Les archives de l'auteur : Admin

Salon international des énergies renouvelables

Montpellier, France, 8 au 11 décembre 2010.

Energaïa, le rendez-vous de toute la filière : Solaire – Eolien – Bois-énergie – Géothermie – Biocarburants – Hydraulique – Piles à combustibles – Biomasse – Eco-construction – Maîtrise de l’énergie…

Energaïa 2010, un événement de référence pour développer de nouvelles parts de marché en France et à l’étranger.

En France

Fort de ses partenariats avec les organismes professionnels et institutionnels, Energaïa cible un visitorat qualifié en provenance de la France entière.

ADEME – ENERPLAN – DERBI

> Professionnels des EnR

Région Languedoc-Roussillon – les Eco Maires

> Décisionnaires de collectivités et territoires

FFB – CAPEB – Effinergie

> Professionnels du bâtiment, ingénieurs, architectes, bailleurs sociaux

Une large ouverture vers l’Europe

Des exposants et des visiteurs, issus de nombreux pays européens, à la recherche de partenariats commerciaux et technologiques.

Les actions de communication sont diffusées par les partenaires institutionnels européens du salon tels que la FEDARENE (Fédération Européenne des Agences Régionales de l’Energie et de l’Environnement) et la Convention des Maires (association des maires européens pour le développement durable – Initiative de la commission européenne).

Focus sur les pays méditerranéens

Montpellier, de par sa situation géographique sur le bassin méditerranéen, permet à Energaïa de se positionner comme un lieu d’échange entre la France, l’Europe et les pays du Machrek et du Maghreb.

Les partenariats avec MEDENER et de nombreux organismes professionnels méditerranéens, le plan média relayé au Moyen-Orient par notre bureau du Liban, le Plan solaire méditerranéen… contribuent au rayonnement d’Energaïa dans ces pays ainsi qu’à la venue de nombreuses délégations professionnelles et institutionnelles.

http://www.energaia-expo.com/

Imedia

Forum Business Medays

L’Institut Amadeus organise du 10 au 13 novembre 2010 à Tanger la troisième édition du forum international MEDays, sous le Haut Patronage de Sa Majesté le Roi Mohammed VI.

Désormais Forum de référence du Sud, la 3ème édition des MEDays sera placée sous le thème « Le Sud : Entre crises et émergences » une réflexion qui portera sur le partage d’expérience des 3A : Amérique Latine, Afrique, Asie.

Les MEDays 2010 réuniront une communauté de plus de 150 intervenants de très haut niveau : Chefs d’Etat et de gouvernement, décideurs économiques, chefs d’entreprises, représentants d’organisations internationales et experts. Afin de donner une opportunité unique de rencontres au plus haut niveau aux professionnels, l’Institut Amadeus a prévu un programme complémentaire adapté : le Forum Business MEDays.

Les Business MEDays 2010 seront consacrés aux révolutions énergétiques dans les marchés émergents autour de panels sectoriels traitant de thématiques liées aux énergies fossiles, au développement et financement des énergies renouvelables, des PPP , des infrastructures et des logements labélisés « HQE »

Composés de séances plénières, ateliers et rencontres informelles dédiées, les Business MEDays permettent aux entreprises participantes de créer et de consolider des partenariats d’affaires, mais également d’influer sur les politiques publiques en proposant des recommandations sectorielles concrètes à travers les panels dédiés.

La formule Business MEDays comprend :

- Accès aux 4 jours de conférences MEDays et Business MEDays du 10 au 13 novembre 2010

- Invitation à la cérémonie d’ouverture, au Dîner de Gala du 10 novembre, aux cocktails dînatoires des 11, 12 et 13 novembre 2010 et à la cérémonie de clôture -Participation aux déjeuners du 10 au 13 novembre dans la même salle que les intervenants et les chefs d’entreprises présents

- Séances de networking informel (accès en amont à un annuaire business)

- Traitement VIP à l’intérieur du Village MEDays et lors des activités parallèles

- Logement à l’Hôtel César pour les participants Business MEDays qui auront opté pour une formule avec hébergement.

Pour plus d’information, veuillez contacter :

Kaoutar Khaled Business MEDays Project Manager
Email : kaoutar.khaled@amadeusonline.org

Tel : +212 537 670 628/ +212 537 67 06 30

www.amadeusonline.org/pdf/Programme…

www.medays.org

Imedia

Maroc : un important projet d’énergie solaire à l’étude

Le Maroc envisage de construire un important projet d’énergie solaire devant permettre à l’office national d’électricité (ONE) du pays, de diversifier ses sources énergétiques, d’augmenter sa capacité de production et de réaliser des économies en pétrole.

Le projet sera installé dans cinq sites au Maroc, notamment à Laayoune (Sahara), Boudjour (Sahara ouest), à Tarfaya (Sud d’Agadir) à Ain Beni Makhtar (Centre) et à Ouarzazate sur une superficie de 10.000 hectares, selon la Banque africaine de développement (BAD).

Ces installations comprendront des mécanismes d’énergie photovoltaïques et solaires thermale. Ils devront produire jusqu’à 2000 MW d’électricité en 2020, fournissant 14 % de l’électricité du Maroc.

La mise en œuvre de ce projet permettra au Maroc, qui importe presque toute son énergie, d’économiser annuellement près d’un million de tonnes de pétrole.


Source : APAnews.

Xavier Dufail

Burkina Faso : 10000 biodigesteurs d’ici 2013

Le Programme national de biodigesteurs du Burkina Faso (PNB-BF) ambitionne 10 000 biodigesteurs dans 3 ans. La réussite de ce pari passe nécessairement par la sensibilisation et la formation des principaux acteurs chargés de la mise en oeuvre.

Le biodigesteur vulgarisé par le PNB-BF est une construction souterraine en maçonnerie destinée à recevoir un mélange de déjections animales (bœuf et porc) et d’eau. Ce mélange subi à l’intérieur du biodigesteur une fermentation qui génère du gaz. Le biogaz est un combustible capable de remplacer le pétrole, le bois de chauffe et le gaz butane pour la cuisson des aliments et l’éclairage.

Le coût d’un biodigesteur de 6 m3 varie entre 400 000 et 514 000 FCFA en fonction de la localité et des matériaux. Le PNB-BF alloue une subvention de 160 000 par biodigesteur. Le bénéficiaire de la région des Cascades contribue financièrement à hauteur de 190 000 FCFA et assure la mobilisation des agrégats et de la main d’œuvre non qualifiée représentant une contre-valeur de 100 000 à 140 000 FCFA. Chaque ménage désireux d’obtenir un biodigesteur pourrait se l’acquérir en se conformant à ces dispositions.

Le Programme national biodigesteurs du Burkina Faso (PNB-BF) avait été présenté en juillet dernier aux principaux acteurs de la région des Cascades à Banfora. Ce programme a pour objectif global de créer un secteur permanent et multi acteurs de construction de biodigesteurs afin d’accroître de façon durable les productions agro-pastorales et améliorer les conditions de vie des populations.

A terme, le programme ambitionne 10 000 biodigesteurs sur l’ensemble de la zone d’intervention du Programme. A l’immédiat dans la région des Cascades, ce sont au moins 65 biodigesteurs qui sont attendus pour fin décembre 2010.

Un atelier de formation

Le PNB-BF a organisé un atelier de formation à l’intention des maçons du 13 au 28 septembre 2010 à Banfora.

Une quarantaine de maçons et superviseurs a pris part à cet atelier. Venus de la Boucle du Mouhoun, du Centre Ouest, des Hauts Bassins, du Sud-Ouest et des Cascades ; ces professionnels de la truelle et du fil à plomb, se sont appropriés la technologie de construction du biodigesteur – type conçu par le Programme National de Biodigesteurs du Burkina Faso (PNB-BF). Ainsi outillés, ces maçons vont aller dans les derniers hameaux de culture de la zone d’intervention du programme pour répondre aux sollicitations des ménages qui souhaiteraient disposer d’un biodigesteur.

L’objectif recherché par le présent atelier, est de construire et rendre fonctionnel les quatre biodigesteurs. Les maçons au nombre de 44 ont fait deux jours d’échanges théoriques, avant de descendre sur le terrain pour la construction des premiers biodigesteurs des Cascades. Le village de Toumousséni dans la Comoé à quelques encablures de Banfora chef-lieu de la province, a été retenu comme site pilote des toutes premières réalisations du Programme. Les maçons ont été repartis sur 4 sites appartenant à différents ménages.


Source : Les éditions Sidwaya.

Xavier Dufail

Pôle intégré d’excellence pour l’énergie : une initiative stratégique pour l’Afrique de l’Ouest

L’IEPF et l’Agence Universitaire de la Francophonie ont mis en place un Pôle intégré d’excellence pour l’énergie dont l’objectif est de faciliter les partenariats dans le domaine sur l’Afrique de l’Ouest : recherche et développement, formation, expertise, information, etc.

Le diagnostic des actions de renforcement de capacités dans les pays du Sud dévoile plusieurs lacunes : le manque de soutien pérenne, la faible taille critique des opérations souvent isolées et l’absence de synergies entre les acteurs.

Le 20ème anniversaire de l’IEPF, Institut de l’énergie de la francophonie, organe subsidiaire de l’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF), qui s’est tenu en juin 2008 à Québec, a été l’occasion pour cette institution, en collaboration avec l’Agence Universitaire de la Francophonie (AUF), d’amorcer la réflexion sur la mise en place de pôles d’excellence, afin de consolider, en les fédérant les compétences et initiatives déjà existantes dans les régions.

Depuis lors, le concept de pôle intégré d’excellence ainsi que plusieurs thématiques pouvant en faire l’objet ont été définis. Une note de cadrage rédigée en mai 2009 par les deux institutions initiatrices a permis de rendre accessible le concept : fédérer les forces des institutions existantes issues de rationalités différentes, à travers la combinaison d’approches ascendantes et descendantes ainsi que la double intégration des acteurs (académiques et communautés de pratique) et de leurs activités.

Le choix plus restreint de 3 thèmes (énergie, villes et territoires durables, sécurité alimentaire et développement durable) devant faire l’objet des premiers pôles d’excellence a été décidé en décembre 2009, avec l’approbation de plusieurs autres institutions partenaires(AUF, CIRAD, CEFED,AFD, SIFEE QUEBEC, UQUAM, Ecole des mines de St Etienne, 2iE, IFHER/ BNETD, GRET, CIRIDD)

Parce que l’énergie est au cœur de tous les processus modernes de développement et qu’elle a une forte incidence sur l’économie de tous les pays, cette thématique a été retenue par tous pour faire l’objet du premier pôle. L’Afrique subsaharienne dispose de potentialités énergétiques avérées mais encore très peu exploitées. En effet, la biomasse reste de loin la première source d’énergie, et cette surexploitation informelle et non durable favorise la déforestation et la désertification.

Dans ce contexte, le pôle intégré d’excellence pour l’énergie est une vraie gageure qui s’est fixé trois principaux objectifs :

- La sécurisation des approvisionnements en énergie, face à une demande toujours croissante ;

- La réduction des gaz à effet de serre ;

- L’amélioration à l’accès à des services énergétiques surtout en milieu rural et péri-urbain.

Une étude exploratoire, menée en mars 2010, a permis de sélectionner trois institutions d’Afrique de l’Ouest susceptibles, suivant une autoévaluation autour de thématiques qui sont les fonctions du pôle.

Les trois institutions ainsi sélectionnées devront fédérer leurs compétences en vue de constituer le PIE pour l’énergie. Il s’agit de la fondation 2iE [1], IFHER/BNETD [2] et ENDA-TM [3].

Le regroupement au sein d’un réseau de ces trois institutions de l’Afrique de l’Ouest est une innovation dans la mesure où il représente un partenariat entre des entités à statuts différents.

En effet, la Fondation 2iE, association internationale d’utilité publique est un véritable partenariat Public-Privé, disposant d’un accord de siège au Burkina Faso. Sa gouvernance moderne et originale, regroupe au sein du Conseil d’Administration, les États africains, les partenaires institutionnels et financiers, les partenaires scientifiques et universitaires et les entreprises privées.

L’institut de Formation à la Haute Expertise et de Recherche (IFHER) est un département du Bureau National d’Études Techniques et Développement (BNETD) dédié à la formation, à la recherche et à l’innovation technologique. Cet institut est un centre d’expertise technologique et de renforcement des capacités au service des pays africains.

ENDA TM est une organisation non gouvernementale internationale dont le siège est à Dakar, Sénégal. Elle est constituée de plusieurs équipes et programmes travaillant en synergie dans une quinzaine d’entités en Afrique, Asie et Amérique du Sud. Son programme spécifique  » Énergie, environnement et développement  » analyse les relations entre l’énergie, l’environnement et le développement, à la lumière des accords multilatéraux sur l’environnement.

Une première cartographie des capacités à renforcer dans le cadre du pôle a été effectuée au cours de l’étude exploratoire de mars 2010 :

- Capacité à développer et appuyer des projets énergétiques

- Capacité à participer à des décisions internationales

- Capacité à gérer les relations avec les acteurs économiques de l’énergie

- Capacité à évaluer la durabilité des politiques et des projets énergétiques

- Recherche et développement de technologies

- Capacité à élaborer des stratégies et à mettre en œuvre des politiques énergétiques

Pour renforcer pleinement ces capacités, les 3 principaux nœuds constitutifs du pôle devront être associées à plusieurs autres acteurs :

- structures internationales : Conseil Mondial de l’Énergie, PNUD, PNUE, BAD, Banque mondiale, …

- structures régionales ou sous régionales (ECREEE [4], Communautés Économiques Régionales, NEPAD [5], AFREC [6], UEMOA [7] etc.) ;

- ministères en charge de l’énergie, des finances, de l’environnement,…

- sociétés d’énergie des autres pays

Dans le cadre du PIE pour l’énergie, ces institutions devront collaborer, à travers les différentes activités et au sein de champs d’actions spécifiques : énergie et développement, énergie et climat, bioénergies et énergies renouvelables, énergie et genre.

2IE : recherche & formation

IFHER/BNETD : valorisation des résultats de la recherche

ENDA : appui à l’exécution des projets de terrain

Les thématiques indiquées pour chaque institution déterminent la prédominance et l’orientation des activités. Elles ne sont pas exclusives et la mise en réseaux de ces institutions favorise la création de synergies entre elles : Les trois nœuds mettent en commun leurs compétences pour atteindre, avec leurs partenaires, les objectifs fixés.

Quelle gouvernance faut-il adopter pour une telle machine afin d’éviter qu’elle ne connaisse le même sort que les initiatives similaires précédentes ?

Un comité de préfiguration, présidé par l’IEPF, pourrait servir de plateforme d’orientation et de contrôle des activités du pôle. Ce comité ouvert aux futurs partenaires volontaires politiques ou financiers, aura pour objectifs de rechercher les financements et d’exécuter le calendrier de déploiement.

Les rapports entre les institutions (qui sont partenaires privilégiés) seront précisés en fonction des champs d’action et des activités. La collaboration avec d’autres structures intéressées de la sous région, fortement souhaitées seront décidées selon les cas.

Une autonomie de gestion des ressources allouées à chaque institution devrait faciliter à la fois l’exécution du budget et les opérations d’audit.

Une exploration en vue de répertorier les compétences dans le domaine de l’énergie des autres pays de l’Afrique de l’Ouest doit être amorcée afin de faciliter leur insertion dans ce réseau.

Dans un contexte mondial de lutte contre le réchauffement climatique, le projet de pôle intégré d’excellence pour l’énergie en Afrique de l’Ouest vient à point nommé : il se fixe des objectifs pertinents qui participeront inévitablement à la réduction de la pauvreté. Ce concept de mise en réseaux de structures existantes travaillant avec des institutions régionales et internationales cadre par ailleurs avec l’esprit de la déclaration de Paris sur l’efficacité de l’aide au développement.

Le soutien des décideurs africains et de la communauté internationale est donc plus qu’indispensable pour la réalisation de ce challenge. Le fonds climatique vert de Copenhague, mis à disposition lors de la COP15 de décembre 2009, ainsi que les autres fonds internationaux disponibles dans le domaine spécifique de l’énergie pourraient être sollicités.


Source : Un article de Christophe Gbossou.

Xavier Dufail

France : conférence-débat « L’électricité au cœur des défis africains »

Une conférence-débat est organisée le 19 octobre 2010, de 11h à 13h à l’AFD, suite à la parution du livre de Christine Heuraux, « L’électricité au cœur des défis africains – Manuel sur l’électrification en Afrique ».

Lieu : Agence Française de Développement

5, rue Roland Barthes – Paris 12è

Salle Alliot

L’accès à l’énergie constitue un des principaux enjeux de développement de l’Afrique.
Mme Christine Heuraux, directrice du pôle Accès à l’Énergie à la Direction Internationale d’EDF, vient de publier un ouvrage de référence sur le sujet.

L’auteur viendra présenter son ouvrage le 19 octobre. La présentation sera suivie dune table ronde sur le thème de l’accès à l’énergie en Afrique, avec des interventions prévues du MAE, du MEEDEM, de l’ADEME et de l’AFD.

Présentation du livre sur le site du Riaed

Xavier Dufail

Mozambique : lancement d’un système d’irrigation à base d’énergie solaire

Le ministre mozambicain des Sciences et de la Technologie lance un système d’irrigation utilisant l’énergie solaire pour accroître la production agricole et améliorer les conditions de vie de 13 000 habitants du Village du milliénnaire, dans le district de Chibuto.

Le système est une innovation dans le pays et est évalué à 2 millions de dollars américains. Il est mis en place par le ministère des Sciences et de la Technologie en partenariat avec le Programme des Nations unies pour le développement (PNUD) et le Japon, selon l’Agence de presse mozambicaine AIM.

Le système qui sera installé pompera de l’eau tirée du fleuve Limpopo pour irriguer près de 53 hectares de terres arables. Il devrait profiter aux fermiers locaux, en particulier aux femmes, qui fourniront des produits agricoles à la fois pour la consommation locale et pour générer des revenus.

Le Village du millénaire est un programme créé par le ministère des Sciences et de la Technologie, qui vise à promouvoir le développement communautaire à travers l’utilisation des ressources locales pour la réduction de la pauvreté.

Il existe actuellement cinq villages du millénaire dans le pays.


Source : Xinhua.

Xavier Dufail

Haïti : 191 millions de dollars pour un projet hydroélectrique

Le 30 septembre 2010, le ministre brésilien des Affaires étrangères a remis au président René Préval une étude réalisée et financée [2,5 millions] par le Brésil, pour la construction d’une centrale hydroélectrique dans le Plateau central, qui pourrait générer jusqu’à 32 MW.

Un projet de 191 millions de dollars dont le Brésil s’est engagé à financer 40 millions de dollars.

Ce projet a été présenté et approuvé le 17 août 2010, mais ne disposait alors d’aucun fonds pour sa réalisation :

Titre : énergie – génération d’énergie hydroélectrique : 4C Artibonite

Description du projet : construction du barrage hydro-électrique « Artibonite C-4 » près de Mirebalais ; installation d’une puissance de 32 MW, qui fournira de l’énergie à 213 000 ménages, pour atteindre environ 1 million de citoyens haïtiens.

Agence d’exécution : à déterminer

Budget total : $191 millions sur 40 mois

Financement : $2,5 millions ;Donateur : Brésil [coût de l’étude préliminaire]

Il s’agit maintenant pour ce projet de trouver le financement complémentaire pour permettre sa réalisation.


Source : Le site Haïti Libre.

Xavier Dufail

Cameroun : bientôt de l’énergie électrique à partir de courants marins

La société MRS Power Cameroon vient de signer une convention avec l’État pour l’expérimentation de la production de l’électricité à partir de courants marins au Cameroun.

L’opérateur, déjà présent dans le pays à travers la distribution du carburant, financera les études de la phase pilote.

L’État du Cameroun, pour sa part, s’engage ainsi à acheter l’énergie ainsi fournie sur une période de 25 ans.

Baptisé Tidal Wave Energy, le procédé en voie d’expérimentation, selon ses promoteurs, consiste à convertir les courants des océans et cours d’eau en énergie électrique renouvelable, propre, peu coûteuse et non polluante.


Source : APAnews.

Xavier Dufail

Sénégal : Forum régional sur l’Initiative pour l’énergie solaire de la CEDEAO (ESEI)

La CEDEAO a approuvé la création de l’ECOWAS Solar Energy Initiative (ESEI), Initiative pour l’énergie solaire de la CEDEAO, et de l’ECOWAS Solar Commission (ESC),Commission solaire de la CEDEAO, qui en sera le mécanisme de direction. Une première étape est l’organisation d’un forum qui se tiendra du 18 au 21 octobre 2010 à Dakar, au Sénégal.

Date limite d’inscription : 10 octobre 2010.

Cette initiative a pour objectif de développer à grande échelle des installations solaires pour alimenter les besoins en énergie des régions. Le déploiement accru de technologies solaires devrait garantir une énergie fiable et abordable comme une source complémentaire d’énergie pour répondre aux besoins de l’Afrique de l’Ouest.

Sous la présidence du président de la République du Sénégal, ECREEE a été désigné comme agence d’exécution pour l’ESC. Comme première étape de la mise en œuvre, la Commission organise un Forum régional sur l’Initiative pour l’énergie solaire de la CEDEAO (ESEI) du 18 au 21 octobre 2010 à Dakar, au Sénégal.

Ce forum a pour objectifs de :

  1. officialiser le lancement de l’ECOWAS Solar Energy Initiative
  2. inaugurer la ECOWAS Solar Commission (ESC)
  3. adopter une feuille de route pour le déploiement à grande échelle de l’énergie solaire en Afrique de l’Ouest

Source : Le site de l’ECREEE (en anglais).

Xavier Dufail