environnement et de la sécurité alimentaire.

Un rôle majeur dévolu aux gouvernements

Les gouvernements ont un rôle majeur à remplir en établissant des normes de performance en matière de bioéergie. Les organisations internationales comme la FAO peuvent également jouer un rôle important en offrant un forum neutre ainsi que leur soutien en matière de politique.

“Un engagement international est nécessaire pour garantir à la fois la sécurité alimentaire et l’utilisation durable des ressources naturelles”, selon M. Alexandre Müller, Sous-Directeur général de la FAO responsable du Département de la gestion des ressources naturelles et de l’environnement.

Selon les experts internationaux ayant participé à la réunion de Rome , la Plateforme internationale de la FAO sur la bioénergie devrait élaborer rapidement des directives à l’adresse des gouvernements et des investisseurs.

Mosaïques

Selon certains experts, la production de biocarburants serait profitable à l’environnement et améliorerait la sécurité alimentaire si les cultures destinées à la production de biocarburants ainsi que de la biomasse étaient l’affaire des petits exploitants qui produiraient ainsi de l’énergie pour eux-mêmes et pour leurs communautés locales ou au titre de leur contribution aux marchés national et international.

Certaines cultures destinées à la production de biocarburants et de fourrage pourraient cohabiter avec des cultures vivrières et d’autres plantes. “Au sein de ces mosaïques champêtres, les espaces pour la culture de plantes destinées à la production de biocarburants procureraient d’autres avantages, notamment comme brise-vents ou pour la réhabilitation de zones dégradées ou encore comme habitat pour la biodiversité et pour d’autres services bénéfiques à l’écosystème.”

Instruments d’analyse

Au cours de la réunion de Rome, les experts ont souligné la nécessité de disposer au plus tôt d’instruments permettant de mieux analyser les effets de la production de bioénergie sur la sécurité alimentaire et l’environnement.

A cet égard, des données et des informations plus précises permettraient aux pays d’évaluer leur potentiel en matière de bioénergie et d’identifier les points noirs.

Selon les experts, les cultures destinées à la production de biocarburants ne devraient pas être cultivées dans des régions confrontées à des défis de taille en matière de sécurité alimentaire et où l’eau et la terre devraient d’abord servir à produire des cultures vivrières.


Sources : cet article reprend les contenus de deux articles diffusés sur le site de la FAO :

Contact :
Christopher Matthews
Relations médias, FAO
Courriel : christopher.matthews@fao.org
(+39) 06 570 53762
(+39) 349 589 3612 (portable)

René Massé

La banque asiatique de développement consulte pour finaliser sa stratégie énergie

Comment l’Asian Development Bank (ADB) engagera t-elle les quelques 9 000 millions de dollars américains d’investissements prévus d’ici 2030 pour donner à chacun un accès à l’énergie dans cette région ? C’est l’enjeu de ce document de stratégie qui doit être finalisé en septembre 2007.

l’ADB s’est donnée 60 jours pour conduire cette consultation publique, qui consistera en des réunions en Inde, au Kazakhstan, en Chine et aux Philippines.

Le dernier document de stratégie énergie de l’ADB a été présenté en 1995 et a été révisé en 2000 pour y introduire des préoccupations environnementales.

La croissance rapide ces deux dernières décades a apporté la prospérité à des millions de personnes vivant dans la région asiatique et pacifique. La consommation d’énergie a augmenté en conséquence de 230% ces trente dernières années. Le prix environnemental est aujourd’hui très lourd. Cette évolution n’est plus soutenable, ni d’un point de vue économique, ni d’un point e vue environnemental. Aussi, la nouvelle stratégie énergie accordera donc plus d’importance à la sécurité d’approvisionnement énergétique, et aux effets de l’accès à l’énergie sur les changements climatiques. Elle favorisera les sources d’énergie et les technologies propres, locales et l’efficacité énergétique.

Des freins à l’évolution vers l’exploitation d’énergie propres sont nombreux. L’ADB utilisera les fonds reçus du Canada, du Danemark, de la Finlande et des Pays bas pour le programme REACH (Renewable Energy, Energy Efficiency & Climate Change) pour développer les capacités individuelles et institutionnelles et metttre en oeuvre des projets de développement.


Plus d’information en anglais sur cette page du site de l’ADB.

René Massé