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Premier Forum EURAFRIC africain

La première édition africaine du Forum EURAFRIC du 9 au 11 mars 2010 à Brazzaville (République du Congo).

Dans la continuité du Forum EURAFRIC de Lyon (France), en partenariat avec le Ministère de l’Énergie et de l’Hydraulique du Congo et avec la collaboration de la CEEAC (Communauté Économique des Etats d’Afrique) et de l’AMCOW (African Ministers’ Council on Water), cette rencontre intermédiaire vise à promouvoir les relations d’échanges et de partenariat entre les entreprises européennes et africaines dans les secteurs de l’Eau et de l’Énergie.

La rencontre réunira à Brazzaville des acteurs économiques de la CEEAC, les principaux bailleurs de fonds internationaux (AFD, BM, AFDB, etc.) et des entreprises européennes et africaines autour de la problématique de l’Eau et de l’Énergie en Afrique Centrale.

Au programme de ces trois journées de rencontres :

- Conférence Plénière sur les opportunités d’investissements Eau/Energie au Congo et dans les pays de la CEEAC,

- Conférence Ministérielle sur le thème de la « Gouvernance dans les domaines de l’Eau et l’Énergie en Afrique »,

- Table-rondes sectorielles, Réunions projets Eau / Énergie (projets zone CEEAC), Rendez-vous B to B

- Visites de sites (Centrale Thermique de Brazzaville, Centrale du Djoué, Station de pompage de Djiri, Barrage d’Imboulou, Pointe Noire),

- Visites d’Entreprises et Programmes de Renforcement de Capacités (PRC).

Xavier Dufail

Mali : de l’énergie solaire pour fabriquer du pain

L’énergie solaire a remplacé le bois de chauffe pour la fabrication du pain dans le village de Bougoula (à près de 40 km de Bamako), a-t-on appris mardi des initiateurs de cette expérience nouvelle en matière d’ utilisation des énergies renouvelables.

Le procédé a été introduit par l’ONG Mali-Folkecenter en partenariat avec une ONG finlandaise et le Rotary club Bamako-Amitié.

Cette boulangerie de Bougoula, gérée par une coopérative féminine, a coûté près de 12 millions de FCFA (26 000 dollars US).

Traditionnellement, le pain est produit dans les villages maliens à l’aide du bois de chauffe. Ce qui contribue non seulement à la déforestation, mais aussi à la pollution de l’atmosphère.

La boulangerie de Bougoula fait partie d’une expérience pilote en matière de la production du pain et autres produits de pâtisserie dans le milieu rural. Pour le moment, elle bénéficie aux femmes rurales de trois communes rurales du cercle de Kati, à quelques kilomètres au sud de Bamako.


Source : Agence de Presse Xinhua.

Xavier Dufail

Nigeria : l’Agence nigériane de protection de l’environnement va produire de l’électricité à partir des déchets

L’Agence pour la protection de l’environnement d’Abuja (AEPB) prévoit de produire 240 MW d’électricité à partir de déchets produits sur le territoire de la capitale fédérale (FCT).

Le directeur de l’AEPB a confié aux journalistes le 21 janvier 2010 que le projet entre dans le cadre des efforts visant à augmenter les recettes de l’agence et de créer des emplois pour les habitants en 2010.

Il a indiqué que deux centrales électriques de 120 MW qui généreront de l’électricité à partir de déchets seront construites à Gosa, sur la route de l’aéroport, et Agata, sur la route de Karishi.

M. Yabo, a également annoncé l’élaboration par l’AEPB de stratégies pour construire six stations de transfert des déchets dans la ville en vue d’accélérer l’évacuation de la matière.

Il a noté que les stations de transferts seront situées à Kubwa et Karu, tandis que quatre autres seront construites dans différentes parties de la ville.

« Actuellement, notre décharge se trouve entre 40 et 50 kilomètres de la ville. Cela rend difficile et fastidieux l’évacuation des déchets pour les entreprises qui éprouvent des difficultés pour évacuer trois à quatre camions de déchets par jour », a-t-il ajouté.

Le directeur a fait remarquer que le manque de moyens constitue sérieusement un obstacle au nettoyage de la ville tout en exprimant l’espoir que la construction de stations de stockage et de traitement permettra d’améliorer les opérations des sous-traitants de déchets et d’assurer une ville propre.


Source : Agence de Presse Africaine.

Xavier Dufail

La lettre du Riaed n°36

A la Une

Facilité ACP-UE pour l’Energie : lancement du second Appel à propositions

l’Appel à Propositions de la Deuxième Facilité Energie a été lancé par l’Union européenne le lundi 30 novembre 2009. Elle concerne les pays de la zone Afrique – Caraïbes
- Pacifique. Un budget de 100 millions d’euros est mobilisé pour l’attribution de subventions à des projets.

La date limite de soumission des « notes succinctes » est fixée au 1er février 2010.

Actualités

Le Soudan exporte pour la première fois de l’éthanol vers l’Union européenne « La première cargaison de cinq millions de litres d’éthanol a été exportée le 27 décembre 2009 en direction de Rotterdam (Pays-Bas) et est destinée à l’Union européenne (UE) », a déclaré Majdi Hassan, directeur des ventes du groupe sucrier Kenana, qui produit l’éthanol soudanais. Quatre autres cargaisons, de 5 millions de litres chacune, doivent encore partir pour l’UE d’ici la fin février 2010, a-t-il précisé.

L’Accord de Copenhague : 10 milliards de dollars par an en 2010, 2011 et 2012 pour aider les Pays en Développement Du 10 au 18 décembre 2009 s’est tenu à Copenhague, au Danemark, un rassemblement international sans précédent. Son objectif : mettre toutes les nations sur la voie de la réduction des émissions de gaz à effet de serre. Au terme de cette rencontre, l’Accord de Copenhague laisse un goût d’inachevé… En attendant, le protocole de Kyoto reste le seul instrument légal contre le réchauffement, mais ne concerne qu’un tiers à peine des émissions mondiales.

Sénégal, Mali : la caravane marocaine de l’export engrange les contrats Maroc Export a organisé la « caravane marocaine de l’export », réunissant 90 opérateurs économiques et officiels dans un voyage de prospection de trois marchés de l’Afrique de l’Ouest, Sénégal, Mali et Côte d’Ivoire, du 13 au 19 décembre 2009. Les deux premières étapes, Sénégal et Mali, ont conforté les promesses dans le secteur de l’électrification.

Egypte : 4e Conférence ministérielle du Forum sur la coopération sino-africaine (FCSA), à Charm el-Cheikh Le Premier ministre chinois Wen Jiabao a donné dimanche 8 novembre 2009 une conférence de presse, à l’issue de la cérémonie d’ouverture de la 4e Conférence ministérielle du Forum sur la coopération sino-africaine (FCSA), tenue à Charm el-Cheikh, en Égypte. Cet article propose des extraits de sa conférence de presse avec Al Ahram.

Cameroun : mis en service la centrale électrique de Dibamba d’une puissance de 86 MW AES Corporation (NYSE : AES) a annoncé le 15 décembre 2009 que sa filiale à participation majoritaire Kribi Power Development Company avait mis en service la centrale électrique de Dibamba d’une puissance de 86 MW. L’installation utilisera du fuel lourd et vendra l’électricité dans le cadre d’un contrat d’achat ferme d’une durée de 20 ans avec AES SONEL, la société camerounaise d’électricité.

Cameroun : bulletins de l’Agence de Régulation du Secteur de l’Energie Publication bimensuelle de l’Agence de Régulation du Secteur de l’Électricité (ARSEL), dont l’objectif annoncé est d’informer périodiquement sur les évènements importants du secteur de l’électricité au Cameroun et sur les activités de l’ARSEL. Les bulletins n°1, 2 et 3 sont proposés en téléchargement.

Algérie, Egypte, Jordanie, Maroc et Tunisie : la Banque mondiale va y financer 11 centrales solaires thermiques La Banque mondiale (BM) a annoncé mercredi 9 décembre 2009 un investissement de plus de 5,5 milliards de dollars destiné à soutenir la construction de onze centrales solaires thermodynamiques dans ces cinq pays arabes.

Chine : réduire de 40 à 45 % d’ici à 2020, et par rapport à 2005, son « intensité carbone » Refusant toujours l’idée d’une réduction de ses émissions de gaz à effet de serre, Pékin a indiqué qu’elle était prête à s’engager, lors du sommet de Copenhague, à réduire de 40 à 45 % d’ici à 2020, et par rapport à 2005, son « intensité carbone » . Cet engagement correspond à une baisse de la quantité de gaz à effet serre rejetée pour chaque unité de PIB générée : ainsi, la Chine, qui s’est imposé l’an dernier comme le plus gros émetteur de CO2 de la planète, devrait progressivement freiner le rythme de hausse de ses rejets de polluants, sans parvenir toutefois à réduire ses émissions en valeur absolue.

Burkina Faso : prêt de 12,5 milliards FCFA de la banque indienne Exim Bank pour l’électrification rurale La banque export-import de l’Inde (EXIM Bank) s’est engagée à soutenir les efforts du Burkina Faso dans l’électrification rurale à travers un accord de crédit d’un montant d’environ 12,5 milliards de francs CFA.

Climat : les Nations Unies insistent sur la nécessité de placer la pauvreté énergétique au cœur du futur accord de Copenhague Au cours de la conférence de presse qu’ils ont donnée le 23 novembre 2009 au Siège de l’ONU à New York, Olav Krjoven du Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD), Fatih Birol de l’Agence internationale de l’énergie (AIE) et Luiz Augusto Cassanha Galvão de l’Organisation panaméricaine de la santé (OPS) ont insisté pour que la « pauvreté énergétique » figure au cœur de l’accord que la Conférence de Copenhague doit conclure sur le successeur du Protocole de Kyoto relatif à la réduction des émissions de gaz à effet de serre.

Tunisie : un centre international de formation en énergies renouvelables D’un coût de l’ordre de 8MD, ce projet consiste en la création d’un centre international de formation destiné aux diplômés des écoles d’ingénieurs et des universités dans le domaine des énergies renouvelables et de l’efficacité énergétique et la création d’un centre international d’expertise dans le domaine des technologies de l’énergie solaire. Ce centre sera équipé d’un laboratoire spécialisé dans le solaire thermique et le solaire photovoltaïque.

Algérie : lancement de l’étude de faisabilité d’une tour solaire thermique Une étude de faisabilité d’un projet de réalisation d’une tour solaire thermique, deuxième du genre dans le monde, a été lancée mardi 1er décembre 2009 à l’université « Saad Dahlab » de Blida par des techniciens allemands de l’Institut solaire de Julich. La visite de la délégation allemande fait suite à la signature d’un contrat de coopération entre la direction générale de la recherche scientifique et du développement technologique et l’institut solaire allemand « Julich », spécialisé dans la conception et le suivi scientifique de tours solaires thermiques.

Le Mozambique et le Brésil signent un accord de 6 milliards de dollars sur les biocarburants Le Mo­zam­bique vient de si­gner deux ac­cords avec le Bré­sil, por­tant sur la pro­duc­tion de bio­car­bu­rants, pour un in­ves­tis­se­ment total de six mil­liards de dol­lars.

Maroc : un prêt de 110 millions d’euros de la Bad pour développer le réseau électrique La Banque africaine de développement (BAD) a approuvé le 3 décembre 2009 un prêt 109,82 millions d’euros pour un projet de développement du réseau de transport et de répartition de l’électricité de l’Office National de l’Électricité (ONE) du Maroc.

Copenhague : le plan français pour l’Afrique Deux semaines avant le sommet sur le climat de Copenhague, le ministre français de l’Ecologie Jean-Louis Borloo a déjà préparé une proposition d’accord. Elle prévoit un plan de 410 milliards de dollars sur 20 ans pour l’Afrique. Mais son financement, sous forme de prélèvement de type « taxe Tobin », s’annonce particulièrement difficile à négocier.

Climat : l’Union Européenne veut insister sur l’aide aux pays les plus pauvres Le ministre français de l’Écologie, Jean-Louis Borloo a assuré lundi 23 novembre 2009 que l’Union européenne défendra à Copenhague son plan « justice-climat » pour venir en aide au pays les plus vulnérables au changement climatique. La présidence suédoise de l’Union européenne insiste désormais sur « un programme spécifique, avec financement public, sans donner de chiffres, pour les pays les plus vulnérables »

Afrique du Sud : Atelier des sociétés africaines d’électricité à Johannesburg Au début du mois de novembre 2009, la Standard Bank, une des institutions les plus impliquées en Afrique du Sud dans le financement de projets électriques, membre de la Coalition « Private Investors for Africa », et la Banque mondiale ont organisé un atelier de réflexion avec les responsables de haut niveau des sociétés électriques africaines. Il s’agissait d’offrir un forum pour des discussions franches sur les opportunités et les challenges qu’affrontent ces responsables dans leurs efforts de développement du secteur électrique en Afrique. L’objectif était aussi de mieux cerner comment les financeurs publics et privés comme la Banque mondiale et la Standard Bank pouvaient y contribuer.

Maroc : L’Appel pour la constitution de la Confédération Africaine d’Électricité Le Président de la fédération marocaine de l’électricité et de l’électronique (FENELEC), Youssef Tagmouti a lancé « L’appel de Casablanca pour la constitution de la Confédération Africaine d’Électricité » à l’issue de la conférence « Électrification : vecteur de progrès » qui s’est tenue en marge du salon Elec Expo en date du 18 novembre 2009.

Sénégal : le budget 2010 du ministère de l’Énergie est en hausse de 63,9 % par rapport à 2009  Le projet de budget du ministère de l’Énergie a été voté le 30 novembre 2009 par l’Assemblée nationale : il sera de 43,9 milliards de francs CFA, soit une hausse de 63,9 % sur le budget alloué en 2009. Cette forte hausse s’explique, en partie, par des investissements tels que l’électrification rurale dont l’objectif fixé est d’atteindre la barre des 50 % à l’horizon 2012, l’élargissement de l’accès à l’éclairage public, la promotion des énergies renouvelables, l’approvisionnement du pays en combustibles, entre autres.

Afrique du Sud : la BAD accorde un prêt de 1,8 milliards d’euros pour le projet Medupi La Banque Africaine de Développement (BAD) a accordé jeudi 26 novembre 2009 un prêt de 1,86 milliards d’euros à la société énergétique sud africaine, Eskom Holdings Limited, en vue de financer le projet électrique Medupi qui permettra de renforcer significativement la capacité énergétique du pays et de la région de l’Afrique australe.

Kenya : invitation vers les investisseurs étrangers à explorer les champs géothermiques Le Pre­mier mi­nistre ke­nyan a in­vi­té le 23 novembre 2009 les in­ves­tis­seurs étran­gers du sec­teur privé à ex­plo­rer les champs géo­ther­miques au Kenya en sou­li­gnant que le pays a une ca­pa­ci­té de pro­duc­tion de 7 000 MW.

Tunisie : la Banque mondiale a accordé plus de 42 millions d’euros pour promouvoir l’efficacité énergétique dans le secteur industriel Le 30 juin 2009, la Banque mondiale a accordé 42,4 millions d’Euros à la Tunisie pour financer des projets d’efficacité énergétique dans le secteur industriel. Le financement de la Banque mondiale alimentera des lignes de crédits dédiées, logées dans trois institutions de crédits de la place qui accorderont des prêts aux porteurs de projets à des taux attractifs.

Burkina Faso : plus de 2 milliards de FCFA du Danemark pour lutter contre la pauvreté Le Danemark débloque 2,15 milliards de FCFA (environ 4,9 millions de dollars) pour aider le Burkina Faso dans la lutte contre la pauvreté, incluant le secteur de l’électrification rurale.

Éthiopie : inauguration du barrage hydroélectrique de Tekeze D’une capacité de 300 MW, le barrage va couvrir le tiers des besoins du pays, confronté, depuis trois ans, à un déficit énergétique de l’ordre de 200 MW.

Colloques, conférences, rencontres, forum…

Réunion d’experts sur les écotechnologies et les technologies d’EnR Une réunion d’experts, intitulée « Écotechnologies et technologies des énergies renouvelables en tant que solutions énergétiques pour le développement rural » et organisée par la CNUCED (Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement), aura lieu à Genève (Suisse) du 9 au 11 février 2010.

Global Forum on Sustainable Energy 2010 Le Forum global sur l’énergie renouvelables (Global Forum on Sustainable Energy, GFSE) veut faciliter les discussions entre les acteurs du domaine et les partenariats public-privé sur ce thème.

Cameroun : conférence internationale sur l’énergie et l’eau La conférence internationale sur l’énergie et l’eau au Cameroun veut fournir une plate-forme à toutes les parties prenantes et a pour but de promouvoir l’investissement, d’évaluer les principaux défis et opportunités dans ces secteurs.

Salon de l’innovation financière pour le développement Le « Salon de l’innovation financière pour le développement » est un événement international organisé par l’Agence Française de Développement (AFD), la Bill & Melinda Gates Foundation et la Banque Mondiale. Il se tiendra les 4 et 5 mars 2010, à Paris.

Ressources

Derniers documents (études, applications…) proposés en libre téléchargement :

Réglementation et fiscalité sur le bois-énergie dans le Sahel Ce document est une synthèse sur la situation économique du bois-énergie dans la zone du CILSS (Comité inter-États de lutte contre la sécheresse au Sahel), et soulève les freins liés à la réglementation dans le domaine.

Électrification rurale décentralisée : expérience en Guinée Cette présentation, extraite de l’Atelier des praticiens sur l’Initiative Africaine pour l’Électrification qui s’est déroulé en juin 2009 à Maputo (Mozambique), explicite le cadre institutionnel d’un projet d’ERD mis en place en Guinée.

Cookstoves and Markets : Experiences, Successes and Opportunities Ce rapport de GVEP-I étudie la question suivante : pourquoi le décollage des foyers améliorés de cuisson a-t-il été si lent dans les pays en voie de développement ?

Policies and Regulations Affecting Biofuel Development in Kenya Cet article analyse les initiatives du Gouvernement kenyan pour promouvoir les biocarburants et montre comment le développement d’une industrie est contrarié par l’absence d’un cadre politique approprié.

Valorisation de la biomasse-énergie en Haïti : analyse de la situation et perspectives d’amélioration L’objectif de ce mémoire de l’Université Catholique de Louvain (Belgique) a été d’analyser les différentes formes de valorisation des ressources de biomasse en Haïti pour en faire ressortir l’impact sur l’environnement et de faire des recommandations pour la valorisation de biomasses autres que le bois.

Bioénergie pour les pauvres Synthèse des risques et opportunités liés à la mise en place de projets de bioénergie.

« Feasibility Study of Jatropha Curcas as a Biofuel Feedstock in Kenya » Cette étude avait pour objectif d’évaluer la faisabilité d’un développement industriel de la filière Jatropha à des fins énergétiques. Elle conclue à l’existence d’un potentiel de production de biocarburant à partir de la culture de Jatropha au Kenya. Mais les projets actuels sont trop petits et dispersés, et leur développement est handicapé par le manque d’information, l’absence d’un cadre légal et réglementaire adéquat, et l’absence d’institution pour promouvoir l’industrialisation de ce secteur.

Réduire « l’intensité énergétique » a un impact très important sur la réduction des émissions de CO2 Cette nouvelle étude de la Banque mondiale, conduite dans plus de 100 pays, montre que, sur la période 1994 – 2006, la réduction de la quantité d’énergie requise pour produire une unité de Produit intérieur brut (PIB), en particulier dans le secteur des services, a été le plus important contributeur à la réduction des émissions de CO2.

Small-Scale Bioenergy Initiatives:Brief description and preliminary lessons on livelihood impacts from case studies in Asia, Latin America and Africa Ce rapport est basé sur une série de 15 études de cas, menés de septembre à novembre 2008 à l’initiative de la FAO et de PISCES Energy Research Programme Consortium financé par DFID.

Étude du développement des énergies renouvelables dans la région de l’ouest CamerounCette présentation détaille les aspects du développement des énergies renouvelables dans la région Ouest du Cameroun.

Blogues du Riaed

Petit site dédié à un projet, une rencontre, une institution… Vous pouvez présenter vos connaissances et proposer des ressources en libre téléchargement.

Le Programme Énergie Eau Solidarité Foundiougne (EESF) alimente son blogue « Biocarburants et développement rural au Sénégal ».

Annuaire du Riaed

Inscrivez vous en qualité d’expert, ou inscrivez votre entreprise / institution / projet, etc. dans l’annuaire du Riaed pour être facilement identifiable et joignable. Vous le ferez en ligne, en quelques minutes, à la page http://www.riaed.net/spip.php?breve6

Rayon vert Distribution de solutions solaires, Sénégal.

ADJOU-MOUMOUNI Cyrille Ganiou Formateur énergéticien, Togo.

LAOUITI Noureddine Ingénieur conseil, Tunisie

Solar Trade Solutions Énergies renouvelables, France

Le plan solaire tunisien Le site web présentant le Plan Solaire Tunisien et ses modalités.

Enviro2B Site d’information de l’environnement et du développement durable

Ecotangama ONG environnementale, Guinée

ADJOU-MOUMOUNI Albert Cyrille A. G. Adéyémi Formateur énergéticien, Togo

Alizé Group Société française implantée en Chine

ICDES Institut de coopération au développement économique et social

Opportunités de financement de projets

Inde : GVEP International et ennovent lancent le Défi Mondial de l’Énergie GVEP International est heureux d’annoncer le lancement du « Défi Mondial de l’Energie : Promouvoir le Changement – De l’énergie pour les pauvres en Inde ».

Offres d’emploi

Maurice : appel d’offres de conseil en efficacité énergétique des bâtiments L’AFD recherche un consultant pour l’élaboration d’une loi sur le contrôle du bâtiment, les codes d’efficacité énergétique et le respect des règlements et des mécanismes

L’EUEI recrute un Chargé de projet « Partnership Dialogue Facility » L’EUEI Partnership Dialogue Facility recherche un chargé de projet pour le suivi et la gestion des projets et des partenaires.

Martinique : Technicien chargé d’affaire photovoltaïque  Free’Dom Ingénierie recherche un jeune diplômé Bac +2/+3 pour un stage de 6 mois minimum, dans le secteur de l’énergie solaire en Martinique. Le stage est à pourvoir à partir de janvier 2010. Il existe une possibilité d’embauche à l’issue du stage.

Emploi-Environnement, un moteur de recherche pour des offres d’emploi dans le secteur de l’énergie par régions Ce site présente de nombreuses offres d’emplois actualisées, dans les secteurs de l’environnement, de l’énergie… Sa page d’accueil propose un moteur de recherche, autorisant des recherches par secteur, types d’emplois et régions du monde, voire par pays.

Formation, stages, partenariat, bourse d’échanges

La Barbade : atelier de formation sur les outils RETScreen Un atelier sur les outils RETScreen est organisé du 16 au 18 février 2010.

Madagascar : recherche de financement pour un projet de parc solaire Le but du projet SUN BELT est de mettre en place d’un parc solaire à Madagascar pour produire au moins 200 MW d’électricité à Tuléar, dans la région du Sud.

Stage d’ingénieur – solaire thermique L’université Norwegian University of Science and Technology – NTNU – de Trondheim (Norvège) travaille sur un projet de concentrateur solaire à échelle familiale en coopération avec 5 universités africaines. Elle recherche un jeune ingénieur pour un stage de 5 à 6 mois, qui s’effectuera à Sor-Trondelag en Norvège.

Sites francophones sur l’énergie

Une liste de sites francophones et de réseaux sur l’énergie est proposée à la page http://www.riaed.net/spip.php?rubrique=34

 

Autres liens et réseaux

Une liste de sites anglophones et de réseaux internationaux sur l’énergie est proposée à la page http://www.riaed.net/spip.php?rubrique=35

Libye : atelier sur l’utilisation de l’énergie dans les bâtiments

Le centre libyen de recherches et des études sur l’énergie solaire organisera lundi 25 janvier 2010 un atelier sur « l’introduction des technologies de l’énergie solaire et de l’efficacité énergétique dans les bâtiments ».

La rencontre est organisée en collaboration avec le comité populaire général libyen des Infrastructures et Services, le centre national libyen des normes de qualité, l’Office de l’habitat et des services, l’Office de promotion et de développement des centres administratifs et l’autorité exécutive des énergies Renouvelables.

Elle verra la participation de plusieurs ingénieurs opérant dans la conception et la supervision de la construction des bâtiments, des représentants de bureau de consulting, des sociétés de production et de distribution d’électricité.

Selon les organisateurs, l’atelier vise également à sensibiliser sur l’énergie solaire, notamment l’utilisation des chauffages des ménages, les procédés pour baisser les charges des équipements électro-ménagers, du chauffage et du froid dans les maisons et l’élaboration d’une stratégie globale d’exploitation de l’énergie solaire dans les bâtiments et la promotion de l’investissement dans ce secteur, tout en lui accordant la priorité.

Faire connaître l’importance de l’énergie solaire et ses liens avec les problèmes de l’environnement aux niveaux local et international, déterminer les domaines d’application de l’énergie solaire dans les bâtiments où elle a prouvé son efficacité technique et économique, connaître les défis et les chances de réussite du programme national pour l’introduction des systèmes solaires dans les bâtiments à travers la mise en exergue des avantages et inconvénients, figurent parmi les objectifs assignés à la rencontre.

Les participants discuteront aussi de divers axes, dont la rationalisation de la consommation de l’énergie dans les ménages, les normes des matériaux de construction et les possédés de réduction des charges énergétiques.

La protection de l’environnement, les lois et législations relatives à la conception des bâtiments et l’encouragement à l’utilisation des énergies renouvelables dans les ménages figurent également au programme de la rencontre.

Des communications relatives au domaine de l’introduction des technologies des énergies solaires dans les bâtiments seront données en marge de cet atelier ainsi que l’organisation de tables-rondes auxquelles participeront plusieurs experts et spécialistes dans les domaines de l’énergie solaire en Libye et à l’étranger.


Source : Afrique en ligne.

Xavier Dufail

PISE 2010, rencontre sectorielle de promotion du Partenariat Inter-entreprises dans le Secteur de l’Énergie

Cette manifestation permettra la rencontre pendant trois jours, entre opérateurs africains et européens de la filière énergie.

La date limite pour les inscriptions : 31 janvier 2010

Cette rencontre internationale, qui aura lieu à Dakar les 08, 09 et 10 juin 2010, est organisée par le Mouvement des Entreprises du Sénégal (MEDS), en partenariat avec l’Union Européenne via PROEINVEST, qui est un programme de partenariat Union Européenne – Pays ACP (Afrique, Caraïbes, Pacifique), pour la promotion de l’investissement et des transferts de technologie vers les entreprises des pays ACP.

Une centaine d’entreprises africaines, et une trentaine d’entreprises européennes sont attendues à cette rencontre.

Toutes les informations complémentaires sont sur le site de cette manifestation.

Xavier Dufail

La BEI soutient le Pool d’énergie d’Afrique de l’Ouest

La Banque européenne d’investissement (BEI) a approuvé le 21 décembre 2010 à Bruxelles un accord de don de 935.000 euros en faveur du Pool d’énergie d’Afrique de l’Ouest (WAPP, sigle en anglais).

Le Pool d’énergie d’Afrique de l’Ouest est une institution régionale ayant pour objectif de promouvoir un marché de l’électricité totalement intégré au sein de la Communauté des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO).

Dans un communiqué transmis à la presse, la BEI indique que ce don permettra de financer une assistance technique qui consistera en une étude d’actualisation de la production et du transport d’électricité dans les États membres de la CEDEAO. L’étude vise à assurer la coordination des projets régionaux en matière d’électricité, ainsi que les prévisions quant à l’offre et la demande, tout en assurant la stabilité du réseau électrique régional.

Ce don s’inscrit dans l’enveloppe du Fonds fiduciaire-Afrique, instrument créé par l’Union européenne pour le financement des infrastructures en Afrique.


Source : Afrique Jet.

Xavier Dufail

Cameroun : 23 biodigesteurs construits en 6 mois

Une étude sur les projets de mise en place de biodigesteurs fait le point sur le potentiel du Cameroun à développer des installations de ce type.

La restitution d’une étude de faisabilité pour la promotion et le développement du biogaz au Cameroun a eu lieu le 14 janvier 2010, dans la salle de conférences du ministère de l’Énergie et de l’eau (MINEE). Cette étude de faisabilité faisait suite à la définition, par le gouvernement camerounais, des termes de références l’année dernière. Débutée en juin 2009, cette étude est arrivée à son terme six mois après. Et les résultats semblent prometteurs. Au total, 23 bio digesteurs (système permettant de produire du biogaz) ont été construits dans des ménages situés dans les régions du Nord (6), de l’Extrême Nord (4) et du Nord Ouest (13). Menée par une équipe de trois consultants (deux Népalais et un Camerounais), avec l’appui technique, matériel et financier de SNV Cameroon, cette étude a également permis de former 31 maçons dans la construction du bio digesteur. A ce jour, a révélé Duncan Campbell, directeur national de SNV Cameroon, plus des deux tiers des biosdigesteurs construits sont déjà opérationnels. Les autres sont encore à différentes étapes de leur mise en opération à savoir l’alimentation en matières fécales et l’installation des équipements divers.

Le Cameroun a les moyens et les potentiels pour promouvoir le développement à l’échelle nationale du biogaz (gaz produit à partir des matières organiques végétales ou animales). D’où l’intérêt particulier accordé par l’État dans la promotion des énergies renouvelables. En 2005 déjà, le gouvernement avait procédé à l’élaboration d’un plan d’action national d’énergie pour la réduction de la pauvreté (PANERP). A l’horizon 2016, le PANERP projette que 30% des populations pauvres des zones rurales et 60% de celles des zones périurbaines pourront avoir accès aux services énergétiques pour les usages domestiques. Et qu’au moins 40% des systèmes d’approvisionnement en services énergétiques le seront à partir des sources locales et renouvelables.

Coût onéreux

« Aujourd’hui, le nécessaire recentrage du débat sur les questions d’énergies domestiques justifie la conduite d’une étude spécifique sur le biogaz à usage domestique au Cameroun », a expliqué le secrétaire général du MINEE. Le pays avait déjà connu, il y a deux décennies, quelques expériences en la matière avec des hôpitaux dans le Nord-Ouest, le Littoral et des bios digesteurs dans l’Extrême Nord pour usage domestique. Le ministère de l’Énergie et de l’eau espère que le programme national de développement du biogaz va faire accéder les catégories pauvres du pays aux sources d’énergies renouvelables. Il faudra cependant tenir compte des difficultés pour développer un tel programme. A la lumière des témoignages de certains bénéficiaires, l’on retient par exemple que la construction d’un bio digesteur est onéreuse. La consultation totale et la phase démonstrative de l’étude de faisabilité présentée hier ont coûté quelques 37 millions FCFA. D’autres freins au développement du biogaz au Cameroun sont invoqués. Mais, « la mise en place d’un programme national de développement et de promotion de biogaz passe par la définition d’un dispositif institutionnel et réglementaire adéquat, en plus d’objectifs ambitieux mais réalistes et réalisables », a prévenu Duncan Campbell.


Source : Un article du 20 janvier 2010 du Messager Quotidien.

Xavier Dufail

Cameroun : le biogaz au secours des ménages

Cette énergie renouvelable, expérimentée dans trois régions du Cameroun, recèle d’énormes avantages pour les populations à faibles revenus.

Éleveur de porcs dans la localité de Santa dans la région du Nord-Ouest, Godfrey Nkwenti parle de sa rencontre avec le biogaz comme d’une manne tombée tout droit du ciel. En effet, avant d’intégrer la phase pilote d’un programme pour le développement du biogaz au Cameroun, une initiative du ministère de l’Énergie et de l’Eau, appuyée par le service néerlandais de développement (Snv) ; ce paysan camerounais confesse qu’il dépensait chaque mois la somme de 8500 FCFA pour acquérir une bouteille de gaz domestique de 12 kg. En période de vaches maigres, le gaz était remplacé par le bois de chauffe, soit une dépense moyenne de 3000 FCFA par mois, sans compter les frais médicaux, la fumée générée par le bois exposant l’épouse et les enfants de Godfrey Nkwenti à certaines affections.

Mais depuis deux mois, l’éleveur de porcs de Santa a fait le deuil de ces tracasseries. Grâce au programme pour le développement du biogaz domestique au Cameroun, ce dernier s’est fait construire un bio-digesteur, un dispositif permettant de transformer les matières fécales humaines et animales en gaz domestique. « Je me suis fait construire un bio-digesteur de 6m3. Pour cela, j’ai déboursé la somme de 100.000 FCFA. Les responsables du programme m’ont donné une plaque à gaz, 10 sacs de ciment, deux tuyaux pour canaliser le gaz produit par le bio-digesteur jusqu’à la cuisine, et ils ont payé les techniciens pour construire le bio-digesteur », raconte Godfrey Nkwenti. Ce dernier rapporte cependant que pour achever les travaux, il a dépensé au total la somme de 310.000 FCFA, puisqu’il fallait compléter le matériel de construction tel que prévu par le programme.

Activités

« Depuis deux mois, je n’achète plus ni gaz, ni bois de chauffe, et mes enfant n’ont plus mal aux yeux. Maintenant, mon épouse peut revenir des champs et apprêter le repas en 20 minutes. Donc, le bio-digesteur nous permet d’économiser de l’argent (achat gaz et frais médicaux), de gagner en temps pour la cuisson des repas », raconte M. Nkwenti. Pour ce faire, ce dernier doit simplement alimenter chaque matin son bio-digesteur avec 36 litres d’eau et 36 litres de matières fécales animales ou humaines. « Ceux qui ont construit le dispositif ont prévu un Wc qui alimente directement le bio-digesteur. Pour les animaux, je fais moi-même le ramassage tous les matins dans ma porcherie », explique Godfrey Nkwenti, le sourire en coin, tout en expliquant qu’en plus de fournir du gaz aux ménages, le bio-digesteur peut également booster les activités pastorales, puisque son fonctionnement est étroitement lié à l’existence des déchets des animaux, qui sont d’ailleurs plus efficace que ceux des hommes, précise un expert du programme.

Cette mutation du feu de bois ou du gaz domestique plus onéreux au biogaz relativement bon marché, 23 familles l’ont vécue l’année dernière dans les régions du Nord-Ouest, du Nord et de l’Extrême Nord, qui ont été choisies pour lancer cette expérience pilote « parce que ce sont des zones où on pratique l’élevage. Donc, les matières premières qui sont l’eau et les déchets des animaux et humains y sont disponibles », précisent les responsables du projet. Lesquels indiquent par ailleurs que pour minimiser les coûts de construction, il est possible pour plusieurs familles de mettre leurs revenus ensemble pour s’offrir un seul bio-digesteur. Dans ce cas, apprend-on, toutes les canalisations partiront de ce dispositif unique pour les différentes cuisines. Au regard des avantages socio-économiques que procure le biogaz, le programme sus mentionné prévoit la construction de 3000 bio-digesteurs dans les zones pilotes au cours des cinq prochaines années.


Un article du 19 janvier 2010 de Quotidien Mutations

Xavier Dufail

Tunisie : partenariat avec l’Espagne pour deux centrales éoliennes à Bizerte

Un partenariat entre la Tunisie et l’Espagne va permettre la mise en service de 2 aérogénérateurs dans la région de Bizerte. Ils fourniront une puissance de 120 MW.

Deux centrales éoliennes, l’une à Métline (délégation de Ras Jebel) et l’autre à Kchabta, entre Menzel Bourguiba et Utique, sont en cours de réalisation dans le gouvernorat de Bizerte, une région où on compte 300 jours de vent par an.

Les deux centrales éoliennes totaliseront une capacité installée de 120 mégawatts (MW), avec un délai de réalisation de 30 mois. Leur coût est de l’ordre de 200 millions d’euros (environ 380 millions de dinars) financé dans le cadre d’un projet intégral par un crédit du Fonds d’aide au développement (FAD) du gouvernement espagnol.

A cet effet, 91 aérogénérateurs seront implantés dont 46 sur le site de Métline et 45 à Kchabta. D’autre part, deux postes de haute tension (HT) de 90 kilovolts (KV) chacun seront installés sur chacun des deux sites, outre l’extension du poste HT de Menzel Jémil, la pose d’une ligne HT et de 90 KV entre Métline et Menzel Jémil et la création d’une entrée-sortie de la ligne HT de 90 KV existant entre Menzel Bourguiba et Menzel Jémil sur Kchabtana.

Les installations et les équipements devraient servir à la transformation de la quantité d’énergie produite, qui sera de l’ordre de 120 MW, en électricité, et à l’intégrer, en vue de sa commercialisation, au réseau de la Société tunisienne de l’électricité et du gaz (Steg).

Installation de 26 aérogénérateurs supplémentaires

Ce projet, qui entre dans le cadre de la stratégie nationale de développement durable, de promotion des énergies renouvelables et de lutte contre l’effet de serre, va permettre à la Steg d’économiser annuellement plus de 120.000 tonnes équivalent pétrole (TEP) de combustible et de 43.000 mètres cubes d’eau. Il va permettre, également, la réduction de l’émission de 300.000 tonnes de gaz carbonique (CO2) dans l’atmosphère.

La Steg prévoit, en outre, l’extension du projet avec l’installation de 26 aérogénérateurs supplémentaires sur chacun des deux sites en vue d’augmenter la capacité des deux centrales de 120 à 190 MW. Cette extension devrait être financée par le FAD, moyennant un coût de l’ordre de 105 millions d’euros.


Source : La Presse.tn.

Xavier Dufail